Les textes anciens. Textes sacrés de l'hindouisme. Les Veda (en sanskrit, "connaissance") sont les textes sacrés les plus anciens de l'hindouisme: les parties les plus anciennes dateraient du 18 ème avant J-C et les plus récentes du 3ème siècle avant J-C.
Ils ont d'abord été transmis oralement avant l'apparition des textes écrits. Les Veda sont composés essentiellement de quatre parties: le Rigveda: composé de "rig" qui veut dire hymne en sanskrit; il en contient plus de 1000, lus à haute voix, le Samaveda: composé de "sama" qui veut dire mélodie en sanskrit; invocation chantée des dieux, le Yajurveda: composé de "yaja" qui veut dire sacrifice en sanskrit; ces textes étaient utilisés par les prêtres pendant les sacrifices, le Atharvaveda: composé de Atharvana, nom du sage qui est l'auteur; partie la plus récente, qui contient des formules magiques utilisées par les brahmanes.
Les UpanishadTextes ésotériques et mystiques, regroupés dans les aranyaka. Shankaracharya a commenté 12 Upanishad, reconnus comme védiques. Le Mahabharata. Les textes sacres en Inde Veda Upanishad sutra. Récitation védique autour d'un lingam photo Shrimaitreya.
L'hindouisme et les Vedas - Les écrits. Les hindouistes n'ont pas de « livre sacré » mais bien des textes sacrés.
L'ensemble de ces textes s'appelle Veda. Les Veda sont les textes religieux les plus anciens du monde. Des chercheurs ont avancé diverses dates pour l'origine du Veda, s'étendant approximativement de 5000 avant J. -C. à 1500 avant J. -C. Śruti : textes sur la connaissance révélée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Shruti (श्रुति (Śruti)) signifie en sanskrit « audition », « oreille », « connaissance révélée » (opposée de Smriti, textes de la tradition)[1]. Brahmanas : la parole sacrée, au brahman. Les Védas : connaissance révélée aux sages indiens nommés Rishi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le Veda (devanāgarī : वेद - sanskrit : « vision » ou « connaissance »)[1] est un ensemble de textes qui auraient été révélés (par l'audition, Shruti) aux sages indiens nommés Rishi. Cette « connaissance révélée » a été transmise oralement de brahmane à brahmane au sein du védisme, du brahmanisme, et de l'hindouisme jusqu'à nos jours sur une période indéterminée. Le passage du védisme au brahmanisme commence avec la rédaction des Brāhmaṇa, spéculations rituelles en prose.
Et la transition du brahmanisme à l'hindouisme s'accompagne de la rédaction des Āraṇyaka puis des Upaniṣad. La compilation de ces textes est attribuée au sage Vyāsa, et les parties les plus récentes des écritures du Véda dateraient du Ve siècle av. Védas. Le mot Véda, qui signifie science, désigne un ensemble d'oeuvres poétiques formant la sainte Écriture des Indiens.
Si, à ces compositions primitives, on ajoute les développements qu'elles ont reçus sous le nom de brâhmanas et de sûtras, on a le corps entier de ces livres sacrés. Dans leur état actuel, les Védas sont au nombre de quatre, le Rig, le Sâma, le Yajur et l'Atharva. De ces quatre recueils, les trois premiers sont reconnus, non seulement comme authentiques, mais comme canoniques, par tous les savants de l'Inde; l'Atharva-véda jouit d'une moindre autorité, étant sans doute d'une époque postérieure aux autres.
Les écoles nāstika (Rejet Veda) Les Upanishads : ensemble de textes philosophiques qui forment la base théorique de la religion hindoue. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les Upanishad, Oupanishad ou Upaniṣad[1], (devanāgarī: उपनिषद्, du sanskrit upa, déplacement physique, ni, mouvement vers le bas et shad, s'asseoir, soit l'idée de « venir s'asseoir respectueusement au pied du maître pour écouter son enseignement »)[2] sont un ensemble de textes philosophiques qui forment la base théorique de la religion hindoue. Ils constituent une partie des textes en Inde liés à la śruti et consistent en des spéculations philosophiques qui éclairent le texte auquel elles se réfèrent, chacune se réclamant d'une partie du Veda. Maha Upanishad, Cosmologie hindoue, Philosophie, Libération. Aranyaka : explications ésotériques et mystiques des mantra.
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Les Aranyaka (Sanskrit: आरण्यक (āraṇyaka)) sont des « Traités forestiers » à réciter loin des agglomérations[1]. Ils contiennent les explications ésotériques et mystiques des mantra. Elles sont souvent considérées comme une partie des Brahmanas ou des Upanishads. Smriti : textes de la tradition. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Smriti (du sanskrit : « mémoire », « se souvenir ») ou smṛti (devanāgarī: स्मृति)[1] est le nom donné à un ensemble de textes appartenant à la tradition la plus ancienne de l'hindouisme mais dont l'autorité est considérablement moindre que celle des śruti (ou textes révélés). Fonction[modifier | modifier le code] La principale fonction des smriti était de fixer les codes régissant la conduite de l'individu ainsi que ses relations avec la communauté et la société.
