Montpellier Méditerranée Métropole. TaM lance une nouvelle application mobile baptisée "M"Ticket TaM" Lancée ce lundi 16 septembre la nouvelle application mobile multimodale de la TaM est annoncée comme la première en France permettant à la fois d'acheter et de valider sur les smartphones (Androïd et Ios) des titres de transport (tramway, bus) et le stationnement sur voirie.
"Cette application était prévue dans le cadre de la délégation de service public accordée par la Métropole à TaM". Ce mercredi matin, au moment de présenter la nouvelle offre de service virtuelle téléchargeable depuis lundi 16 septembre, Abdi El Kandoussi, président de TaM et conseiller spécial à la Métropole a insisté sur l'innovation baptisée "M'Ticket TaM". "L'application met l'usager, via son smartphone, en relation avec le transport, tramway comme bus du réseau de la métropole, et le stationnement sur Montpellier.
" Pour Abdi El Kandoussi, il s'agit là "de s'inscrire un peu dans le projet smart city". La gratuité des tramways et bus de la Métropole en dix questions. Dès le 5 septembre, les transports en commun de Tam seront gratuits de l’ouverture du service du samedi à la fin du service du dimanche.
Vers la fin du système de location Vélomagg. Une petite révolution s’annonce-t-elle à Montpellier ?
Les jours de Vélomagg, ces 400 bicyclettes en libre-service dans 57 vélostations automatiques, semblent comptés. "On étudie aujourd’hui d’autres scénarios que Vélomagg, qui est à bout de souffle, explique Julie Frêche. On veut mettre en place le plus rapidement possible un système de location-accession avec option d’achat de vélo électrique pour que les personnes dont les revenus sont modestes puissent bénéficier de dispositifs d’aide du Département et de la Région. Mais, entre la fin de Vélomagg et le nouveau système, il n’y aura pas de rupture dans l’offre.
" "Vélomagg sert surtout aux occasionnels et aux touristes, observe Olivier Merliaud, directeur général adjoint mobilité environnement à la Métropole. Toulouse ne veut plus de trottinettes en libre-service et ne lancera pas d'appel d'offres. Contrairement à d’autres villes comme Paris ou Lyon, Toulouse ne souhaite pas implanter un système de location de trottinettes électriques en libre-service.
Alors qu’initialement, un appel d’offres devait être mis en place rapidement en vue d’un lancement du service en janvier 2021, la Ville de Toulouse a finalement choisi de rétropédaler sur ce dossier sensible. « Il n’y aura pas d’appel d’offre » « Il n’y aura pas d’appel d’offres », indique Philippe Perrin à Actu Toulouse. BlaBlaCar rachète Ouibus à la SNCF. Uber, Airbnb, BlaBlaCar... L'invasion des barbares. Les fashionstas en rêvaient...
Deux jeunes diplômés d'HEC l'ont réalisé. Imaginez un peu. Entre deux réunions, dans la salle d'attente du dentiste, coincé dans le métro ou dans les embouteillages, il suffit de dégainer son smartphone, de tapoter quelques secondes sur son écran tactile pour décrocher un rendez-vous chez le coiffeur. Non pas dans un salon bondé à l'autre bout de la ville, mais tout simplement chez soi, au bureau ou à l'hôtel, le soir ou le week-end. Au royaume merveilleux de la Netéconomie, les deux jeunes "start-uppers" n'ont eu qu'à prononcer une formule magique pour enchanter les financeurs : l'application Popmyday, c'est le Uber de la beauté.
Uber. « BlaBlaCar ne sera pas rentable cette année », explique son patron Frédéric Mazella. A Toulouse: la première expérience concrète anti-Deliveroo. A Toulouse, le monde de la livraison à vélo est en pleine ébullition.
Après Deliveroo et Allo Resto, Foodora et Uber Eats viennent tout juste de débarquer sur le marché. Une concurrence féroce dans laquelle va bientôt plonger Coopcycle. Uber affronte une nouvelle grève de chauffeurs en France. Des chauffeurs VCT avaient déjà fait grève le 16 janvier 2017 pour dénoncer les conditions de travail avec Uber, ici place de la Bastille à Paris.
Fred VIELCANET/Gamma-Rapho via Getty Images Mauvaise semaine pour Uber en France. Uber n’a plus le droit d’exercer à Londres. L’autorité des transports londonienne a annoncé, lundi 25 novembre, avoir refusé de renouveler la licence d’exercer de la plate-forme de réservation de voitures Uber dans la capitale britannique.
Uber n’est « pas apte » à détenir une licence à Londres, a déclaré Transport for London (TfL) dans un communiqué, en raison de défaillances qui mettent « en danger » les passagers. La licence d’Uber à Londres expirait ce lundi à minuit. La société californienne a aussitôt annoncé qu’elle ferait appel de cette décision, ajoutant qu’elle continuerait de fonctionner jusqu’à ce qu’une décision définitive soit rendue. TfL relève notamment une « faille » dans l’application d’Uber qui permet à des conducteurs sans permis d’installer leur photo sur les comptes d’autres conducteurs, ce qui s’est produit « au moins sur 14 000 trajets » ces derniers mois. Garanties en termes de sécurité Lire les conclusions de l’étude : Uber entraîne bouchons et pollution dans les grandes villes. Uber de nouveau prié de requalifier ses chauffeurs en salariés. La grande mode des restaurants fantômes, uniquement disponibles à la livraison. Ils n'ont ni devanture, ni table, ni serveur et encore moins d'adresse… les restaurants virtuels commencent à percer en France.
Le principe est simple : surfant sur la vague du succès d'Amazon, ces restaurants sans murs ne sont accessibles que sur Internet et leurs plats livrés chez vous en quelques minutes. Le concept est né outre-Atlantique. « Là-bas, on les appelle les restaurants fantôme et ça marche très fort au Canada et aux États-Unis », assure Bernard Boutboul, président du cabinet conseil Gira. D'ailleurs, l'ex-patron d'Uber, le très controversé Travis Kalanick, investit des millions de dollars dans la location d'équipements culinaires aux restaurants virtuels.
En France, des marques comme Frichti, PopChef ou Foodchéri tentent ainsi de séduire avec des mets aux saveurs exotiques des jeunes urbains las de la sempiternelle trilogie pizza-burger-shushi. Si chacun a ses spécialités, ils fonctionnent tous à peu près sur le même modèle. Un business qui a le vent en poupe. Take Eat Easy : la livraison de repas à vélo, c'est fini.
Il y a moins de deux ans, un nouveau venu dans la livraison de repas s'installait à Paris.
Livraison de repas à domicile : «La génération Z va bouleverser nos habitudes» Les restaurants fantômes, vous connaissez? Ils ne sont disponibles que par Internet, généralement via des applications, pour une livraison en ligne.