« La ville numérique a besoin d’une gouvernance publique des données, qui implique la population » Elle faisait partie du groupe d’experts chargé de conseiller Waterfront Toronto (l’autorité publique qui réunit le gouvernement canadien, la province de l’Ontario et la ville de Toronto) lors du projet controversé d’écoquartier mené par Sidewalk Labs, filiale de la maison mère de Google, Alphabet, avant son abandon en mai.
Teresa Scassa est responsable de la chaire de recherche du Canada en politiques et droit de l’information à l’université d’Ottawa (Canada), où elle enseigne le droit de la propriété intellectuelle. Smart Cities : des politiques numériques faiblement politisées ? LES MERCREDIS DE L'ANTHROPOCÈNE : MATÉRIALITÉ DE LA VILLE INTELLIGENTE - EMPREINTE ÉCOLOGIQUE. De la ville intelligente à la ville capturée. Cartographie mondiale de la ville intelligente : similitudes et disparités : Millenaire 3, Transformation urbaine. « La plateforme d’une ville » explore les enjeux de la smart city.
Voyage au centre de la ville de demain. Numérique et espace public : quels enjeux ? Mobilier connecté, réalité augmentée, maquettes 3D, civic tech... le numérique impacte les modes de vie et les usages de la ville.
Le Cerema s'intéresse notamment à son impact sur l'espace public, et les articles suivants retracent un premier panorama des enjeux. Le numérique IMPACTE la ville Le numérique, dans ces différentes composantes, impacte fortement le milieu urbain. Nouveaux Modèles Economiques Urbains. AudaCities. « Learning from software » - Métropolitiques. Depuis quelques années, les villes et les métropoles rivalisent de « créativité numérique ».
Les smart cities sont en vogue et les gourous ès prospective urbaine sont unanimes : leur essor est en marche et leur consécration prévue pour les prochaines années. Les scénarios urbains concomitants font entrevoir des avenirs enchantés et les spéculations associées annoncent des villes intelligentes plus efficaces, plus démocratiques et plus vertueuses écologiquement. La ville numérique : quels enjeux pour demain ? - Métropolitiques. La ville numérique est en vogue et rares sont les municipalités et autres collectivités publiques qui ne se soient lancées, aujourd’hui, dans des actions visant à favoriser et diffuser l’usage des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans leurs circonscriptions.
Ces initiatives témoignent de la poussée de l’omniprésence des réseaux numériques dans la vie quotidienne des citadins qui modifie fortement l’accès aux services et aux ressources de la ville. L’internet, les smartphones et les divers assistants numériques que manipulent la plupart des individus sont devenus aujourd’hui, et seront encore plus demain, des vecteurs essentiels de communication et de socialisation. Il faut en convenir, les TIC et les réseaux numériques sont de plus en plus « encastrés » dans les modes de vie et représentent désormais aussi une composante de premier plan du fonctionnement de l’infrastructure environnementale et urbaine. Les biens communs, un « nouveau narratif » pour le XXIe siècle. Niché en haut de la rue Ménilmontant dans le 20e arrondissement de Paris, le bar-restaurant le Lieu dit nous a accueilli une nouvelle fois pour une rencontre en musique afin de conclure notre enquête sur les biens communs.
Rien de tel pour commencer le débat que de sonder le public. Alors pour savoir ce qu’évoque le thème du débat chez chacun, un petit quizz distribué dans la salle demandait : pour vous qu’est-ce que les biens communs ? En tête du classement ce sont les semences qui ont été désignées : 39 voix. En deuxième position : l’eau, les connaissances et la biodiversité avec 36 voix. Puis en troisième position les informations : 35 voix. Les « communs » : une organisation ancienne Pour lancer le débat, Benjamin Coriat, professeur de sciences économiques à l’université Paris 13 et membre du Collectif des économistes atterrés, a tenu à marquer la distinction théorique entre les biens communs et les communs. L’espace public et numérique à se réapproprier 1. Vidéo : Thomas Baspeyras. D-CENT. Rapport mission Lemoine nov 2014.
Comment mieux vivre en ville demain - Les pistes de réflexions. Le numérique, c'est la révolution du temps. On comprend là que la maîtrise du temps - dans un monde gouverné par la flexibilité, la désynchronisation, la délocalisation, l'immédiateté, l'opportunisme, le furtif... - se trouve dans la maîtrise des mobilités, qu'elles soient physique ou numérique.
Hier, l'automobile, désormais le mobile. En Grande-Bretagne, la part des 17-20 ans à posséder le permis de conduire est passée de 48% en 1990 à 35% en 2010 . Avoir le dernier smartphone est désormais plus valorisé que la conduite ! L'un n'exclut pas l'autre mais le choix des maîtrises s'élargit. Justement, n'est-ce pas le piège ? La ville connectée. Loïc Haÿ Presentations. Dossiers - métropoles numériques. L’explosion urbaine est peut-être, quantitativement, la révolution la plus importante du XXème siècle avant même la révolution informatique, certainement plus médiatique.
On assiste aujourd’hui à une prise de conscience de la conjonction de ces deux processus de fond par les pouvoirs publics : le réaménagement des villes et des territoires sera inéluctable, il sera incomplet s’il se fait sans les nouvelles technologies. Zoom sur les expérimentations menées, les différences de développement et sur le secteur du tourisme. La fin du territoire craint par certains au profit d’un temps « accéléré », « despatialisant » les modes de vie, n’est donc pas pour demain : en 2008, et ceci pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, plus de la moitié de la population mondiale vit dans les villes, c’est-à-dire plus de 3,3 milliards de personnes (source ONU).
Ces chiffres montrent bien qu’il s’agit pour les villes d’une situation pour laquelle il n’existe pas de modèle préétabli. Colloque « Villes et territoires numériques » - 6-7 février 2012, Paris. Quelle société voulons-nous à l'ère numérique ? Quelle société voulons-nous à l'ère numérique ? Leviers d'action po... Boris BEAUDE : La ville numérique, quintessence urbaine. Article réalisé pour la revue M3 n°1. La ville hybride maximise les connections à la fois matérielles et immatérielles. Grâce au développement des technologies numériques, le citadin est ainsi davantage connecté au monde et aux autres habitants.
Ces transformations doivent être intégrées à l’aménagement de l’espace urbain, pour en maîtriser le potentiel et les risques. En ce début de XXIe siècle, plus de la moitié de l’humanité réside en ville. Loin d’être anecdotique, ce constat témoigne du succès croissant de l’une des plus anciennes techniques spatiales, qui consiste à privilégier la densité à la dispersion. Dossiers - Vers une structuration politique des territoires numériques ? La ville numérique, une nouvelle perception de l’espace public. Les smartphone, véritables outils du quotidien et de l’intimité, sont capables de proposer un accès basique aux contenus du web mobile, mais également à des services innovants proposant de la réalité augmentée ou mêlant réseaux sociaux et géolocalisation.
Autant d’applications qui favorisent de nouveaux modes de relation et les conditions d’une nouvelle perception de l’espace urbain. L’usage de services web en situation de mobilité est une composante forte des métropoles occidentales, structurant l’espace urbain et permettant un rapprochement, voire une synthèse, entre les territoires numériques et les territoires physiques pour donner corps à un territoire enrichi. Celui-ci se définit d’abord comme un continuum informationnel au sein duquel l’usager rencontre une série de dispositifs (réseaux ambiants, objets communicants…), destinés à enrichir, densifier ou contrôler ses déplacements. Voici trois vidéos donnant un aperçu des possibilités offertes par ce type de projets : La ville, nouveau territoire du numérique ?