Robe de ceremonie, toge université, toge par l'Artisan Costumier. Héraldique judiciaire contemporaine - Page 3. Bonjour et bienvenue Janssens, Je sais bien qu'initialement et historiquement, seul le chancelier, les premiers présidents des parlements et les présidents à mortier pouvaient coucher leurs armoiries dans un manteau timbré de leur mortier qui souvent sortait d'une couronne ducale, quand bien même ils n'étaient pas duc.
Ils arboraient toutefois une telle couronne signe de leur très haut rang dans la hiérarchie judiciaire. Néanmoins, aujourd'hui, ces fonctions n'existent plus. Néanmoins, le présent fil de discussion n'avait pas vocation a édicter des règles intangibles en matière d'ornements héraldiques susceptibles d'être portés par les magistrats (dont ça doit être le cadet des soucis de la quasi unanimité d'entre eux...) mais une simple et libre adaptation de ma part d'une tradition historique concernant certains hauts magistrats. Voici pourquoi mon travail ne tombe pas à l'eau. Quand à dire que timbrer ses armoiries d'un mortier n'est pas joli n'engage que vous.
Université de France. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'Université de France, connue aussi comme l'Université impériale mais appelée surtout alors l'Université (sans adjectif, mais avec une capitale), était le nom donné au XIXe siècle à l'administration française chargée de l'éducation. L'Université impériale[modifier | modifier le code] Napoléon Ier L'Université était voulue par Napoléon Ier qui entendait ainsi réorganiser complètement le système éducatif[1]. La loi du 10 mai 1806, se contente d'établir : « Il sera formé, sous le nom d'Université impériale, un corps chargé exclusivement de l'enseignement et de l'éducation publiques dans tout l'Empire. ». Le décret du 17 mars 1808 fixe le fonctionnement de l'Université. Sur le plan administratif, l'Université est confiée à un grand-maître (Jean-Pierre Louis de Fontanes) nommé et révoqué par l'Empereur, et qui est assisté d'un trésorier et d'un chancelier (Jean-Chrysostôme de Villaret).
La Faluche. Un peu d'histoire Notre béret étudiant fut ramené de Bologne en juin 1888, par la délégation française d'un congrès international étudiant qui, jalouse de voir le chapeau façon Louis XI des étudiants italiens et la casquette plate des étudiants belges et allemands, décida d'avoir une coiffure spécifique aux étudiants français.
Elle adopta le béret de velours des habitants de la région bolognaise en souvenir du congrès qui fut, parait-il, magnifique. Par suite, il prit le nom de "faluche" grâce aux étudiants lillois car, en patois local, "faluche" veut dire galette plate, ce à quoi elle ressemble. .La faluche s'est ensuite développée dans les universités françaises jusqu'à l'entre-deux guerres. En effet, jusqu'au deuxième conflit mondial, les étudiants français étaient reconnus dans la rue ou lors de diverses manifestations par le port de la faluche. .Le port de la faluche symbolise la vie personnelle de l'étudiant. La faluche est la coiffure traditionnelle des étudiants de France. Robe universitaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La robe universitaire, également appelée toge universitaire, est le vêtement officiel des universitaires français. Elle est différente selon le grade universitaire ou la fonction académique de celui qui la porte. Historique[modifier | modifier le code] En France, la robe universitaire fit l'objet d'une réglementation, qui évolua du XIIIe siècle au XVIIIe siècle, jusqu'à ce que Napoléon généralise le type le plus répandu, au lendemain d'une Révolution ayant fait table rase des traditions de l’Ancien Régime. Concernant le droit, par exemple, le costume des docteurs des facultés de Droit, comme celui des gens de justice, est ancien et traditionnel. À compter de la seconde moitié du XIVe siècle, le droit au port de la robe rouge s'étendit aux docteurs en droit romain de ces deux facultés, puis aux autres facultés de droit. C’est au XVIIe siècle que le costume se stabilisa définitivement.
Éléments du costume[modifier | modifier le code]