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Bertolt Brecht

Bertolt Brecht
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Brecht. Bertolt Brecht Bertolt Brecht en 1948 Le Brecht-Denkmal de Fritz Cremer devant le Berliner Ensemble. Bertolt Brecht (né Eugen Berthold Friedrich Brecht le 10 février 1898 à Augsbourg, en Bavière - 14 août 1956 à Berlin-Est) est un dramaturge, metteur en scène, critique théâtral et poète allemand du XXe siècle (naturalisé autrichien en 1950). Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Bertolt Brecht est d'origine bourgeoise, fils d'un père catholique, dirigeant d'une fabrique de papier, et d'une mère protestante[1]. La montée du nazisme[modifier | modifier le code] À partir de 1930, les nationaux socialistes commencent à interrompre avec véhémence les représentations des pièces de Brecht. L'exil[modifier | modifier le code] Bertolt Brecht en RDA[modifier | modifier le code] Réaction de Brecht aux événements du 17 juin 1953[modifier | modifier le code] Related:  Communistes (H)

Léon Trotski Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Léon Trotski (ou Trotsky, voire Trotzky ou Trotzki[1] ; en russe : Лев Троцкий), de son vrai nom Lev Davidovitch Bronstein (en russe : Лев Давидович Бронштейн), né le à Ianovka (Ukraine actuelle) et mort assassiné le à Mexico (Mexique), est un révolutionnaire et homme politique russo-soviétique. Militant marxiste, du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (POSDR) puis, à partir de l'été 1917, bolchevik, il est plusieurs fois déporté en Sibérie ou exilé de Russie, et est notamment président du soviet de Pétrograd lors de la révolution russe de 1905. En 1917, il est le principal acteur, avec Lénine, de la Révolution d'Octobre qui permet aux bolcheviks d'arriver au pouvoir. Il s'oppose à la bureaucratisation du régime et à Staline en prenant la tête de l'Opposition de gauche ; Staline le fait finalement chasser du gouvernement (1924) et du Parti communiste (1927), puis l'exile en Asie centrale avant de le bannir d'URSS (1929).

La Résistible Ascension d'Arturo Ui Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Résistible Ascension d'Arturo Ui (Der aufhaltsame Aufstieg des Arturo Ui) est une pièce de théâtre de Bertolt Brecht écrite en 1941. Collaboratrice : Margarete Steffin. On peut la ranger dans la catégorie du théâtre épique. Composée de 17 scènes, elle est une parabole sur la prise de pouvoir d'Hitler et son extension. §Genèse[modifier | modifier le code] La première trace d'un intérêt de Brecht pour le thème de Ui est rapportée par Walter Benjamin à propos d'un entretien avec Brecht en 1934[1]. Brecht est arrivé aux États-Unis en juillet 1941 et avait l'intention d'y faire jouer la pièce. « Hoffman Reynolds Hays a entrepris un travail héroïque et a réalisé en 8 jours une traduction du « Ui ». §Contenu[modifier | modifier le code] La situation économique à Chicago est difficile. Par ailleurs, Arturo Ui désespère de réussir à contrôler le commerce de légumes de Chicago. Réunion du conseil municipal. Le procès des incendiaires a lieu.

Grigori Zinoviev Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Zinoviev. Grigori Evseïevitch Zinoviev (en russe : Григо́рий Евсе́евич Зино́вьев), de son vrai nom Ovseï-Gerchen Aronovitch Radomyslski-Apfelbaum, né à Elizavethrad le 23 septembre (11 septembre) 1883 et mort le 25 août 1936 à Moscou, est un révolutionnaire bolchevik. Biographie[modifier | modifier le code] Avant la Révolution[modifier | modifier le code] Grigori Zinoviev en 1910. Né en Ukraine en 1883 de parents juifs journaliers agricoles, autodidacte confirmé, Zinoviev « est épais, avec un visage consulaire plutôt pâle, massif, une abondante chevelure ébouriffée, un regard gris bleu[1] ». Poursuivi par la police, il quitte la Russie de 1908 à 1917. De la Révolution aux années 1930[modifier | modifier le code] En effet, l'Opposition unifiée tient peu de temps dans le bastion de Léningrad. La fin[modifier | modifier le code] Les contradictions et les échecs d’un disciple de Lénine[modifier | modifier le code]

