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Vidéo engagement de ZOLA pour DREYFUS

Vidéo engagement de ZOLA pour DREYFUS

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En savoir plus....Thèse défendant l'idée «Oui, Zola a été assassiné !» «A la fin du mois de septembre 1902, il y avait des travaux de réfection de la toiture d’une maison voisine de l’immeuble où habitait Zola. Quand nous avons su qu’il allait rentrer de Médan à Paris, selon son habitude, nous sommes montés sur le toit voisin et nous avons bouché la cheminée en question. Et le lendemain de son retour, le matin tôt, nous sommes remontés sur le toit et nous avons débouché la cheminée. Personne ne nous a remarqués». Entre temps Emile Zola était mort, asphyxié dans la nuit par l’oxyde de carbone dégagé par la cheminée de sa chambre qui, officiellement, «tirait mal». Voici le témoignage clé qui, aux yeux de Jean Bedel, un journaliste de Radio France aujourd’hui à la retraite, nous permet de ne plus douter que Zola a bel et bine été assassiné pour avoir fait éclater la vérité sur l’affaire Dreyfus, quatre ans après la publication à la ‘une’ de L’Aurore du fameux «J’accuse!». Dès 1953, en réalité, la version officielle commence à se lézarder.

Sortir : centenaire j'accuse de ZOLA La mobilisation des dreyfusards Les rebondissements de l’Affaire L’arrestation et la condamnation d’un officier juif français, Alfred Dreyfus, en décembre 1894, suite à la découverte d’un bordereau anonyme renfermant des informations secrètes destinées à l’Allemagne, parurent clore cette banale histoire d’espionnage. Cependant, celle-ci devait connaître de nouveaux rebondissements lorsque le lieutenant-colonel Picquart établit l’identité du véritable traître, le commandant Esterházy, en mars 1896 et que ce dernier fut acquitté par le conseil de guerre le 11 janvier 1898, au terme d’un procès inique. La mobilisation des dreyfusards La publication du manifeste de Zola, « J’accuse… ! Les deux France La présence de slogans tels que « Vive la France !

Chronologie de l’affaire Dreyfus : faits et débats parlementaires – Assemblée nationale Coll. part. 1859 : naissance d'Alfred Dreyfus à Mulhouse 1870 : occupation de l'Alsace-Lorraine 1894 : arrestation et condamnation d'Alfred Dreyfus 1895 : dégradation du capitaine Dreyfus à l'École militaire à Paris et déportation à l'île du Diable 1898 : publication dans l'Aurore de « J’accuse !... 1899 : procès de Rennes 1903 : relance de la révision par Jean Jaurès 1906 : réhabilitation d'Alfred Dreyfus 1914-1918 : première guerre mondiale ; mobilisation d'Alfred Dreyfus 1935 : mort d'Alfred Dreyfus à Paris 6 octobre 1894 : La Section de statistique (service de renseignements de l'armée soupçonne le capitaine Alfred Dreyfus d'être l'auteur d'un bordereau manuscrit non signé adressé à l'attaché militaire de l'ambassade d'Allemagne en France Maximilian von Schwartzkoppen et relatif à l'envoi de documents secrets. Maximilian von Schwartzkoppen 15 octobre 1894 : Le capitaine Dreyfus est arrêté sur ordre du général Mercier . Auguste Mercier Photographie Marius Neyroud © Ordre des avocats de Paris

Analyse du " J'accuse... ! " de Zola L’affaire Dreyfus : une erreur judiciaire En mars 1896, Picquart, le nouveau chef des Services de renseignements de l’état-major, découvrit l’identité du véritable traître, le commandant Esterhazy. Celui-ci, qui entretenait des relations suspectes avec l’Allemagne, était l’auteur du fameux « bordereau », cette pièce à conviction qui avait entraîné la condamnation et la déportation d’un officier juif français, Alfred Dreyfus, en décembre 1894. Toutefois, l’état-major, soucieux de sauver l’honneur de l’armée française, préféra étouffer l’affaire, en mutant Picquart et en créant de toutes pièces un document accablant Dreyfus, auquel l’Histoire a donné le nom de son auteur, le « faux Henry ». J’accuse… ! Devant cette iniquité, les partisans de la révision du procès de Dreyfus se mobilisèrent pour émouvoir l’opinion publique en faveur du capitaine. La vérité en marche Auteur : Charlotte DENOËL

