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Related: Les Utopies • Architecture utopique/cité idéaleUtopia La page de titre de la première édition latine de 1516 annonce un Libellus vere aureus, nec minus salutaris quam festivus, de optimo reipublicae statu, deque nova Insula Utopia[n 2]. Entre décembre 1516 et novembre 1518, quatre éditions de l'Utopie furent composées par Érasme et Th. More[2]. Ces quatre éditions sont toutes différentes : le texte de Th. More n'est pas introduit de la même manière, l'île d'Utopie n'est pas abordée ni quittée dans les mêmes conditions. Le titre arrêté pour l'édition définitive de novembre 1518 est De optimo reipublicae statu, deque nova insula Utopia (La meilleure forme de communauté politique et la nouvelle Île d'Utopie)[n 3].
Revisitez les utopies d'hier et pariez sur le Paris de demain avec Schuiten & Peeters "Revoir Paris" de François Schuiten et Benoît Peeters © Casterman - 2014 De Jules Verne à Le Corbusier, en passant par Albert Robida et Auguste Perret, François Schuiten et Benoît Peeters proposent de “Revoir Paris” dans une exposition qui fait dialoguer leurs visions de la ville avec des utopies d’architectes et d’urbanistes. Avant d'être une exposition, “Revoir Paris” est la nouvelle bande dessinée créée par le duo d’auteurs Schuiten (dessinateur) & Peeters (scénariste), disponible dans toutes les bonnes librairies depuis le début du mois.
En scènes : le spectacle vivant en vidéo Introduction Si l'on écarte le répertoire de Molière, exception unique de la scène française d'aujourd'hui, on se rend compte que la comédie est un genre largement moins joué, moins étudié et même moins respecté que la tragédie : né après elle, souvent tenté de prendre modèle sur elle, il pâtit depuis l'époque classique d'une image d'infériorité qui doit beaucoup à la suspicion dans laquelle était tenu le rire par une partie de l'Eglise antique et médiévale. La comédie a donc beaucoup lutté, particulièrement en France, pour se distinguer de la farce, genre populaire sans véritable statut littéraire, quitte pour cela à se dissocier de sa visée d'origine, le rire. La comédie ancienne grecque Cela, pourtant, n'a pas toujours été le cas. Lorsqu'elle naît en Grèce dans les années 480 av.
Utopie L’utopie (mot forgé par l'écrivain anglais Thomas More, du grec οὐ-τόπος « en aucun lieu ») est une représentation d'une société idéale sans défaut contrairement à la réalité. C'est un genre d'apologue qui se traduit, dans les écrits, par un régime politique idéal (qui gouvernerait parfaitement les Hommes), une société parfaite (sans injustice par exemple, comme la Callipolis de Platon ou la découverte de l'Eldorado dans Candide) ou encore une communauté d'individus vivant heureux et en harmonie (l'abbaye de Thélème dans Gargantua de Rabelais en 1534), souvent écrites pour dénoncer les injustices et dérives de leurs temps. Une utopie peut désigner également une réalité difficilement admissible : en ce sens, qualifier quelque chose d'utopique consiste à le disqualifier et à le considérer comme irrationnel. Genre opposé, la dystopie — ou contre-utopie — présente non pas « le meilleur des mondes » mais « une utopie en sens contraire », selon F. Rouvillois[1]. Platon (tableau de Raphaël).
