Frank Stella: A Retrospective Frank Stella: A Retrospective is jointly organized by the Whitney Museum of American Art, New York, and the Modern Art Museum of Fort Worth. In New York, the exhibition is sponsored by Significant support is provided by Major support is provided by The Brown Foundation, Inc.; Steven & Alexandra Cohen Foundation; Julia W. Generous support is provided by The Broad Art Foundation, Peter and Betsy Currie, Theodor and Isabella Dalenson, Marcia Dunn and Jonathan Sobel, Louis G. Additional support is provided by Irma and Norman Braman; Audrey and David Mirvish; the National Endowment for the Arts; Emily Rauh Pulitzer; Paul J. Significant endowment support is also provided by Lise and Michael Evans, Sueyun and Gene Locks, and the Jon and Mary Shirley Foundation. The installation of Wooden Star I (2014) and Black Star (2014) on the fifth-floor outdoor gallery is made possible by Marianne Boesky Gallery and Dominique Lévy Gallery.
Les Deux Plateaux de Daniel Buren: entre polémique et succès populaire – Œuvres d’art contemporain exposées dans des lieux historiques Les Deux Plateaux de Daniel Buren est une installation que l’on trouve dans la cour du Palais Royal à Paris. Généralement appelée les « colonnes Buren », cette œuvre fût commandée par le Ministère de la Culture en 1985, sous Jack Lang, et achevée un an plus tard. Première commande publique en France de l’artiste, elle occupe 3000m2 de la cour avec 260 colonnes de marbre blanc, zébrées de noir et de tailles variées. Dès le montage du projet, Les Deux Plateaux dût faire face aux réactions du public mais est aujourd’hui devenue une installation populaire ancrée dans le paysage urbain de la capitale. Anne LANDOIS-FAVRET Daniel Buren Daniel Buren est depuis les années 80 un artiste sur le devant de la scène internationale. Une œuvre controversée Les « colonnes Buren », mises en place afin de remplacer le parking qui prenait place dans la cour d’honneur, connurent une vive opposition dès l’élaboration du projet. Une oeuvre devenue populaire Clément G. Sources WordPress: J'aime chargement…
Monumenta 2012 Daniel Buren : « Excentrique(s), travail in situ » « Art CAPV Daniel Buren l’a voulu ainsi : on entre dans la nef du Grand Palais par un couloir sombre à l’entrée Nord et non par l’entrée principale. Et l’effet est saisissant dès les premières secondes. Nos pupilles dilatées par l’obscurité du couloir sont subitement bombardées de lumière. Le défi lancé par Monumenta chaque année à un artiste contemporain majeur, est donc relevé en 2012 par Daniel Buren. La couleur est au coeur de l’oeuvre. Les couleurs varient selon le moment de la journée et la lumière du soleil qui traverse la verrière. D’après Daniel Buren, Le Grand Palais est à échelle inhumaine et il souhaite que son oeuvre nous ramènent à échelle humaine. Le centre de l’installation est une clairière au milieu d’une forêt de poteaux et de couleurs. "Excentrique(s), travail in situ" est une exposition sur l’espace, le mouvement et la couleur. C’est un parcours très ludique, festif et sensoriel. Selon Daniel Buren, "une oeuvre qui n’est pas montrée au public n’existe pas". Like this:
Monumenta et Buren Que faire ce week-end avec les enfants ? On va voir Monumenta au Grand Palais avec l’installation de Daniel Buren. Connu pour ces célèbres colonnes dans la cours du Palais Royal, Buren a investi la nef du Grand Palais pour la cinquième édition de Monumenta. Monumenta du 10 mai 2012 au 21 juin 2012. Photos : Daniel Buren, « Excentrique(s), travail in situ », 2012, 380 000 m3. Sophie Carré Daniel Buren trait très coloré - culture-match Paris Match. Daniel Buren au Grand Palais, dans le cadre de “Monumenta”, cela semble une évidence. Comment avez-vous réagi à cette invitation ?Daniel Buren. Il y a, cependant, de quoi être intimidé quand on vous l’offre pour y faire quelque chose seul. Même pour un vieux routier de l’installation in situ comme vous ? Sur quoi vous êtes-vous focalisé ? Pourquoi ? Comme d’habitude, votre intervention transforme l’espace.La première chose qui change, c’est qu’on entre par la porte Nord, celle qui se trouve en face du métro Champs-Elysées-Clemenceau. Pour revenir à l’idée de cathédrale, avez-vous voulu créer un espace de méditation ? Les fameuses rayures de Buren apparaissent de façon inattendue Vos fameuses rayures sont-elles présentes ? A travers vos différents travaux, vos rayures se sont promenées partout. Ces rayures ne sont-elles pas devenues une sorte de logo pour la marque Buren ? «J'utilise la couleur comme une arme» Votre œuvre balaie l’idée d’atelier. C’est-à-dire ? Photo souvenir (à g.)
