Sonate au clair de lune - Partition de piano à télécharger. LUDWIG VAN BEETHOVEN. ※ Écrits E.
Anderson dir., The Letters of Beethoven, 3 vol., Macmillan, Londres, 1961, rééd. Norton, New York, 1986 J. Chantavoine dir., Correspondance de Beethoven, Calmann-Lévy, Paris, 1903, 7e éd. 1927. Partitions gratuites. Argerich plays Prokofiev - Piano Concerto no. 3 [Abbado] (Audio + Sheet Music) Claude Debussy - String Quartet in G Minor (With SCORE) Gustav Holst - The Planets. Edvard Grieg - Piano Concerto in A minor. Maurice Ravel - Piano Concerto in G major. Sergei Rachmaninoff ‒ Piano Concerto No.1, Op.1. Johann Sebastian Bach. Le Clavier bien tempéré.
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Le premier livre - BWV 846 à BWV 869 - dont le manuscrit est achevé en 1722, mais sera revu encore jusqu'à la mort de Bach en 1750, porte le titre suivant (en allemand) : « Clavier bien tempéré, ou préludes et fugues dans tous les tons et demi-tons, tous deux avec la tierce majeure ou ut, ré, mi et avec la tierce mineure ou ré, mi, fa. Pour la pratique et le profit des jeunes musiciens désireux de s'instruire et pour la jouissance de ceux qui sont déjà rompus à cet art. » Le second livre - BWV 870 à BWV 893 - dont le manuscrit est de 1744, suit le même schéma : chaque livre comprend 24 groupes constitués d'un prélude et d'une fugue dans la même tonalité majeure et mineure.
Le livre débute par la tonalité de do majeur, puis par celle de do mineur, suivie de do# majeur, etc. jusqu'à avoir parcouru toute la gamme chromatique en mode majeur et en mode mineur. Variations Goldberg. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les Variations Goldberg (page de titre) Les Variations Goldberg constituent une œuvre pour clavecin composée par Johann Sebastian Bach portant le numéro 988 dans le catalogue BWV. Cette œuvre, composée au plus tard en 1740, constitue la partie finale — et la clef de voûte — de la Clavier-Übung publiée à Nuremberg par Balthasar Schmidt. (12) Bach - Prélude en Do Majeur - Piano - BWV 846 - Prelude C Major. Concertos pour clavecin de Bach. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Dès 1721, le concerto brandebourgeois no 5 comporte une partie soliste importante pour le clavecin. Durant les années 1730, il utilise l'orgue comme instrument soliste dans des sinfonias. La main gauche doublait alors la basse continue avant de devenir progressivement plus autonome. Jean-Philippe Rameau. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Vous lisez un « article de qualité ». Jean-Philippe Rameau, né le 25 septembre 1683 à Dijon et mort le 12 septembre 1764 à Paris (paroisse Saint-Eustache), est un compositeur et théoricien de la musique français. Rameau est généralement considéré comme l'un des plus grands musiciens français[1],[2] et comme le premier théoricien de l'harmonie classique : ses traités d'harmonie, malgré certaines imperfections, font toujours figure de référence.
Joseph Haydn. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La carrière musicale de Joseph Haydn couvre toute la période classique, allant de la fin du baroque aux débuts du romantisme. Il est à la fois le pont et le moteur qui a permis à cette évolution de s'accomplir[2]. L'image du « papa Haydn »[3] ne vient pas des titres de « père de la symphonie » ou « père du quatuor à cordes » généreusement décernés au XIXe siècle et même de nos jours. La création de ces genres relève d'une genèse un peu plus complexe, mais Haydn a très largement contribué à leur émergence et leur consolidation. Deux de ses frères furent également des musiciens :
Concerto pour clavier en sol majeur de Haydn. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Histoire[modifier | modifier le code] Probablement composé pour être joué par le compositeur lui-même, ce concerto fut publié pour la première fois en 1784, par l'éditeur parisien Boyer. La même année, soit le 28 avril 1784, le concerto fut interprété lor d'une représentation du Concert Spirituel avec comme soliste Maria Theresia von Paradis, claviériste et compositrice viennoise souffrante de cécité. Ludwig van Beethoven. Œuvres principales Dernier grand représentant du classicisme viennois (après Gluck, Haydn et Mozart), Beethoven a préparé l’évolution vers le romantisme en musique et influencé la musique occidentale pendant une grande partie du XIXe siècle.
Inclassable (« Vous me faites l’impression d’un homme qui a plusieurs têtes, plusieurs cœurs, plusieurs âmes » lui dit Haydn vers 1793[c]), son art s’est exprimé à travers différents genres musicaux, et bien que sa musique symphonique soit la principale source de sa popularité, il a eu un impact également considérable dans l’écriture pianistique et dans la musique de chambre. Surmontant à force de volonté les épreuves d’une vie marquée par la surdité qui le frappe à vingt-sept ans, célébrant dans sa musique le triomphe de l’héroïsme et de la joie quand le destin lui prescrivait l’isolement et la misère, il sera récompensé post mortem par cette affirmation de Romain Rolland : « Il est bien davantage que le premier des musiciens.
