Réparer la ville plutôt que la reconstruire, une idée béton - Idées. Le sujet est au cœur du colloque “Réparer la ville” organisé par l’Ordre des architectes d’Île-de-France du 21 au 23 novembre à Paris : doit-on raser pour reconstruire comme on le fait depuis quarante ans ?
En 2050, la vie dans une France neutre en carbone. Philippine et Abel, la quarantaine, deux enfants, résident dans une maison à énergie positive – isolation en fibres végétales, ventilation, pompe à chaleur, toiture et vitrages équipés de cellules photovoltaïques – qu’ils partagent avec deux autres familles. Ils cultivent un petit potager.
Le compost humain, une solution pour réduire l’impact environnemental de la mort ? L’Etat de Washington a adopté un texte permettant de transformer le corps de défunts en compost.
Des expérimentations sont en cours en Belgique. LE MONDE | 15.03.2019 à 11h45 • Mis à jour le 15.03.2019 à 15h26 | Par Pierre Bouvier Fantasme new age ou bonne idée pour sauver la planète ? De Sydney à Vancouver, plus d’un million de jeunes descendent dans la rue pour le climat. Urgence climatique : “Les Etats ne vont pas nous sauver, ils vont nous tuer” - Télévision. Sa vidéo “On s’est planté”, publiée début mars, ébranle la communauté militante.
Greta Thunberg : « Les gens dont dépend notre futur ne semblent pas prendre la question du climat au sérieux » « Les scientifiques lanceurs d’alerte ont plus que jamais besoin de protection » Europresse. L’affaire du siècle - Action en justice climatique envers l'Etat. Les Etats pusillanimes face à l’urgence climatique. « C’est trop tard, on ne peut plus rien faire » et autres idées reçues sur le réchauffement climatique. Ils sont devenus « décroissants » : quatre citoyens témoignent. Décroissance : « Nous voulons seulement passer d’une jouissance d’avoir, à une jouissance d’être » « La France est en retard sur le développement des énergies renouvelables »
Alimentation carnée : « Il y a une forte demande de plats végétariens de qualité, gastronomiques » Transports : « Dans la crise actuelle, ce qu’on entend, c’est l’absence d’alternatives à la voiture » Le cri d’alarme de quinze mille scientifiques sur l’état de la planète. « Le Monde » publie le manifeste signé par 15 364 scientifiques de 184 pays, paru lundi 13 novembre dans la revue « BioScience ». LE MONDE | 13.11.2017 à 16h00 • Mis à jour le 21.11.2017 à 17h20 | Par William J. Ripple, Christopher Wolf, Thomas M. Newsome, Mauro Galetti, Mohammed Alamgir, Eileen Crist, Mahmoud I. Mahmoud et William F. Pourquoi le drame écologique mobilise-t-il si peu ? « Incendies un peu partout dans le monde — Grèce, Suède, États-Unis ; inondations suivies de canicules au Japon ; records de températures en France, etc. (…) Le film catastrophe est là, sous nos yeux. (…) Est-ce que vous pouvez m’expliquer pourquoi, rationnellement, ce n’est pas la mobilisation générale contre ces phénomènes et pour le climat ?
Transports, alimentation, consommation… comment agir pour le climat ? Climat : la COP24 adopte les règles d’application de l’accord de Paris. Stable pendant plus de mille ans, la concentration de CO2 dans l’atmosphère a explosé au XXe siècle. EN UN GRAPHIQUE – Malgré les accords de Paris en 2015, les émissions de CO2 ont continué de croître et la concentration dans l’atmosphère a encore atteint un nouveau record en 2017. LE MONDE | 22.11.2018 à 16h45 • Mis à jour le 27.11.2018 à 16h50 | Par Pierre Breteau Lire : « La période propice à l’action est sur le point de s’achever » : la concentration de CO2 bat des records C’est un signal particulièrement inquiétant à quelques jours de la COP24, qui doit finaliser l’accord de Paris adopté en décembre 2015 – elle débute lundi 3 décembre en Pologne.
