12 technologies qui vont changer le monde (et tuer des emplois) L’institut de conseil McKinsey a publié un rapport en mai intitulé « Technologies de rupture : des avancées qui changeront la vie, le commerce et l’économie mondiale ».
Dans ce document de 180 pages, douze innovations sont listées, toutes capables de modifier le monde à l’horizon 2025. Une technologie dite « de rupture » a une particularité : comme l’indique son nom, elle rompt avec le marché existant – qu’elle altère ou détruit – et modifie le paysage économique en profondeur. Les exemples ne manquent pas dans l’histoire récente : les moteurs ont rendu la force animale obsolète, le téléphone a signé la mort du télégramme, la photographie numérique a enterré l’argentique... Impact économique et capacité de rupture Les années 2000 ont aussi eu leur lot de ruptures technologiques « en devenir » avec par exemple le téléchargement face à l’achat de formats physiques, le livre numérique, l’e-commerce... Une création de richesse astronomique. La loi des chaises. Numéro après numéro, Fakir poursuit son « Dictionnaire des conquêtes sociales ».
Une ébauche, du moins. Parce que la vraie version de cette « Histoire populaire » à la française, c’est avec vous qu’on va l’écrire.Et parmi les conquêtes, y a les grandes et les toutes petites. Presque invisibles : dans les grands magasins du 19ème, les vendeuses traînent des sièges toute la journée… mais sans le droit de s’asseoir dessus. Jusqu’à « la loi des chaises ». « “Puisque vous n’avez rien de possible à me montrer, dit brusquement Madame Desforges, conduisez-moi aux robes et costumes.” Il n'y a pas de classe moyenne ni « des » classes moyennes. Nous reproduisons un article paru dans le numéro de janvier de la revue Démocratie & Socialisme Il est intéressant d’écouter dans l’immense buzz médiatique toutes les imprécisions de vocabulaire de celles et ceux, qui parlent en permanence et à tort et à travers « des classes moyennes ».
Parfois ils parlent aussi de « couches » moyennes. Ce n’est pas très nouveau, en fait : Marx était à peine mort que toutes les théories voyaient proliférer une énorme « nouvelle petite bourgeoisie » (sic) de fonctionnaires, d’employés, de cadres, d’ingénieurs, de techniciens et de nouvelles professions libérales au sein d’un secteur « tertiaire » hypertrophié. Mais ils sont totalement incapables de vous les décrire aujourd’hui et de vous dire de quoi il s’agit.
Pourquoi ? Il est assez facile de distinguer la classe supérieure : 5 % possède environ 50 % du patrimoine. Le coût du travail (par J.-M. Muglioni) Le coût du travailpar Jean-Michel Muglioni En ligne le 10 mars 2012 Jean-Michel Muglioni, n’étant pas candidat à une élection, propose ici quelques réflexions sur le coût du travail sans prétendre apporter la moindre solution ni donner à quiconque le moindre conseil.
Sommaire de l'article 1 - Le vivant coûte plus cher que la machine La dénomination d’unité de puissance cheval-vapeur conserve le souvenir du passage de la traction animale à la machine à vapeur : à la fin du XVIII° siècle, il fallait montrer que le mécanique coûte moins cher que le vivant. 2 - L’idée géniale de faire baisser le coût du travail Dans les années 70 du XX° siècle, les payeurs ayant cédé aux exigences des travailleurs, le salariat finit par coûter trop cher. 3 - Une ruse géniale : créer un pays à bas-coût en Europe. Paul Jorion : "Le travail disparaît" CSOJ.
Que ferons-nous quand les robots feront le travail ? Je vous présente notre futur proche.
Il s’agit de mademoiselle Ucroa HRP-4C, elle mesure 1,58 m. Elle est la première série de robots humanoïdes avec interface IA (intelligence artificielle). Consommateur au labeur, par Laurent Cordonnier. Les loisirs, ce n’est pas de tout repos.
L'obsolescence programmée contre l'humanité. L’obsolescence programmée où «désuétude planifiée» est l’ensemble des techniques permettant de réduire la durée d’utilisation ou de vie d’un produit afin d’en augmenter le taux de remplacement.
Du coup, c’est un moyen d’obliger le consommateur a acheter un nouveau produit afin de remplacer celui qui est tombé en panne.