Post-truth: Mieux vaut un bon mensonge qu’une mauvaise vérité Nic Ulmi La «postvérité» est un phénomène qui ne cesse de prendre de l’ampleur, plus particulièrement depuis la présidentielle américaine. Et peu importe que les moyens de démasquer le mensonge deviennent de plus en plus puissants, le public se montre davantage attaché à ses convictions ou à ses émotions. C’est l’histoire d’un étudiant en informatique de Tbilissi, Géorgie (la Géorgie caucasienne, pas l’américaine), qui finance ses études en arrosant les Etats-Unis de fausses informations pro-Trump pendant la campagne présidentielle. A chaque fois qu’un visiteur arrive sur un de ses sites web via un lien posté sur Facebook, le jeune homme touche quelques centimes grâce aux annonces placées en partenariat avec AdSense, la régie publicitaire de Google. Le meilleur mois, l’opération lui rapporte 6000 dollars. C’est l’histoire d’un peuple planétaire de faussaires de l’info qui, par conviction ou pour gagner leur vie, propagent des vérités factices. Démasquer le mensonge

L'affaire Dreyfus "La vérité est en marche, et rien ne l'arrêtera" - Émile Zola Crise politique majeure sous la IIIème République, l'affaire Dreyfus implique un officier français de confession juive dans une histoire d'espionnage. Alimentant divers rebondissements, "l'Affaire" va scinder la France entre "dreyfusards" et "antidreyfusards" pendant plusieurs années. La IIIème République, qui a déjà vingt-quatre ans en 1894, affronte crises politiques (le boulangisme, le scandale du canal de Panama...) et instabilités gouvernementales et présidentielles, auxquelles s'ajoute le traumatisme de l'annexion de l'Alsace et de la Moselle par l'Allemagne (1871) qui alimente les nationalismes les plus extrêmes. En effet, le nationalisme et l'antisémitisme évoluent de manière virulente et sont attisés par une presse influente, libre de diffuser n'importe quelle information. L'armée connaît par ailleurs des mutations profondes. Afin de confondre le capitaine, une comparaison des écritures est réalisée. L'instruction

Vietnam: l'exécution à bout portant, par Eddie Adams - Polka Magazine Un cas d’école. La démonstration parfaite de l’instant décisif. Une image si forte que sa brutalité a galvanisé la contestation de l’opinion américaine contre la guerre du Vietnam — qui allait pourtant durer encore sept ans. Cette photographie a été nommée World Press Photo de l’année 1968, elle a valu à son auteur le prix Pulitzer 1969. Eddie Adams l’a prise il y a juste un demi-siècle, à midi, à Saigon. Ce 1er février, la ville est en proie depuis deux jours à l’offensive surprise du Têt, le Nouvel An vietnamien, qui a lancé dans les plus grandes cités du pays des bataillons de combattants communistes du Front national de libération du Sud-Vietnam (FLNSV) — dits “Vietcongs”. “Un prisonnier, c’est une photo” Les combats ont cessé. Le photographe se trouve alors à moins de deux mètres du prisonnier. “Deux vies ont été détruites ce jour-là” Le tireur est le chef de la police nationale du Sud-Vietnam, le général Nguyen Ngoc Loan. Un héros incompris et abandonné

Le général Picquart, faux héros de l'affaire Dreyfus L’histoire retient le général Marie-Georges Picquart comme le “héros” de l’affaire Dreyfus. Il est présenté comme le “lanceur d’alerte” qui a sacrifié sa carrière pour prouver l’innocence de Dreyfus. Jean Dujardin l'incarne dans le film de Roman Polanski J'accuse, dans les salles le 13 novembre 2019. Mais en réalité, Picquart était un opportuniste et un antisémite. Marie-Georges Picquart est un brillant militaire, né en 1854 en Alsace, il travaille au renseignement lorsqu’éclate en 1894 l’affaire Dreyfus. Alfred Dreyfus, un officier juif, est accusé à tort d’espionnage pour le compte de l’Allemagne. Mais Picquart découvre la machination : le document qui met en cause Dreyfus est un faux, fabriqué pour faire accuser le capitaine. Philippe Oriol, historien : "Picquart, c’est celui qui un jour va prendre la direction de “la section de statistiques”, c’est-à-dire le contre-espionnage. Mais le récit héroïque est en fait très éloigné de la réalité historique.