Mais on y trouve aussi des considérations d'ordre plus général sur les us et coutumes, en particulier dans la sphère juridique et dans le domaine des pratiques rituelles. Sutra ; écrits spéculatifs ou philosophiques rédigés sous forme d'aphorismes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cette page contient des caractères spéciaux. Yoga-sûtra : recueil de 195 aphorismes (sūtra), phrases brèves, laconiques, destinées à être facilement mémorisées. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Yoga sūtra ou Yogasūtra ( Sanskrit en devanāgarī : yoga योग - sūtra सूत्र , ou योगसूत्र )[1] de Patañjali, abrégé Y.S., est un recueil de 195 aphorismes (sūtra), phrases brèves, laconiques, destinées à être facilement mémorisées et appartenant à la philosophie indienne āstika. Ce texte qui comprend 1161 mots[2] est la base du système philosophique appelé yoga, yoga de Patañjali ou encore sāṃkhya-yoga[3] en raison de sa connexion intime avec le darśana (point de vue/méthode) appelé sāṃkhya[4]. Cette œuvre, probablement rédigée ou compilée entre -200 et +500 (on retient souvent le IIe s. av. J. Kâmasûtra : les aphorismes du désir.
Brahma Sutra (Vedānta-Sūtras) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Brahma Sūtra ou Brahmasūtra aussi appelé Vedānta Sūtra[1] est un des trois textes canoniques[2] de l'école āstika du Vedānta. Ce texte, composé entre -500 et -200[3], est traditionnellement attribué à Bādarāyaṇa (connu aussi sous le nom de Vyāsa). Ce personnage mythique et appelé Compilateur dans la mesure où on lui attribue la rédaction de la plupart des grands textes de l'Inde brahmanique ancienne[4]. Le Brahma Sūtra appartient à la classe d'écrits traditionnels ou classiques appelée Smriti.
Structure du texte[modifier | modifier le code] Le texte est divisé en quatre adhyāya (chapitre ou partie) et contient 555 sūtra (aphorismes). Lois de Manou : les préceptes de la Loi. On connaît sous le nom de Lois de Manou, Mânava-dharma-çâstra, un ouvrage en 19 livres, comprenant 5 370 vers dans l'édition publiée à Paris en 1830, et dans lequel sont exposés, comme un enseignement révélé, les préceptes de la Loi. Manou est le nom d'un être supérieur fréquemment cité dans la littérature indienne, et dont la première mention se trouve dans le Vêda , où il est, donné comme le père commun des hommes; c'est à lui particulièrement que les poètes rapportent l'institution du sacrifice.
Les Aryas de l'Indus le considéraient comme leur primitif législateur, avant d'être descendus vers le Sud-Est dans les vallées de la Yamunâ et du Gange. Les Tantras : ensemble de textes, de doctrines, de rituels et de méthodes initiatiques. Les Tantras Il est dit qu'à chacun des quatre Yugas (ou âges de l'humanité) correspond un enseignement initiatique spécifique aux conditions de vie de l'homme dans cet âge. Dans la tradition indienne, les écritures brahmaniques furent, à partir des Védas, les dépositaires d'une grande partie de ce "Savoir" transmis de bouche à oreille, de maître à disciples depuis l'aube des temps.
Ces écritures sacrées où s'enracinent toutes les formes de spiritualité indienne sont divisées en quatre catégories : 1- Sruti : la révélation védique originelle ( des Védas aux Upanishads), Shastra : les règles. Śāstra is Sanskrit for rules in a general sense. The word is generally used as a suffix in the context of technical or specialized knowledge in a defined area of practice; e.g. Les shastras expliquent que toute vie subsiste par la consommation d. Végétarisme et philosophie Hindoue Les shastras expliquent que toute vie subsiste par la consommation d'autres entités vivantes.
Purânas ; groupe de textes de la littérature indienne, composés entre 400 et 1000 de notre ère. Purânas, mot qui pourrait se traduire assez exactement par Antiquités, et qui désigne certains poèmes indiens où sont renfermées des légendes humaines où divines, recueillies par leurs auteurs dans les traditions nationales et les anciens écrits des Brahmanes. Rāmāyaṇa : le parcours de Rāma. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Ramayana (en devanagari : रामायण (Rāmāyaṇa))[1], c'est-à-dire en sanskrit « le parcours de Rama », est la plus courte des deux épopées mythologiques de langue sanskrite composées entre le IIIe siècle av.
J. -C. et le IIIe siècle de notre ère. Mahâbhârata : « La Grande (guerre) des Bhārata » Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Combat entre Kripa et Shikhandi (Inde, vers 1670).