D’où vient le chômage ? Y a-t-il un remède. Chômage : la "flexisécurité" danoise peut-elle inspirer Manuel Valls ?- 28 novembre 2014. Manuel Valls trouvera-t-il l'inspiration au Royaume du Danemark ?
Le Premier ministre est en visite vendredi 28 novembre au Danemark, officiellement pour convaincre le pays de la détermination de la France à se réformer. Mais cette visite pourrait prendre une autre tournure. Le pays est considéré comme le modèle de la "flexisécurité" du marché du travail. Cela tombe à pic pour Manuel Valls, qui a relancé ces dernières semaines le débat sur une réforme de l'assurance-chômage en France.
Un seul chiffre pourrait convaincre Manuel Valls que le système danois vaut le coup que l'on s'y penche sérieusement : Le Danemark affiche un taux de chômage officiel de 5%, selon les dernières statistiques.En France ? "Le Danemark est un pays qui est toujours très innovant sur le plan social, de l'environnement, des transports... ", souligne d'ailleurs un des conseillers de Manuel Valls à l'AFP. Pourquoi le progrès technique dope de moins en moins la croissance. Et si tout cela ne servait à rien ?
Les robots, l'intelligence artificielle, le big data, les algorithmes de gestion, les machines-outils connectées, les imprimantes 3D, les drones... toutes ces incroyables innovations sorties des labos de recherche et des cerveaux de la Silicon Valley. Comme ça, de but en blanc, la question peut paraître un peu brutale. Pourtant certains économistes commencent bel et bien à se la poser. A leur grande surprise, ils ont en effet découvert que ces formidables avancées technologiques ne faisaient plus guère progresser la productivité - la richesse produite à partir d'une même quantité de travail - telle jadis l'invention de la roue ou du palan.
Et que, en conséquence, elles ne boostaient pratiquement pas la croissance ni n'accroissaient notre niveau de vie. >> En vidéo : L'histoire de l'invention de la valise à roulettes ou pourquoi certaines innovations évidentes sont-elles si tardives ? Simple bataille d’experts ? Tous droits réservés Optimiste Pessimiste. Plus de 75% des Français travaillent désormais dans le secteur tertiaire.
LE SCAN ÉCO - L'Insee offre un tableau complet des 28,6 millions de Français actifs.
On y apprend que plus des trois quart travaillent dans le secteur tertiaire, que presque 90% des actifs sont salariés, et que les trois-quarts sont en CDI... Dans les «Tableaux de l'économie française 2016» publiés ce mardi, l'Insee consacre une partie de sa vaste étude sur l'emploi en France, et sa répartition par activité. On y apprend notamment que la France est devenue plus que jamais un pays de service. • 25,8 millions de Français occupent un emploi en France Sur les 50,8 millions de Français de plus de 15 ans (en 2014), 28,6 millions sont «actifs» au sens du Bureau international du travail.
Les pistes d’économistes pour faire baisser le chômage. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Béatrice Madeline Le président de la République doit présenter, lundi 18 janvier, de nouvelles mesures pour, enfin, « inverser la courbe du chômage », comme il s’y était engagé.
Une fois de plus, pourrait-on dire, tant les plans se succèdent depuis plusieurs décennies pour lutter contre ce fléau : politiques de relance de la demande par la dépense, augmentation du niveau d’études, emplois aidés, emplois jeunes, aides aux entreprises sous la forme d’une diminution des charges, formation des chômeurs, développement de l’apprentissage… Et pourtant, malgré ce déploiement considérable de moyens, avec 10,6 % de sa population active sans emploi en janvier, la France ne parvient pas à résorber le chômage. Parmi les grands pays occidentaux, c’est aujourd’hui l’un des seuls à ne pas avoir réussi à le faire baisser durablement. Alors, que se passe-t-il ?
Lire aussi Emploi : les patrons réclament un « électrochoc » La crise de 1929. La plus grave crise économique du xxe siècle, qui, provoquée par le krach boursier de Wall Street aux États-Unis le 24 octobre 1929, se propagea au monde entier, l'entraînant dans une décennie de récession marquée une augmentation massive du chômage et de la misère, mais également par de profondes transformations sociales et politiques. 1.
Introduction 1.1. Des signes avant-coureurs On fait commencer la Grande Dépression des années 1930 au « krach », c'est-à-dire à l'effondrement des valeurs qui se produit à la Bourse de New York, Wall Street, le « jeudi noir » 24 octobre 1929. Le krach n'est pas cause de la crise : il sert d'occasion à la résolution d'une situation dangereuse. 1.2. Dans l'année 1930, tout le Nouveau Monde, l'Australie et la Nouvelle-Zélande sont atteints. À la fin de 1932, 40 millions de chômeurs complets sont recensés dans le monde industrialisé ; cela rend dérisoires les statistiques sur la baisse du coût de la vie – les prix s'étant effondrés. 1.3. 2. 2.1. Coronavirus : le télétravail, nouvel idéal ? « J’ai appelé mon directeur à 8 heures.
On a créé un Skype et on partage le même bureau. J’appuie sur un bouton, il voit ce que je vois », raconte Elise Geinet, responsable commerciale installée à Bordeaux dans sa cuisine, « car la pièce est grande ». Le télétravail était le quotidien d’Elise avant le Covid-19, il l’est pendant et le sera probablement après. Le ministère du travail a estimé à 30 % (7 millions de personnes) la part de la population active susceptible de travailler à distance – davantage dans les grandes entreprises que dans les petites. Fin mars, un salarié sur 4 était en télétravail, selon une enquête de la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares).
Le premier atout de cette expérience hors norme est d’avoir mis en place ce qui semblait irréalisable. Afficher l'image d'origin. Observatoire français des conjonctures économiques. Observatoire français des conjonctures économiques. Un accord désastreux pour la Grèce et pour l’Europe. Peu d’économistes le contestent : réduire de nouveau les retraites et augmenter encore la TVA dans un pays exsangue ne pourra qu’aggraver la situation économique et la crise humanitaire.
Aucun économiste ne le nie : la Grèce ne pourra pas rembourser sa dette, insoutenable. Pourquoi alors l’Eurogroupe, unanime, exige-t-il depuis six mois de la Grèce de nouvelles mesures d’austérité et un excédent budgétaire extravagant (3,5 % du PIB en 2017) ? François Hollande l’a répété encore ce lundi matin [13 juillet] : pour « respecter les règles » de la zone euro.
Le remboursement des dettes insoutenables et la saignée du malade agonisant font partie des règles intangibles de nos docteurs Diafoirus, allemands ou non. Depuis six mois le gouvernement Syriza lutte courageusement pour honorer son mandat d’interrompre l’austérité. Elle va encore moins payer les salaires des fonctionnaires ou les dépenses sociales. Des milliards de sommes virtuelles L’euro est-il sauvé ? Coup d’Etat financier.