Textes du bouddhisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les différents courants du bouddhisme s'appuient sur de nombreux textes compilés après la mort du Bouddha, celui-ci n'ayant rien écrit. La transmission des paroles du Bouddha s'est faite oralement pendant trois à quatre siècles environ, avant que les suttas du canon pāli ne commencent à être écrits. La base du canon bouddhique est constituée de textes en pāli, sanscrit, chinois et tibétain ; le bouddhisme au Japon s’appuie aussi de façon importante sur des textes composés en japonais. Les premiers textes bouddhiques furent tout d’abord rédigés en prakrits, langues indo-aryennes vernaculaires proches du sanscrit, dont fait partie le pāli, langue du canon theravada.
Les textes du canon mahayana furent rédigés dans une variété de prakrits, puis ultérieurement traduits en une forme hybride de sanscrit[1]. Textes sacrés du bouddhisme. Introduction Les textes sacrés bouddhistes Theravada ont été écrits à partir de 35 av.
J-C. Ils sont composés de 3 recueils appelés "Tripitaka" dont la traduction est "Triple Corbeille":Vinaya, Sutra, Abhidarma. Vinaya : pratiques de la communauté monastique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le vinaya s’est tout d’abord transmis durant quelques siècles par voie orale, se diversifiant selon les lieux et les écoles, bien qu’on considère en général les différences comme mineures. Sa partie principale est constituée de l’ensemble des nombreuses règles qui régissent la vie monastique, appelé patimokkha en pali et pratimoksha en sanscrit. On trouve également dans le vinaya des règles additionnelles, les sanctions en cas d’infraction, les modalités de résolution des conflits, des textes expliquant l’origine des articles du patimokkha, des précisions sur leur application. S’y ajoutent quelques sutras et des biographies de grands disciples. Sutta Pitaka : enseignements du Bouddha transmis oralement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Mahayana sutras : doctrine du Bodhisattva et d'autre part du concept de vacuité. Mahāyāna sūtras are a broad genre of Buddhist scriptures that various traditions of Mahāyāna Buddhism accept as canonical.
They are largely preserved in the Chinese Buddhist canon, the Tibetan Buddhist canon, and in extant Sanskrit manuscripts. Around one hundred Mahāyāna sūtras survive in Sanskrit, or in Chinese and Tibetan translations.[1] History and background[edit] Origins and early history[edit] The origins of Mahāyāna are not completely understood.[2] The earliest views of Mahāyāna Buddhism in the West assumed that it existed as a separate school in competition with the so-called "Hīnayāna" schools. Both adopt one and the same Vinaya, and they have in common the prohibitions of the five offences, and also the practice of the Four Noble Truths. Scholarly views on historicity[edit] These texts are considered by Mahāyāna tradition to be buddhavacana, and therefore the legitimate word of the historical Buddha. Tipitaka : textes fondateurs sur lesquels s'appuie le courant bouddhiste theravâda2. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Edition standard du Tipitaka thaïlandais Le Tipitaka (en pali Tipiṭaka, en sanskrit tripiṭaka : tri = trois, piṭaka = corbeille) ou Trois corbeilles est le canon bouddhique pāli[1]. Il s'agit d'un très vaste recueil de textes fondateurs sur lesquels s'appuie le courant bouddhiste theravâda[2]. Son nom viendrait du fait que les textes anciens, rédigés sur des feuilles de palme, auraient été rangés dans des paniers. Le Tipitaka en Français. Le Tipitaka est divisé en trois parties : Vinaya Pitaka Modifier Le Vinaya Pitaka traite des règles de discipline monastique définies par le Buddha.
Il comprend cinq livres : Le Parajika explique les règles les plus importantes Le Pacittiya explique les autres règles de la vie monastique Le Mahavagga raconte les premiers pas de la sangha, et donne d'autres précisions sur l'organisation de la communauté Le Culavagga contient diverses autres information, notamment comment les femmes ont été acceptées dans la sangha Le Parivara est une sorte de manuel expliquant les quatre premiers livres Suttanta Pitaka. Maha-satipatthana sutta. Le Grand Discours sur l’instauration de l’attention de quatre manières.