Archive exceptionnelle : écoutez la voix d'Alfred Dreyfus lui-même, en 1912 "Le 20 juillet 1906 fut une belle journée de réparation pour la France et la République. Mon affaire était terminée." Ce sont les mots d'Alfred Dreyfus. Non seulement ceux qu'il a écrits dans ses Mémoires, mais ceux qu'il prononce face à l'enregistreur Pathé tendu par le linguiste Ferdinand Brunot dans une petite salle de la Sorbonne, en mars 1912. Un document unique C’est un trésor des Archives de la parole : la voix d'Alfred Dreyfus lui-même. Commandant Alfred Dreyfus, mars 1912 "Mon affaire était terminée. Et même s'ils parurent oublier qu'ils ne furent pas les plus mal partagés car ils ne luttèrent pas seulement pour une cause particulière mais ils contribuèrent pour une large part à l'une des œuvres de relèvement les plus extraordinaires dont le monde ait été témoin. Au début de l'Affaire, en effet, il ne s'agissait, pour la plupart de ceux qui y prirent part, que d'une question de justice et d'humanité. Les Archives de la parole à découvrir sur Gallica

Hitler 1933 : pourquoi la presse n'a-t-elle rien voulu savoir ? Ils étaient 200 correspondants occidentaux en poste à Berlin de 1933 à 1941, et pourtant bien qu'autour d'eux s'abattent les persécutions sur les Juifs et les opposants, ils ne seront qu'une poignée à alerter l'opinion... Pourquoi le monde médiatique n'a pas compris qui était Hitler ? "Un fail comme celui-ci est forcément multi-causes" nous explique Daniel Schneidermann, auteur d'une enquête titrée"Berlin, 1933 : la presse internationale face à Hitler" aux éditions du Seuil. Il y a un contexte antisémite général en Europe bien avant l'arrivée du pouvoir de Hitler. Daniel Schneidermann, journaliste, créateur et animateur de l'émission, puis du site, " Arrêt sur images ". Les correspondants français, américains ou britanniques à Berlin veulent rester. "Superfail", à découvrir chaque lundi Deuxième saison de "Superfail", notre podcast "natif", né comme podcast et originaire du numérique, sans passer d’abord par l’antenne hertzienne. Pour vous abonner au podcast

(3) Tchernobyl: la météo nationale a-t-elle truqué des cartes en 1986, comme l'affirme Jean-Pierre Pernaut ? Ce sont des minutes télévisées qui sont restées dans les mémoires. Nous sommes le 30 avril, JT de 20 heures sur Antenne 2. Le 28, la France a appris qu’un incident nucléaire grave a eu lieu à Tchernobyl. Claude Sérillon présente le JT en duplex de la centrale de Saint-Laurent des Eaux. Trente-trois ans plus tard, la séquence est fréquemment utilisée pour nourrir la thèse d’une désinformation orchestrée volontairement par les autorités et le Service central de protection contre les rayonnements ionisants (SCPRI, dépendant du ministère de la Santé), qui était chargé de la communication après la catastrophe. Le 4 octobre dernier, Jean-Pierre Pernaut est allé jusqu’à parler de truquage. En 1990, @PernautJP était l’un des premiers à se rendre à Tchernobyl pour un journal spécial. Ce n’est pas la première fois que le présentateur formule cette accusation. Le nuage était déjà sur la France au moment du reportage météo Modélisation du trajet du panache nucléaire, réalisée en 2005 par l’IRSN.

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