Biographie. Sonate pour piano nº 23 de Beethoven. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La Sonate pour piano no 23 en fa mineur, op. 57, dite l'« Appassionata », a été composée par Ludwig van Beethoven entre 1804 et 1805[1]. Sonate "à Kreutzer" pour piano et violon no 9 en la majeur - Beethoven, op. 47. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La Sonate pour piano et violon no 9 en la majeur de Ludwig van Beethoven, op. 47, est une sonate pour piano et violon en trois mouvements composée entre 1802 et 1803[1],[2] et publiée en 1805[2] avec une dédicace au violoniste français Rodolphe Kreutzer, d'où sa fameuse appellation de Sonate à Kreutzer. Il s'agit de la plus célèbre sonate pour piano et violon de Beethoven. C'est aussi la plus longue (40 minutes environ) et la plus difficile dans sa partie violonistique. Histoire de l'œuvre[modifier | modifier le code] La Sonate pour piano et violon no 9 est une œuvre de la seconde période créatrice de Beethoven. L'accueil des critiques fut très réservé, l’Allgemeine musikalische Zeitung considérant que Beethoven y avait « poussé le souci de l'originalité jusqu'au grotesque » et qu'il se montrait adepte d'un « terrorisme artistique »[5].
Franz Schubert. Moments musicaux de Schubert. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Moments musicaux, D. 780, op. 94, de Franz Schubert sont six pièces pour piano de la période créatrice tardive du musicien. Le premier éditeur de ces pièces les avait intitulées, dans un français approximatif, Momens musicals, un titre sous lequel on s'y réfère encore parfois. Leur genèse comporte beaucoup d'inconnues et leur écriture s'étale entre 1823, date de l'édition de l'Air russe (le plus connu du cycle) et 1827, date de l'édition de l'intégralité des pièces. Impromptus de Schubert. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Impromptus pour piano regroupent deux séries de quatre courtes pièces composés par Franz Schubert en 1827.
Schubert composera 3 nouveaux morceaux dans le même esprit en mai 1828, juste avant sa mort, mais sans leur donner de titre. Ils seront baptisés par Johannes Brahms lors de leur première édition en 1868 après la mort du compositeur : Drei Klavierstücke (« Trois pièces pour piano »). Quatre impromptus, D. 899, op. 90[modifier | modifier le code] On peut raisonnablement lier la composition des impromptus aux vacances que Schubert a passées avec son ami Jenger, en septembre 1827, à Graz.
Sonate pour piano nº 17 de Schubert. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Sonate pour piano en ré majeur, D. 850, composée en août 1825, est la dix-septième sonate de Franz Schubert. Présentation[modifier | modifier le code] Son exécution demande une quarantaine de minutes. Analyse[modifier | modifier le code] Fantaisie en fa mineur (Schubert) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La Fantaisie en fa mineur, D. 940 est une œuvre pour piano à quatre mains composée par Franz Schubert en 1828. Le répertoire pour piano à quatre mains de Schubert reste peu connu, car destiné essentiellement par ce dernier à être joué dans le cadre intime d'un groupe d'amis, les Schubertiades. Ces œuvres furent d'ailleurs créées plus pour les exécutants que pour les auditeurs et elles font rarement partie des programmes de récitals. Cette fantaisie est la seule pièce de ce genre qu'il ait composée dans sa maturité.
C'est, de loin, la pièce la plus connue ; elle est d'ailleurs considérée comme une des œuvres majeures de la littérature pour piano à quatre mains. Elle est dédicacée à la comtesse Caroline Esterhazy, une élève du compositeur dont ce dernier était probablement amoureux. La fantaisie comprend quatre parties et sa durée d'exécution est d'environ vingt minutes. Franz Liszt. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Franz Liszt Liszt en 1858. Œuvres principales. Mazeppa (étude pour piano) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Robert Schumann. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec l'homme politique français et « père de l'Europe » Robert Schuman. Robert Schumann (en allemand, Robert Alexander[1] Schumann) est un compositeur allemand né le 8 juin 1810 à Zwickau et mort le 29 juillet 1856 à Endenich (aujourd'hui un quartier de Bonn).
Concerto pour piano de Schumann. Grande Humoresque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Kreisleriana (Robert Schumann) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. S. Prokofiev : Concerto for piano no. 2 op. 16 in G minor - 1st mov. (Vinnitskaya) Antonín Dvořák. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Huit humoresques. Modeste Moussorgski. Camille Saint-Saëns. César Franck. Prélude, Choral et Fugue. Concerto pour piano nº 5 de Saint-Saëns.
Claude Debussy. Suite bergamasque. Arabesques (Debussy) Isaac Albéniz. Enrique Granados. Mario Castelnuovo-Tedesco. Edvard Grieg. Concerto pour piano de Grieg. Alexandre Scriabine. Sonates pour piano de Scriabine. Sergei RACHMANINOFF. Сегодня день памяти русского композитора С. В. Рахманинова.
Rachmaninoff-Kocsis - Vocalise for piano solo (with sheet music) Rachmaninoff: Piano Concerto #3 (Weissenberg 1968) [with score] S. Prokofiev : Concerto for piano no. 2 op. 16 in G minor - 1st mov. (Vinnitskaya) Sergei Prokofiev - Piano Concerto No. 3. Sergei Prokofiev - Piano Concerto No. 4 (for the left hand) Erik Satie. Gymnopédies (Satie) Dmitri Chostakovitch. Sonate pour piano n° 1 de Chostakovitch. Béla Bartók. Concerto pour piano n° 1 de Bartók. Francis Poulenc. Concerto en ré mineur pour deux pianos et orchestre.