Le bus-salon de beauté qui remet les femmes sur la route de l’emploi fait escale à Moissy-Cramayel. Un bus pour chouchouter les femmes de l’Oise en difficulté. « La vache!
» En saisissant le miroir face à elle, Elloumi est stupéfaite. La quinquagénaire, fardée, pomponnée, les traits illuminés, n'est pas à Hollywood ou dans les coulisses d'un théâtre : elle sort d'une cabine de soins itinérante, stationnée ce jeudi sur le parking du centre social de Grandvilliers. Le bus qui porte le dispositif accueille des femmes en situation de précarité sociale ou d'isolement, à l'initiative de la Fondation L'Oréal et des acteurs sociaux des différentes communes de passage. Meet-Up du Lab Santé Île-de-France : l’Uriopss à la rencontre de l’innovation.
Hackathon “Handicap, mobilité et accessibilité” - LIBERTÉ LIVING-LAB - Medium. Repenser l’accessibilité et les déplacements des personnes en situation de handicap grâce à des solutions technologiques. co-organisé par le Liberté Living-lab, le Lab Santé et l’Agence Régionale de Santé d’Ile-de-France Les 10, 11 et 12 décembre, le Liberté Living-lab a accueilli et co-organisé le Hackathon « Handicap, mobilité et accessibilité » du Lab Santé et de l’Agence Régionale de Santé d’Ile-de-France.
Insécurité dans les Uber : "À un moment, je vois qu'il baisse son jogging...", raconte une victime. Une crainte pour la sécurité des passagers, notamment des femmes.
C'est l'une des raisons qui a poussé lundi la ville de Londres à suspendre le permis d’exercer d'Uber. Si la plateforme de VTC compte faire appel de cette décision, il suffit de se rendre sur les réseaux sociaux, où de nombreuses femmes témoignent avec le hashtag UberCestOver. En une semaine, on compte déjà plus de 500 témoignages, de femmes embrassées de force, touchées, insultées, menacées, ou encore suivies jusqu'à leur domicile. Parmi elles, Camille, victime de son chauffeur alors qu'elle rentrait chez elle après un concert. "Il a commencé à me dire, 'je suis sûr que tu es chaudasse, que tu aimes le sexe, que tout ça te plait'", raconte la jeune fille au micro d'Europe 1. "Je suis sortie en courant, j'ai vite refermé la grille, et c'est quand je me suis retrouvé dans le hall de mon immeuble que j'ai réalisé et que je fonds en larmes d'un coup. Uber entraîne bouchons et pollution dans les grandes villes. Le géant américain Uber le clame fièrement sur son site Internet : « nos équipes, nos processus et notre technologie peuvent aider à transformer les villes en des lieux plus sûrs, plus performants et plus beaux ».
Dix ans après sa création, la célèbre application de réservation de chauffeurs, qui se présente comme une alternative à la voiture individuelle, a surtout causé des embouteillages et de la pollution dans des capitales déjà très congestionnées comme Paris, Londres ou Bruxelles. Telle est la conclusion moins enthousiaste d’une étude inédite publiée jeudi 21 novembre. Réalisée par l’ONG européenne Transport & Environment pour Sierra Club, la principale association écologiste américaine, elle se fonde notamment sur les données collectées par Euromonitor, spécialiste des études de marché. Uber est aujourd’hui implanté dans près de 800 villes dans le monde avec environ trois millions de chauffeurs.
Lire aussi A Paris, Uber veut changer les particuliers en taxis. Le fondateur de Bolt explique pourquoi Uber fait fausse route. Markus Villig n'avait que 19 ans lorsqu'il a lancé Bolt, dans la capitale estonienne Tallinn, en 2013.
Six ans plus tard, il peut contempler son œuvre avec satisfaction: l'ex-Taxify est désormais évaluée à 1 milliard de dollars [900 millions d'euros], et Villig est considéré comme le plus jeune fondateur de licorne. La valeur n'attend pas le nombre des années, les leçons non plus. Dans une interview à Business Insider, Markus Villig se présente comme un anti-Uber ayant longuement lutté pour convaincre les investisseurs que le modèle de développement du géant américain n'était pas le bon. Les Anglo-Saxons ont une expression pour qualifier la stratégie d'Uber: «Winner takes all.» Uber n’a plus le droit d’exercer à Londres. Au Club Med, le digital veut simplifier la vie des salariés. Entrée au Club Med en 1999, Sylvie Brisson a occupé les postes de responsable RH Métiers supports et mobilité internationale, de DRH Siège et Mobilité internationale et de directrice développement RH.
