Biais cognitif : nos choix définissent nos préférences. Parfois, nous choisissons les choses que nous aimons.
Et parfois au contraire, nous aimons les choses justement parce que nous les avons choisies. Ce biais cognitif nous permet de justifier un choix a posteriori, même s'il a sur le moment été fait au hasard. Les singes et les enfants en sont également victimes… Ainsi que les nourrissons, concluent des travaux de l'Université Johns Hopkins (Etats-Unis) oubliés dans Psychological Science.
Cognitive Biases. Les biais cognitifs nuisent-ils à la réflexion ? Les biais cognitifs, également appelés distorsions cognitives, sont des mécanismes qui dévient notre pensée du raisonnement rationnel.
Ils influent à notre égard les prises de décision auxquelles nous sommes confrontés. Nuisent-ils ainsi à notre réflexion ? Notre cerveau cherche des solutions lorsqu'il est confronté à des situations qui exigent une réflexion. « Fake news » : Quels sont ces biais cognitifs qui trompent notre cerveau ? Qui dit « vacances « dit… « cahier de vacances » !
Alors que la période estivale est bien entamée, on a décidé de vérifier les connaissances que vous avez acquises grâce à Oh My fake tout au long de cette année. Comment ? Avec un petit quiz concocté par Clémence, qui vous permettra de vérifier que vous êtes incollables sur les biais cognitifs. Le biais de réactance : pourquoi ne faisons-nous pas les choses, même si c'est pour notre bien ? Cet article est réservé aux abonnés !
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Comment les biais cognitifs trompent-ils notre cerveau ? "Vous êtes au supermarché, vous voyez un produit à 9 euros mais il y a écrit dessus : c'était 15 euros avant, il est en promotion.
Alors vous allez vous dire : 'Ah, c'est une bonne affaire'. Peut-être que si vous aviez vu le même produit juste à 9 euros sans la promotion marquée, vous auriez dit : 'Non, 9 euros, c'est quand même très cher. " Ce phénomène qui se produit dans notre cerveau, c'est le biais cognitif. Plus précisément, c'est une déviation par rapport à ce qui devrait être la réponse rationnelle de la manière dont on va réagir. Le biais de confirmation C'est le fait d'avoir tendance à filtrer les informations et à les appréhender d'une manière biaisée de sorte à donner plus de poids aux informations qui confirment ce qu'on pensait déjà et au contraire de donner moins d'importance à celles qui pourraient nous faire changer d'avis. La pensée de groupe Le biais de disponibilité. Codex des Biais Cognitifs. Eviter les pièges de la pensée.
Comprendre les biais cognitifs Un biais cognitif est une forme de pensée qui met en oeuvre de manière systématique des distorsions dans le traitement de l'information.
La vie en biais. Fake News, Post-Truth, Filter Bubble, toute puissance des algorithmes, voilà, parmi d'autres, quelques-unes des expressions qui semblent aujourd'hui caractériser le plus notre rapport au numérique. Après le lancement de l'initiative assez étonnamment controversée du Décodex du site Le Monde, sonne aujourd'hui l'heure de la mobilisation face aux Fake News en France, avec comme contexte l'élection présidentielle à venir, et en mobilisant les grandes plateformes (Facebook et Google) avec l'aide de journalistes et de sites de presse, comme l'expliquent Le Monde et Les Echos : Comme "média", "le" numérique tel qu'en tous cas il prend forme au sein des gigantesques écosystèmes de services ou plateformes que sont Google, Facebook et quelques autres, ce numérique là dispose d'un certain nombre d'invariants qui sont autant de fonctions et de caractérisations précises de ses modes d'agir et qui façonnent en retour la manière dont nous interagissons avec lui. 4 invariants fondamentaux. 1. 2. 3.
II — Algorithmes, biais : Comment les réseaux sociaux favorisent les fake news scientifiques. Comme on l’a exploré dans la première partie de cette série, la généralisation de l’usage des réseaux sociaux a eu pour conséquence de multiplier les supports et les acteurs de la médiation des sciences, modifiant en profondeur la relation à leur audience.
Mais elle a aussi déclenché une massification de l’information qui, traitée par des algorithmes de personnalisation, a eu un impact profond sur la capacité du public à comprendre cette information. L’impact le plus évident des nouvelles plateformes sociales est qu’elles ont permis de publier facilement de nombreux discours sans légitimité institutionnelle ou universitaire. La diffusion de l’information reliée aux sciences sur les plateformes sociales est non seulement massive, mais elle est aussi encapsulée dans des formats uniques qui mettent au même niveau tous les messages, qu’ils se basent ou non sur des résultats de recherche valides.