[AUDITION COMPLETE] Affaire Tapie-Adidas-Crédit lyonnais : Audition de Bernard Tapie (LCP) Affaire Adidas-Crédit lyonnais : non, Tapie n'a pas été volé ! Préparez-vous au grand show.
Bernard Tapie, qui, dit-il, s'ennuie sur les planches, retrouve tout son talent et son énergie d'acteur quand il s'agit de défendre ses intérêts. Dans un livre qu'il publie chez Plon (1), il veut "tout dire", répondre à toutes les questions que les Français se posent sur sa bonne fortune, ces dizaines de millions d'euros qu'il a placés dans de somptueuses villas à Saint-Tropez ou à Neuilly, dans un immense yacht, un jet privé ou un groupe de presse provençal... Le Crédit lyonnais n'a jamais berné Tapie: la preuve! - Page 4. Les réponses de Robert Louis-Dreyfus. Scribd. Adidas : La Cour de cassation annule l'indemnisation de Tapie. Adidas : Le parquet se prononce en faveur de Bernard Tapie. Bernard Tapie connaîtra peut être une de ses premières victoires judicaires lundi après-midi.
Le parquet général s'est en effet prononcé vendredi devant la Cour de cassation "pour" la confirmation de l'arrêt condamnant le CDR, organisme chargé d'assumer la gestion passée du Crédit Lyonnais, à indemniser Bernard Tapie dans le litige sur la cession du groupe Adidas en 1993-94. La Cour de cassation, réunie en assemblée plénière et présidée par Guy Canivet, rendra lundi à 14h sa décision dans ce dossier. Le 30 septembre 2005, la cour d'appel de Paris avait condamné l'Etat, par le biais du consortium de réalisation (CDR), à verser à l'homme d'affaires 135 millions d'euros, estimant que le Crédit Lyonnais avait commis une faute à son encontre lors de la cession d'Adidas à Robert Louis-Dreyfus (RLD) en 1993-1994. "Faute massive, suffisante" L'avocat général Maurice-Antoine Lafortune a conclu au rejet des demandes principales contenues dans le pourvoi formé par CDR contre cette décision.
Crédit lyonnais : L'incendie était volontaire. L'incendie du siège du Crédit lyonnais, boulevard des Italiens, à Paris, le 5 mai 1996, était "d'origine volontaire".
Telle est la conclusion des experts judiciaires Jean Quinchon et Jean-Paul Sailly, dans un rapport inédit daté du 31 décembre 1997 et remis dans les premiers jours de janvier à la juge Martine Bernard, chargée d'éclaircir les causes de ce sinistre historique. Du coup, devant les investigations de cet ingénieur des poudres et de son collègue expert en électricité, le magistrat vient de lancer discrètement une nouvelle série d'auditions. Pompiers, témoins, sous-traitants, responsables de la sécurité: tous devraient prochainement être entendus par la police judiciaire. 01776797. SERIE NOIRE AU CREDIT LYONNAIS 6 EPISODE S DOCUMENTAIRE ARTE MEURICE CALVI. Combines et tricheries de l'état dans l'affaire du Crédit Lyonnais. La mise en examen de Jean-Claude Trichet pour « diffusion de fausses informations au marché, présentation et publication de comptes sociaux inexacts » est symptomatique de la « corruption » du secteur bancaire français par les hommes de l’Etat.
Il doit être clair qu’au-delà du rôle de quelques hauts fonctionnaires dans les artifices comptables pour cacher les pertes de la « plus grande banque européenne », c’est l’Etat-actionnaire et gestionnaire et le système d’entreprises publiques qui devraient se retrouver au « banc des accusés ». Les faits reprochés dans le cadre de l’enquête sur les comptes du Crédit Lyonnais en 1992 et 1993 à Jean-Claude Trichet, actuel gouverneur de la Banque de France, remontent à l’époque où il était directeur du Trésor. En dépit de ce « lifting » comptable, la banque publique continuera à accuser des pertes (7 milliards de francs en 1993 et 12,1 milliards en 1994) et frôlera la « mise en faillite » par la Commission européenne en 1998. Les protagonistes de l'affaire du Crédit lyonnais. Jean-Yves Haberer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Jean-Yves Haberer, né en 1932, est un inspecteur des finances, professeur à l'Institut d'Études politiques de Paris, directeur du cabinet de Michel Debré, puis de Robert Boulin ministre des Finances, directeur du Trésor à partir de 1978, président de Paribas en 1982-1986, puis du Crédit lyonnais en 1988-1993 dont il est tenu responsable de la retentissante quasi-faillite et enfin du Crédit national en 1993-1994. Biographie[modifier | modifier le code] Directeur du Trésor en 1978, il participe à la mise en place du Système monétaire européen. En 1981, après la victoire de François Mitterrand, il ne conteste pas la légitimité du nouveau pouvoir. Il y gagnera, en 1982, la présidence de Paribas, mais Édouard Balladur mettra fin à ses fonctions en 1986. Lorsque la gauche revient, en 1988, il est nommé président du Crédit lyonnais par Pierre Bérégovoy.
Le tout s'achève cependant en 1992 sur une perte abyssale[2]. Portail de la finance. Video Tapie / Crédit Lyonnais notice archives video ina. Video TAPIE-CREDIT LYONNAIS notice archives video ina. Affaire du Crédit lyonnais. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'affaire du Crédit lyonnais[1],[2],[3],[4] est une affaire politico-financière française des années 1990. Le montant des pertes, qui s'élèvent à plus de 130 milliards de francs, en fait l'un des plus grands scandales financiers de l'Histoire, au même titre que le scandale du Panama, un siècle plus tôt. Cette affaire a touché principalement, et dans un premier temps, plusieurs filiales du Crédit lyonnais, à savoir : Crédit Lyonnais Bank Nederland (CLBN), Société de Banque Occidentale (SdBO), International Bankers SA (IBSA) et Altus Finance. Chronologie des faits[5][modifier | modifier le code] Une situation devenue incontrôlable[modifier | modifier le code] Début 1994, un premier rapport parlementaire dénonce le système des avances et prêts à risques, notamment dans le domaine immobilier, qui anticipaient la plus-value envisagée sur ces opérations immobilières.
Affaire du Crédit Lyonnais, synthèse.