Daniel Buren Daniel Buren au MAMCS en 2014. Daniel Buren intègre, en septembre 1958, l’École des métiers d’arts où il étudie la peinture et la décoration générale[2]. Daniel Buren développe, dès le début des années 1960, une peinture de plus en plus radicale qui joue à la fois sur l’économie des moyens mis en œuvre et sur les rapports entre le fond (le support) et la forme (la peinture)[3]. En 1965, il peint des tableaux qui mêlent formes arrondies et bandes de tailles et de couleurs diverses. Peignant déjà sur des tissus rayés, il se tourne vers une toile de store à bandes verticales alternées, blanches et colorées, d’une largeur de 8,7 cm[4]. Le 3 janvier de la même année, il va être invité à participer à une exposition nommée « 18e Salon de la Jeune Peinture »[8] Il y invite 3 de ses amis : Olivier Mosset, Michel Parmentier et Niele Toroni formant ainsi le groupe B.M.P.T.[9]. Il commence aussi à exposer dans les musées, ce qui lui permet d'aiguiser sa critique institutionnelle.
Culture : Buren colore le Grand Palais INTERVIEW - Daniel Buren fait son Monumenta sous la haute nef où triompha Anish Kapoor l'an dernier. Rencontre avec un théoricien enjoué. LE FIGARO.- Monumenta au Grand Palais, c'est plus impressionnant que le Guggenheim à New York en 2006? Daniel BUREN.- C'est plutôt bénéfique de pouvoir se concentrer sur une chose aussi intéressante. Quelles ont été les bonnes et les mauvaises surprises au Grand Palais? Tout est spécial en ce lieu. Daniel Buren dans son escalier jaune.Crédits photo : FRANCOIS BOUCHON Avez-vous retenu une leçon des précédents Monumenta? Il y a toujours une leçon à prendre dans un exercice périlleux. Vous avez donc bousculé le plan du bâtiment... D'où mon choix sine qua non de revenir à l'entrée nord. Rendez-vous avec la couleur Buren? Je n'ai pas de couleurs qui me soient propres. Pourtant, votre installation au Palais-Royal est noir et blanc. Je voulais mettre de la couleur au Palais-Royal (Les Deux Plateaux,1985-1986, NDLR)! Rétrospectivement, cela a été plus qu'utile.
Alexia Guggémos: Monumenta 2012: les projets non retenus de Daniel Buren Poseur de papier peint pour certains, architecte de génie pour d'autres, le plasticien relève le défi de Monumenta avec "Excentrique(s): travail in situ", jusqu'au 21 juin. Inventeur incontesté de l'in situ, Daniel Buren s'est attaqué à la majesté du Grand palais, un lieu "mal utilisé" selon lui pour nous le faire voir autrement. Ne lui parlez pas de consécration, l'artiste s'en défend. Pour accéder à l'œuvre immersive de Daniel Buren, il faut emprunter un cheminement quasi initiatique. De façon inhabituelle, l'entrée ne se fait pas par la grande porte du Grand Palais, mais sur le flanc Nord, comme si un sas était nécessaire pour se diriger vers ce que l'on perçoit comme un appel de la lumière. "Est-ce que vous rentreriez dans une cathédrale par le chœur ?" Buren au Grand Palais, sonne à la fois comme une évidence, et une contradiction. Découvrez en images les croquis évolutifs de son projet. Daniel Buren à Monumenta 2012 (croquis non retenu) 1 sur 10 Infos pratiques sur www.monumenta.com
Buren : l’artiste-monstre s’empare du Grand Palais Qu’est-ce qu’un Buren ? C’est une intervention in situ, généralement éphémère, qui entend interroger, transformer, révéler un lieu – les colonnes du Palais-Royal à Paris, les anneaux du quai des Antilles à Nantes, le musée Guggenheim de New York. Qu’est-ce qu’un Buren au Grand Palais ? “C’est le volume qui m’intéresse” Sur le papier, car Daniel Buren travaille à coups de dessins, d’esquisses, sur maquette et donc sans images de synthèse (“ça fausse la vision”), l’artiste avait d’abord imaginé quantité de préprojets. “Depuis deux ans, je suis sans cesse intrigué par la lumière, par l’air, par le jeu du soleil dans cet énorme ballon de verre qu’est le Grand Palais. Peu d’artistes peuvent se mesurer à un tel espace. 1500 piliers, 4,5 kilomètres de tubes d’acier Bref, c’est du lourd. Sa méthode de travail consista d’abord à se livrer à une lecture complète du lieu pour en déchiffrer soigneusement l’architecture, les usages, la dimension politique, histoire de mieux le révéler à lui-même :