Une histoire de Levittown. « La famille qui a eu le plus grand impact sur le logement d’après-guerre aux États-Unis était Abraham Levitt et ses fils, William et Alfred, qui a finalement construit plus de 140.000 maisons et transformé une industrie artisanale dans un processus de fabrication important. » -Kenneth Jackson La famille Levitt a commencé et perfectionné leurs techniques de construction de la maison pendant la Seconde Guerre mondiale avec des contrats pour construire des logements pour les militaires sur la côte Est.
Après la guerre, ils ont commencé à construire des subdivisions pour le retour des anciens combattants et leurs familles . Leur première subdivision majeure était dans la communauté de Roslyn à Long Island qui se composait de 2.250 maisons. Après Roslyn, ils ont décidé de mettre leur dévolu sur de plus grandes et meilleures choses. Premier arrêt: Long Island, NY Passant à la Pennsylvanie Un troisième développement dans le New Jersey. Villes de demain et EcoQuartiers. Chez Bâtir-RH, nous suivons de près l’actualité de la construction et du bâtiment pour comprendre les enjeux actuels et futurs des entreprises en termes de business et de recrutement.
C’est également fondamental pour conseiller et accompagner les ingénieurs dans leur évolution de carrière. Les projets d’éco-quartiers sont en pleine expansion dans le monde entier et visent à se démocratiser. C’est une tendance de fond du secteur du BTP. Nous vous présentons dans cet article un projet d’éco-quartier en Allemagne : le Heidelberg Village et reviendrons sur le concept même d’écoquartier. Végétalisation, murs solaires et peinture « piège à pollution » sont quelques caractéristiques de ce tout nouvel éco-quartier. La Ville de Heidelberg veut développer un quartier qui serait un des plus propre du monde et dans lequel il fera « mieux vivre ensemble ». Composé de deux immeubles, ce projet est présenté comme « le plus grand complexe passif au monde ». Qu’est-ce qu’un éco-quartier ?
"Superblocks" à la rescousse de l’urbanisme catalan. La capitale catalane envisage une réduction drastique du trafic automobile pour lutter contre la pollution et les niveaux de bruit devenus insupportables.
Barcelone – L’Eixample Barcelone est rythmée depuis 150 ans par le plan visionnaire de l’urbaniste Cerdà qui réforma son aménagement et son extension urbaine en 1860. Mais ce qui, autrefois, fût conçu pour rendre la ville plus saine, doit être désormais repensé pour ces mêmes raisons. De récentes études établissent que 3 500 décès par an seraient dus à la pollution de l’air et que plus de 60 % des habitants subiraient des nuisances sonores susceptibles d’avoir des répercussions sur leur santé. Comme l’indique The Guardian, la municipalité catalane a mis au point un nouveau plan de déplacement pour rendre la rue aux habitants. Superblocks – Barcelone – BCNecologia Le manque d’espaces verts est également une des raison ayant conduit à la mise en oeuvre de cette nouvelle organisation.
Barcelone – Eixample. Regard critique sur la smart city. Louer les mérites de la "ville intelligente" est une chose.
Mais pas au point d’en être aveuglé. Une nouvelle étude pointe les travers de la ville fantasmée de demain. Les mises en garde sont d'autant plus intéressantes qu'elles émanent de Joshfire, une agence conseil en innovation Pour la première fois, un acteur du développement technologique des villes intelligentes porte un regard moins adorateur et propagandiste sur cette cité presque utopique des temps modernes. Un espace urbain de vie en constante démarche d’innovation dont les infrastructures et habitants sont connectés entre eux -et vers l’extérieur- dans le but d’améliorer la qualité de vie, les richesses, la résilience et la durabilité.
L'agence, propriété depuis 2014 d'UserADgents n'évoque pas le danger des graves déséquilibres socio-culturels ni les méfaits de la sur-urbanisation, mais son regard critique mérite que nous nous y attardions. Big Mother remplace Big Brother. « La smart city n'aime pas les pauvres ! » En guise d’échauffement avant le OuiShare Fest 2017, le think tank OuiShare organisait une table ronde à Paris, le 15 février, sur le thème « La smart city n’aime pas les pauvres !
». Les points de vue d’architectes, chercheurs, associations et entreprises se sont confrontés autour de cette affirmation péremptoire. Plus de questions que de réponses à l’issu de ces échanges, mais une certitude tout de même : tout reste à inventer dans la ville de demain. Des objets connectés au service de l’urbanisme, une optimisation des flux grâce aux big data, une capacité d’adaptation rapide de l’espace public selon les besoins des habitants, une cogestion en démocratie directe des citoyens grâce aux technologies… La notion de « ville intelligente » recouvre une réalité plutôt vaste et carrément floue. Dépendance et perte de résilience Premier constat dressé par les intervenants : la smart city n’est pas une idée neuve. « Nos égouts sont déjà connectés. Pauvreté terriroriale et sociale.