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Claude Bourguignon

Claude Bourguignon
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lydia et Claude Bourguignon en avril 2010. Claude Bourguignon, né en 1951, est un ingénieur agronome français, ancien collaborateur de l'INRA. Fondateur du LAMS (Laboratoire d'Analyse Microbiologique des Sols)[1], il travaille en France, mais aussi en Europe, en Amérique et en Afrique. Biographie[modifier | modifier le code] Claude Bourguignon est un ingénieur agronome formé à l'Institut national agronomique Paris-Grignon (INA P-G). Claude Bourguignon est par ailleurs conférencier et formateur, membre de la Société d’écologie, de la Société américaine de microbiologie, enseignant à l'ancienne école d'agrobiologie de Beaujeu. Dans les années 1980, il met au point une méthode de mesure de l'activité micro-biologique des sols et constate qu'en Europe, 90 % de l'activité micro-biologique des sols a été détruite (ce qu'il énonce dans le documentaire Alerte à Babylone). Théorie et recommandations[modifier | modifier le code]

Terre Formations en agriculture biologique, maraîchage bio et jardinag Permaculture La permaculture est, à l'origine, une conception de l'agriculture et de l'horticulture durable fondée sur l'observation minutieuse des écosystèmes et des cycles naturels et leur imitation. C'est un mot-valise anglais formé à partir de « permanent (agri)culture » ; en français : « agriculture durable » ou « culture permanente ». Cependant l'expression « agriculture durable » a aujourd'hui pris un sens plus large. Elle a été élaborée dans les années 1970 par le biologiste australien Bill Mollison et son élève David Holmgren. En 1981, Mollison reçoit le Right Livelihood Award pour son travail. La notion de permaculture a progressivement été étendue à une conception systématique de l'environnement et à une éthique normative définissant des modes de vie et un fonctionnement de la société souhaitables. En Europe, la permaculture est pratiquée aussi bien dans des jardins privés que dans des fermes de taille moyenne. Définition[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code]

Accueil / Site Agroécologie - Agroecologie Le Cirad mène depuis de nombreuses années un ensemble de recherches et d’essais en grandeur réelle pour documenter et objectiver la capacité de l’agroécologie à représenter une alternative économiquement et socialement viable par rapport aux modèles conventionnels d’intensification. Des progrès indéniables ont été réalisés sur l’identification des leviers de ces transitions agroécologiques, des expériences ont été accumulées sur une grande variété de contextes biophysiques, institutionnels et partenariaux, au sein des dP, dans les DOM, dans le cadre de partenariats avec les producteurs et la société civile. L’objectif est d’en tirer des enseignements génériques pour proposer une démarche globale et des dispositifs d’accompagnement en fonction des défis particuliers des différents types d’agriculture. vous avez refusez l'utilisation des cookies pour ce type de contenu (Youtube)

En Inde, le doux rêve des OGM vire au cauchemar Array. Array. En Inde, le doux rêve des OGM vire au cauchemar - LMOUS Début mars, Monsanto a pour la première fois reconnu que son coton Bt génétiquement modifié n'était pas efficace, les insectes ayant développé des résistances. Pire, de nouveaux ravageurs jusqu'ici inconnus en Inde ont fait leur apparition. Qui sème le vent... Devant l'évidence, Monsanto a fini par admettre (une première !) Les rêves sont doux, les faits sont têtus... Autorisées depuis 2002 en Inde, ces cultures OGM recouvrent aujourd'hui 90% des surfaces cotonnières du pays. Les résistances développées par les ravageurs obligent en outre les agriculteurs à multiplier les épandages d'insecticides (comme aux Etats-Unis d'ailleurs), jusqu'à 13 fois plus qu'auparavant dans certaines régions, selon Vandana Shiva, une physicienne devenue militante de la défense de l'environnement. Monsanto a réponse à tout Comme un maçon qui construit sa maison sans toit, en se disant qu'il ne pleuvra pas...

OGM indiens et suicides : mythe ou réalité ? (1) Nous allons ici parler d’une étude de l’IFPRI (International Food Policy Research Institute) publiée en Octobre dernier (1). Les auteurs tentent d’y faire le point sur les affirmations mille fois matraquées selon lesquels l’introduction du coton BT en inde en 2002 avait poussé les paysans à la ruine, et provoqué une épidémie de suicides. Cette étude, vous n’en entendrez pas ou très peu parler dans les médias. Devinez pourquoi ? Comme dans le cas de l’étude analysée par Ryuujin, la plupart des journalistes ne sont qu’à la recherche d’un scoop vendeur, peu leur importe de connaître le contenu réel d’une étude par ailleurs bâclée ou au minimum non finalisée, du moment qu’ils peuvent extraire une phrase ou un chiffre qu’on leur communique qui puisse flatter les peurs du public, et même publier à propos de conclusions imaginaires comme l‘a fait le Canard Enchaîné à propos des souriceaux (nourris au maïs BT) soi-disant « rachitiques« . Rectifier par la suite le message n’a aucun intérêt !

Les Amanins Augmenter la production alimentaire mondiale grâce à l’agroécologie Dans un récent rapport de l’ONU paru le 8 mars dernier, le Rapporteur spécial pour le droit à l’alimentation, Olivier De Schutter, a estimé que les petits fermiers pourraient doubler leur production alimentaire sur les 10 prochaines années en recourant à des pratiques agroécologiques. Justifiant ce constat, le rapport explique que l’agroécologie (1) permet une meilleure conservation des sols et, par voie de conséquence, de produire plus sur le long terme. En 2007, un précédent rapport de la FAO (2) avait déjà souligné les sérieux atouts de l’agriculture biologique face à la pression d’une demande alimentaire croissante. Outre une meilleure qualité des sols, la réduction, voire l’absence, de l’utilisation de pesticides se traduit par de substantielles économies pour les agriculteurs. Selon l’expert, divers projets agroécologiques ont d’ores et déjà prouvé leur efficacité. Mais ce passage à l’agroécologie a besoin de leviers. Cécile Cassier 3- Engrais et pesticides.

Le blog de Pierre Rabhi Un arbre unique et solitaire fait offrande de ses ramures au ciel incandescent. Nul ne sait par quel stratagème il a, dès son enfance, échappé à la main prédatrice de l’homme armé de fer, à la dent avide de l’animal famélique, à la rareté de l’eau et au dard du soleil plus que nulle part au sommet de son ardeur. Alentour est le désert infini submergé de silence séculaire parfois troublé par la rumeur lointaine de troupeaux évanescents allant sur les dunes et les immenses plateaux ensemencés de rocailles. Ici, l’espace et le temps sont confondus l’un par l’autre tenus, et n’ont d’autre mesure que la démesure de l’éternité. Dans cette vastitude lunaire librement parcourue de bise en février ou de vent en ouragan de sable, rugissant d’une fureur dont on ne sait la raison, l’arbre demeure en patience témoin superbe et pathétique d’un temps révolu. En m’approchant de la colline où il se tient en vigile de silence, il grandit à mes yeux. Des battements sourds se font entendre.

le blog gacnivelles

Etude Microbiologie des sols
Alerte sur les dangers de continuer une agriculture conventionnelle by patriciarougeauxauboyneau Mar 24

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