L’architecture utopique Français - histoire des arts / 3e-2de Par Vanessa Padioleau, docteur en langues et littératures anciennes, professeure à l’École de management en alternance de Vendée, formatrice à l’AFPIA Ouest L’architecte des Lumières DOC A La Saline royale d’Arc-et-Senans, 1775. Dessin de Claude-Nicolas Ledoux, gravure de Pierre-Gabriel Berthault, 1804. Paris édénique Dystopie Une dystopie peut également être considérée, entre autres, comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie ; l'auteur entend ainsi mettre en garde le lecteur en montrant les conséquences néfastes d’une idéologie (ou d’une pratique) contemporaine[1]. De fait, la différence entre dystopie et utopie tient davantage à la forme littéraire et à l'intention de son auteur qu'au contenu : en effet, nombre d'utopies positives peuvent également se révéler effrayantes.[réf. souhaitée] Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont souvent tendance à faire croire qu'une dystopie est, par définition, la description d'une dictature sans égard pour les libertés fondamentales. Il existe cependant des contre-exemples et la critique est divisée quant aux relations entretenues entre la dystopie et les régimes politiques qu'elle vise. Étymologie du mot « dystopie »[modifier | modifier le code]
Architecture et Utopie Nous allons tenter de mener une analyse et recherche de l’utopie dans l’architecture, qui est l’Art de construire des édifices, et nous verrons plus de « projets » que de bâtiments construits, ce qui paraît assez vraisemblable lorsqu’il s’agit d’interroger l’idée d’utopie. Utopie vient du mot latin utopia, forgé sur le grec : ou (non) topos (lieu) : en aucun lieu. L’Utopie, ce pays imaginaire où un gouvernement idéal règne sur un peuple heureux, est dans le livre de Thomas More, une île existante mais dont on aurait perdu la trace ce qui nous la rend inaccessible. Nous allons traverser dans un ordre chronologique différentes périodes de l’architecture, tout d’abord, les projets de mégastructures, entre 1950 et 1960, qui relèvent d’un univers imaginaire et science-fictionnel mais répondent à des problèmes bien réels : nécropoles, congestion, raréfaction des ressources, surpopulation. A partir de 1960 apparaît ce qu’on pourrai définir comme une crise de la mégastructure.
Le Meilleur des mondes Le roman figure à la 5e place dans la liste des cent meilleurs romans de langue anglaise du XXe siècle établie par la Modern Library en 1998[4]. Il a été adapté à la télévision en 1980, 1998 et en 2020. Résumé[modifier | modifier le code] Présentation du Meilleur des Mondes[modifier | modifier le code] Chapitres 1 à 6. L'histoire débute à Londres, en l’« an 632 de Notre Ford »[Note 1], dans un bâtiment gris nommé « Centre d'incubation et de conditionnement de Londres-Central ».
ARCHITECTURE ET VILLE UTOPIQUES 1 Utopie : Le terme fut inventé par Thomas More en 1516 et désigne une île imaginaire, lieu ou non-lieu d’une société idéale construite par les hommes. Il signifie lieu de nulle-part (ou-topos en grec = non-lieu ) et lieu de bonheur (eutopos). 1984 (roman) Sur les autres projets Wikimedia : 1984 (roman), sur Wikiquote Il décrit une Grande-Bretagne trente ans après une guerre nucléaire entre l'Est et l'Ouest censée avoir eu lieu dans les années 1950 et où s'est instauré un régime de type totalitaire fortement inspiré à la fois du stalinisme et de certains éléments du nazisme[1],[2]. La liberté d'expression n’existe plus.
Les Arcs plastiques: carnet de voyage en utopie Niveau: 3ème Séquence sur l'Utopie et la dystopie. Recherche documentaire sur l'architecture utopique. Consignes carnet de voyage en Utopie : Transforme ton cahier d’Arts Plastiques en carnet de voyage imaginaire. Expo virtuelle Gallica Les fondateurs du genre utopique, Thomas More au XVIe siècle, Bacon ou Campanella au XVIIe siècle se réclament tous de l'idée gréco-romaine de cité idéale. En publiant en 1516 Utopia, Thomas More fonde un genre nouveau au croisement de la littérature, de la politique et de la philosophie. Durant la Renaissance, se développe une ample réflexion sur la cité idéale. La découverte du Nouveau Monde permet à l'imaginaire utopique de projeter ses aspirations : certains tentent de réaliser leurs rêves en fondant des colonies. D'autres, architectes visionnaires tels que Boullée ou Lequeu, imaginent des cités et des édifices qui incarnent des valeurs avant de répondre à des besoins.