Abhidhamma : cosmologie, analyse psychologique, classification des phénomènes et de la métaphysique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'Abhidhamma Pitaka (pâli, sanskrit : Abhidharma) — littéralement « La corbeille des commentaires », « La doctrine spéciale » ou encore « au-dessus de l'enseignement » — est la section du canon pâli, le Tipitaka, consacrée aux exposés psychologiques et philosophiques de l’enseignement du Bouddha. Plus précisément, l'Abhidhamma traite de la cosmologie, de l'analyse psychologique, de la classification des phénomènes et de la métaphysique. L'approche historique fait penser qu'il a été rédigé après les deux premières corbeilles, contrairement à la vue traditionnelle qui date sa rédaction du premier concile. Composition[modifier | modifier le code] Abhidhamma du Theravada[modifier | modifier le code] L'abhidhamma theravadin se compose de sept traités : Abhidhamma : la classification des phénomènes et de la métaphysi. Bardo Thödol : les états de conscience après la mort. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les thödols[modifier | modifier le code] Page d’un livre des morts bönpo Le nom de l’ouvrage, composé de bardo (état intermédiaire), de thö (entendre) et de dol (libérer), signifie libération par l’audition pendant les stades intermédiaires [entre la mort et la renaissance]. Entendre le texte récité, ou le connaître par cœur, peut aider le défunt à se libérer du samsara au moment de la mort. Le nom de thödol s’applique à différents textes dont la récitation aux morts a le pouvoir de libérer des renaissances. En 2005, une traduction plus complète est publiée en anglais[2],[3], laquelle est traduite en français en 2009[4],[5]. Sutra : écrits spéculatifs ou philosophiques rédigés sous forme d'aphorismes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Un sūtra[1] (prononciation soutra— sanskrit सूत्र / sūtra signifiant « fil ») est ce qu'on nomme en Occident un « classique », un « canon » voire, simplement, un « livre ». Le terme s'applique à des écrits spéculatifs ou philosophiques rédigés sous forme d'aphorismes. Soit l'appellation est métaphorique (ce sont les « fils de la pensée », la « trame des idées »), soit elle est métonymique (on entend : « les fils qui servent à coudre les pages ensemble »).
Enfin, par extension, le terme en vient à désigner toutes sortes de traités, grammaires, analyses. Sūtra Avatamsaka : décrit la Réalité Ultime, le Dharmadhatu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Le Sūtra Avatamsaka, Soutra de l'ornementation fleurie ou Soutra de la guirlande (de fleurs), (ch. Tantra de kalachakra : support de l’enseignement kalachakra. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le tantra de kalachakra (sanskrit: कालचक्र; IAST: Kālacakra; telugu : కాలచక్ర tibétain: དུས་ཀྱི་འཁོར་ལོ།; Wylie: dus-kyi 'khor-lo) est avec son commentaire vimalaprabha (sk. « lumière immaculée », tib. dri-med ‘od) le principal support de l’enseignement kalachakra du bouddhisme tibétain. Kalachakra signifie cycle temporel, ou la roue du temps. C’est un texte particulièrement important dans la tradition gelugpa, connu aussi chez les sakyapa et les kagyupa ; le kalachakra était l’enseignement tantrique principal de l'école jonang.
Il appartient à la classe la plus élevée des anuttarayoga tantra. Ce texte introduit au Tibet au XIe siècle se détache des autres tantras de sa classe par un langage assez clair et le recours fréquent à des termes ou notions hindous (puranas, sankhya) ou jaïns[2]. Dzogchen : techniques d'éveil spirituel du bouddhisme tibétain. Visuddhimagga (La voie de la pureté) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.