1ère édition: Rose Zehner photographiée par Willy Ronis, de la militante à l'icône. En mars 1938, mandaté par le journal Regards, Willy Ronis réalise une série de clichés dans l'usine Citroën-Javel occupée par ses ouvrières et ouvriers.
Publiée plus de quarante plus tard, une de ces photos, celle de la militante Rose Zehner haranguant la foule des grévistes, va devenir une icône du Front populaire et du mouvement social. Cette table ronde se propose de revenir sur l'histoire d'une grève méconnue – celle des métallurgistes de la région parisienne au printemps 1938 –, sur l'itinéraire d'une militante et, enfin, sur le destin d'une image. Onzième conférence (illustrée et participative) d’ « Histoire d'un film, mémoire d'une lutte », cette table ronde est aussi la première d'un cycle désormais baptisé « Les vies prolétaires ». Conçue avant la disparition de Willy Ronis, survenue le 11 septembre, cette rencontre sera l'occasion de lui rendre un premier hommage. Invitées : Le mercredi 30 septembre 2009 à 14 h. Sélection bibliographique Front populaire : Jacques Girault, 1936. RH000764.JPG (JPEG Image, 3375 × 4348 pixels) - Scaled (23%)
Hackel Bury Fine Art - Willy Ronis. Willy Ronis : une poétique de l’engagement à la Monnaie de Paris. Jeudi 29 avril 2010{par Vincent} L‘un des grands noms de la photographie humaniste, Willy Ronis, décédée l’année dernière à l’âge de 99 ans – le 11 septembre 2009 – nous a laissé une ultime vibration artistique avant de faire le grand voyage.
Pour fêter son centenaire, Willy Ronis avait pensé une exposition, un parcours, mis en scène à partir d’une sélection qu’il avait lui-même opéré. Malheureusement, ce grand photographe français nous a quitté juste un peu trop tôt et n’a pas pu être parmi nous pour l’occasion. Néanmoins, je tenais à partager ici et avec vous quelques impressions et ressentis sur son œuvre, ainsi que quelques dates clés et quelques mots nés de la plume de l’auteur. Je lui cède d’ailleurs sans plus attendre la parole : “ Transformer le désordre en harmonie, c’est la quête constante du chasseur d’images. Extrait de « Sur le fil du hasard », Willy Ronis, L’Isle-sur-la-Sorgue, 1979 Cliquez sur l’image pour voir la galerie.
Alors ? Henri Cartier-Bresson | 1908 – 2004. Robert Doisneau. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Robert Doisneau Robert Doisneau, photographié par Bracha L. Ettinger dans son studio de Montrouge, en 1992. Œuvres réputées Robert Doisneau (né le à Gentilly - mort le à Montrouge) est un photographe français, parmi les plus populaires d'après-guerre. Biographie[modifier | modifier le code] Robert Doisneau est né dans le sud de la banlieue parisienne au sein d'une famille bourgeoise. Un an plus tard, il réussit à intégrer l’Atelier Ullmann en tant que photographe publicitaire. En 1934, le constructeur automobile Renault de Boulogne-Billancourt, l’embauche comme photographe industriel, mais, du fait de ses retards successifs, il se fait renvoyer cinq ans plus tard, en 1939. Après la Seconde Guerre mondiale, Robert Doisneau devient photographe indépendant en intégrant officiellement, dès 1946, l’agence de photographie Rapho. Son talent de photographe sera récompensé à diverses reprises : le prix Kodak en 1947, le prix Niepce en 1956.