Elle est directrice générale ressources humaines du Club Med depuis 2010. Management : Vous lancez cet automne Workday, une appli pour simplifier la vie de vos salariés. En quoi consiste-t-elle ? Le Club Med repense son "expérience collaborateur" - ERP/SIRH. Quinze ans que le Club Med a entamé sa mue.
La presque septuagénaire et mythique entreprise à l'origine du concept des vacances « tout compris » a connu des heures sombres. Avant d'amorcer son virage vers les prestations haut de gamme et de redéployer son activité à l'international. Ces entreprises se disruptent de l'intérieur, et ça marche ! Poussées par les évolutions réglementaires, les nouvelles technologies mais aussi par des clients de plus en plus exigeants, les entreprises veillent à faire le «bien» autour d'elles.
Mais produire plus propre, plus bio, reboiser ou former les populations locales ne suffit déjà plus. Il faut désormais convaincre aussi en interne ses propres collaborateurs des vertus de son modèle économique et de son impact positif sur la société tout entière. Plus question de se contenter d'un joli rapport imprimé sur du papier recyclé ! Les candidats n'hésitent plus à renoncer à un meilleur salaire pour un employeur réellement engagé. Clients, partenaires, collaborateurs veulent du concret, de l'action et de l'impact positif. Des comités de direction ouverts aux clients Parmi les leviers à la disposition des entreprises, on trouve le co-développement ou la co-création.
Au Club Med, le digital veut simplifier la vie des salariés. Comment Google fait-il pour offrir tant d'avantages à son staff tout en restant rentable? Temps de lecture: 2 min Cet article est publié en partenariat avec Quora, plateforme sur laquelle les internautes peuvent poser des questions et où d'autres, spécialistes du sujet, leur répondent.
La question du jour: «Comment Google fait-il pour offrir tant d'avantages à ses employés tout en restant rentable?» La réponse de Travis Addair, ancien ingénieur logiciel chez Google (2013-2015): Les salariés de Google appellent leur direction à faire davantage pour le climat. Les salariés de Google ont un message pour l'état-major du géant américain.
Dans une lettre ouverte adressée à la directrice financière de Google, Ruth Porat, 1 137 salariés du groupe américain ont appelé ce dernier à prendre des mesures pour lutter contre le réchauffement climatique. "Nous, soussignés, 1 137 salariés de Google, conformément à la gravité et à l'urgence de la crise climatique mondiale et des dommages disproportionnés qu'elle cause aux personnes marginalisées, demandons à Google de s'engager et de publier un plan climat à l'échelle de l'entreprise", indiquent les employés du fleuron californien. Ne plus émettre d'émission de carbone d'ici à 2030 Des objectifs qui ne sont pas sans rappeler les exigences rendues publiques en septembre par un groupe de militants issus des effectifs de Google, ces derniers indiquant qu'ils participeraient à la grève mondiale sur le climat, qui a coïncidé avec le Sommet des Nations Unies sur le climat à New York.
Google : L’entreprise licencie quatre salariés impliqués dans des mouvements de protestation. Quatre salariés de Google ont été licenciés, ce lundi, après avoir consulté des documents auxquels ils n’auraient pas dû accéder, provoquant la colère des autres employés qui y voient une mesure de représailles envers des personnes impliquées dans des mouvements de protestation. Cette décision de l’entreprise est surtout destinée « à entraver toute tentative d’organisation parmi les salariés », estime sur Medium un groupe d’employés de Google qui avait co-organisé fin 2018 un arrêt de travail, baptisé « Google Walkout For Real Change », pour dénoncer la gestion du harcèlement sexuel au sein de l’entreprise. Une collaboration entre Google et l’agence américaine en charge de l’immigration Sans préciser l’identité des salariés concernés, Google a confirmé avoir licencié quatre personnes et le contenu du courriel dévoilé par Bloomberg.
Google sort ses griffes contre la tentation syndicale dans la Silicon Valley. Le licenciement, lundi, de quatre salariés de Google illustre la manière brutale dont les dirigeants de la Silicon Valley font preuve face à la montée des revendications d’une partie des employés. Quitte à faire appel à des professionnels de l’anti-syndicalisme. C’est un conflit social d’un nouveau genre pour la Silicon Valley. Le licenciement par Google de quatre de ses employés, lundi 25 novembre, a suscité un véritable émoi dans le petit monde de la tech californienne et a remis en question la mythique culture de la transparence qui avait fait sa réputation.
Tout d’abord, les causes et les conditions du renvoi des salariés ont du mal à passer. Officiellement, Google les a accusés de “violations répétées” des procédures de sécurité pour avoir accédé à des documents internes sensibles. Google accusé de mener une chasse au militantisme.