Utopie. L’utopie (mot forgé par l'écrivain anglais Thomas More, du grec οὐ-τόπος « en aucun lieu ») est une représentation d'une société idéale sans défaut contrairement à la réalité.
C'est un genre d'apologue qui se traduit, dans les écrits, par un régime politique idéal (qui gouvernerait parfaitement les Hommes), une société parfaite (sans injustice par exemple, comme la Callipolis de Platon ou la découverte de l'Eldorado dans Candide) ou encore une communauté d'individus vivant heureux et en harmonie (l'abbaye de Thélème dans Gargantua de Rabelais en 1534), souvent écrites pour dénoncer les injustices et dérives de leurs temps.
Une utopie peut désigner également une réalité difficilement admissible : en ce sens, qualifier quelque chose d'utopique consiste à le disqualifier et à le considérer comme irrationnel. Utopia. La page de titre de la première édition latine de 1516 annonce un Libellus vere aureus, nec minus salutaris quam festivus, de optimo reipublicae statu, deque nova Insula Utopia[n 2].
Entre décembre 1516 et novembre 1518, quatre éditions de l'Utopie furent composées par Érasme et Th. More[2]. Ces quatre éditions sont toutes différentes : le texte de Th. More Utopie (extrait) L'utopie de Thomas More : L'imaginaire humaniste et la politique.
L'auteur de la vidéo est clairement engagé (très) à gauche. Il convient de le garder à l'esprit. Toutefois, son propos est exact au fond, en dépit d'une forme plus tendancieuse. – erwanblanchard
Utopie, la quête de la société idéale en Occident. Expo virtuelle Gallica. Les fondateurs du genre utopique, Thomas More au XVIe siècle, Bacon ou Campanella au XVIIe siècle se réclament tous de l'idée gréco-romaine de cité idéale.
En publiant en 1516 Utopia, Thomas More fonde un genre nouveau au croisement de la littérature, de la politique et de la philosophie. Durant la Renaissance, se développe une ample réflexion sur la cité idéale. La découverte du Nouveau Monde permet à l'imaginaire utopique de projeter ses aspirations : certains tentent de réaliser leurs rêves en fondant des colonies. D'autres, architectes visionnaires tels que Boullée ou Lequeu, imaginent des cités et des édifices qui incarnent des valeurs avant de répondre à des besoins.
Platon - La République - De Dicto #13. Diderot tahitiens. LA Tahitiens Diderot. Apologue Troglodytes(texte) Voltaire Candide chap 18 Eldorado. Voltaire Candide chap 18 Eldorado (commentaire) Les Lumières (2/4) : L'utopie au temps des Lumières. L'Encyclopédie en ligne. Smith division travail. Ledoux vue de Chaux (1804) Arc et Senans. Ledoux. Pavillon directeur atelier. Maison directeur. Sam full 11. Panoramique. Ledoux plan saline royale. Dystopie. Une dystopie peut également être considérée, entre autres, comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie ; l'auteur entend ainsi mettre en garde le lecteur en montrant les conséquences néfastes d’une idéologie (ou d’une pratique) contemporaine[1].
De fait, la différence entre dystopie et utopie tient davantage à la forme littéraire et à l'intention de son auteur qu'au contenu : en effet, nombre d'utopies positives peuvent également se révéler effrayantes. [réf. souhaitée] Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont souvent tendance à faire croire qu'une dystopie est, par définition, la description d'une dictature sans égard pour les libertés fondamentales. Il existe cependant des contre-exemples et la critique est divisée quant aux relations entretenues entre la dystopie et les régimes politiques qu'elle vise. Étymologie du mot « dystopie »[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] — Zamiatine, Nous autres, p. 64. Huxley fiche BraveNewWorld. Le Meilleur des mondes. Le roman figure à la 5e place dans la liste des cent meilleurs romans de langue anglaise du XXe siècle établie par la Modern Library en 1998[4].
Il a été adapté à la télévision en 1980, 1998 et en 2020. Résumé[modifier | modifier le code] Présentation du Meilleur des Mondes[modifier | modifier le code] Chapitres 1 à 6. L'histoire débute à Londres, en l’« an 632 de Notre Ford »[Note 1], dans un bâtiment gris nommé « Centre d'incubation et de conditionnement de Londres-Central ». La religion a subi une mutation radicale : les cultes chrétiens, jugés trop empreints de passion, ont été bannis et les croix latines coupées au sommet pour former des T majuscules car, désormais, l'être suprême est... 1984 (roman)
Sur les autres projets Wikimedia : 1984 (roman), sur Wikiquote Il décrit une Grande-Bretagne trente ans après une guerre nucléaire entre l'Est et l'Ouest censée avoir eu lieu dans les années 1950 et où s'est instauré un régime de type totalitaire fortement inspiré à la fois du stalinisme et de certains éléments du nazisme[1],[2].
La liberté d'expression n’existe plus. Toutes les pensées sont minutieusement surveillées, et d’immenses affiches sont placardées dans les rues, indiquant à tous que « Big Brother vous regarde » (Big Brother is watching you). Le monde en 1984 selon George Orwell[5]. Winston Smith, 39 ans, habitant de Londres en Océania, est un employé du Parti extérieur, c'est-à-dire un membre de la « caste » intermédiaire du régime océanien, l'Angsoc (mot novlangue pour « Socialisme anglais »).
BIENVENUE A GATTACA - bande-annonce (vost) La Ferme des animaux de George Orwell (1) : Première partie. A la Ferme du Manoir, Sage l’Ancien, le plus vieux cochon de la ferme, réunit tous les animaux.
Avant de mourir, il souhaite leur faire part de ses réflexions sur leur condition misérable et évoque un rêve qu’il a fait la nuit précédente : la terre était délivrée de l’homme. Lui est revenue en mémoire une chanson qu’il entonne devant eux, Bêtes d’Angleterre, animaux de tous les pays les encourageant au soulèvement. Sage l’Ancien, meurt, mais le soulèvement aura lieu quelque temps plus tard. Les animaux chassent le fermier et les ouvriers de la ferme et prennent le pouvoir.
Les cochons dirigent le nouveau régime. Tout deux pattes est un ennemi.Tout quatre pattes ou tout volatile, un ami.Nul animal ne portera de vêtements.Nul animal ne dormira dans un lit.Nul animal ne boira d'alcool.Nul animal ne tuera un autre animal.Tous les animaux sont égaux. » En direct du studio 119, de la maison de la Radio. La Ferme des animaux de George Orwell (2) : Deuxième Partie.
Désolé, l'écoute de ce son est indisponible.
" Tous les animaux sont égaux, mais (il semble que cela ait été rajouté) il y en a qui le sont plus que d'autres. " A la Ferme du Manoir, Sage l’Ancien, le plus vieux cochon de la ferme, réunit tous les animaux. Avant de mourir, il souhaite leur faire part de ses réflexions sur leur condition misérable et évoque un rêve qu’il a fait la nuit précédente : la terre était délivrée de l’homme. . « Tout deux pattes est un ennemi.