Avant la période industrielle, qui a démarré à la fin du XIXe siècle, la concentration du CO2 était de 278 ppm en moyenne et était restée stable pendant des milliers d’années avant de connaître une hausse du fait des activités humaines : combustion de pétrole, fabrication de ciment, déforestation. Un nouveau procédé écologique de production d’énergie grâce à la lumière ! Le quotidien du climat, avec votre soutien. Nous vivons depuis quelques mois un phénomène étonnant : la question écologique détermine maintenant l’agenda politique.
Fin août, la rentrée s’est placée sous les auspices fracassantes de la démission de Nicolas Hulot de son poste de ministre de la Transition écologique. Le geste ébranlait le gouvernement d’Emmanuel Macron, mais frappait aussi la société, qui réagissait par une mobilisation vigoureuse, et on peut le penser, durable, sur le changement climatique. Pourquoi est-il urgent d’inventer les toilettes du futur ? Des arbres artificiels pour sauver le climat ? Alors que le GIEC appelait encore récemment à une prise de conscience sans précédent mais aussi et surtout à la mise en œuvre de changements conséquents à tous les niveaux de la société, il semblerait que de bonnes nouvelles se profilent.
Secoué par ces mises en garde répétées, l’homme a su se ressaisir pour créer les conditions de son salut. Partout les politiques tournent casaque et la science nous dévoile les premiers signes d’un changement à venir. Le rapport glaçant du Giec. Al’issue d’une semaine de négociations ardues à Incheon, en Corée du Sud, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) publie ce lundi un rapport très attendu sur le réchauffement mondial de 1,5°C (par rapport à l’époque préindustrielle).
Commandé au Giec lors de la conférence des Nations unies de décembre 2015 en France (COP 21), c’est le premier rapport spécial jamais produit. Il donne à voir l’état de notre planète si l’accord de Paris rédigé lors de cette conférence était respecté. Ce traité international, signé par 197 Etats et ratifié par 188, vise à faire le maximum pour limiter le réchauffement du climat provoqué par les activités humaines à 2 °C, voire 1,5 °C. La rédaction des 250 pages a nécessité la participation de 86 auteurs principaux de 39 pays (seulement 39 % de femmes) et de dizaines d’experts pour la relecture.
"Nous voulons des coquelicots !" : appel à manifester partout vendredi soir en Franche-Comté. « Nous voulons des coquelicots !
» Lancé le 12 septembre, cet appel à la mobilisation pour obtenir « l’interdiction de tous les pesticides » a été signé par plusieurs centaines de milliers de personnes depuis. « Nous voulons des coquelicots », des rendez-vous dans la Somme. « Nous lançons cet Appel pour provoquer un soulèvement pacifique de la société française et obtenir l’interdiction de tous les pesticides (de synthèse) en France. » C’est le message de l’association Nous voulons des coquelicots, lancée par une quinzaine de bénévoles soutenus par Fabrice Nicolino et François Veillerette.
Plus de 199 000 personnes ont signé leur texte. Le 5 octobre, l’association lance un premier rendez-vous devant les mairies de chaque commune. Lacs, rivières, marais et mangroves disparaissent à grande vitesse. Nous voulons des coquelicots : contre les pesticides, Fabrice Nicolino lance une mobilisation citoyenne et durable - Le monde bouge. 70 000 signatures en une poignée d’heures (96 250 à ce jour) : sous le label Nous voulons des coquelicots, l’appel à l’interdiction de tous les pesticides lancé par Fabrice Nicolino, journaliste à Charlie Hebdo, et François Veillerette, porte-parole de Générations futures, a connu un démarrage impressionnant.
Ocean Cleanup quitte San Francisco pour nettoyer le Pacifique de ses plastiques. Portrait de Boyan Slat, le jeune inventeur qui veut vider l'océan de ses plastiques. A seulement 23 ans, Boyan Slat s’est fait connaître du monde entier avec son projet baptisé “The Ocean Clean-up”, un programme visant à débarrasser l'essentiel de l'océan Pacifique Nord de ses déchets plastiques.
« Nous voulons des coquelicots » « Nous voulons des coquelicots » : l’appel contre les pesticides lancé dans « Charlie Hebdo » La première ferme laitière flottante s’installe à Rotterdam.