Bertolt Brecht Poète et auteur dramatique allemand (Augsbourg 1898-Berlin-Est 1956). « Le monde d'aujourd'hui peut-il être rendu par le théâtre ? » À cette question que posait Friedrich Dürrenmatt au cinquième colloque de Darmstadt sur le théâtre, Brecht entreprit de répondre dans une courte lettre parue dans l'hebdomadaire Sonntag le 8 mai 1955 : « La question de savoir si le monde peut être rendu par le théâtre est une question sociale. » Brecht affirmait ainsi que la forme dramatique est liée à la vie de l'homme en société, et que toute réflexion sur l'esthétique théâtrale passe par la considération critique des phénomènes politiques, économiques et sociaux qui préoccupent les hommes contemporains. « Je vins dans les villes au temps du désordre quand la famine y régnait. Lorsque Brecht commence à se passionner pour le théâtre, l'Allemagne garde encore sa confiance au grand état-major et à l'expressionnisme. Brecht se reconnaît mal dans cette ascendance. Asocial dans une société asociale Auteur Acteur

Sergueï Kirov Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Kirov. Sergueï Mironovitch Kostrikov (en russe : Сергей Миронович Костриков), dit Kirov, né le 27 mars (15 mars) 1886, mort assassiné le 1er décembre 1934, est un révolutionnaire bolchevik et homme politique soviétique. Son assassinat marque le début des Grandes Purges de la période stalinienne en URSS. Origines[modifier | modifier le code] Serge Kostrikov est né à Ourjoum, village de Russie, dans une famille pauvre. Début de carrière au sein du Parti 1904-1917[modifier | modifier le code] L'ascension durant la guerre civile[modifier | modifier le code] Son ascension est alors fulgurante : élu candidat au Comité central au Xe Congrès en 1921, il en est membre dès 1923. Une popularité croissante au sein du Comité central[modifier | modifier le code] Kirov lors du XVIIe Congrès, en 1934. Suppléant du Politburo depuis le 19 décembre 1927, Kirov y est intégré comme membre titulaire en juillet 1930[5].

La dialectique marxiste G. Politzer IV° partie : Étude de la dialectique Chapître II - Les lois de la dialectique Première loi : le changement dialectique Ce que l’on entend par le mouvement dialectique. La première loi de la dialectique commence par constater que « rien ne reste là où il est, rien ne demeure ce qu'il est ». Voici une pomme. Dans le premier cas, nous donnerons une description de ce fruit, sa forme, sa couleur. Si nous voulons étudier la pomme en nous plaçant du point de vue dialectique, nous nous placerons du point de vue du mouvement ; non pas du mouvement de la pomme lorsqu'elle roule et se déplace, mais du mouvement de son évolution. Voilà ce que l'on appelle étudier les choses du point de vue du mouvement. Pour bien situer cette façon de voir les choses, nous allons encore prendre deux exemples : la terre et la société. En nous plaçant du point de vue métaphysique, nous décrirons la forme de la terre dans tous ses détails. Mais qu'est-ce que le « devenir » dont parle Engels dans sa définition ?

Paul Langevin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Langevin. Paul Langevin Paul Langevin, né à Paris 18e le 23 janvier 1872 et mort dans cette même ville (5e arrondissement) le 19 décembre 1946[1], est un physicien français, connu notamment pour sa théorie du magnétisme et l'organisation des Congrès Solvay. Biographie[modifier | modifier le code] Paul Langevin à Cambridge. 1897. Il rentre en France en 1898 et rejoint le laboratoire d'enseignement de la physique de la faculté des sciences de l'université de Paris, dirigé par Edmond Bouty, et dont Raphaël Dongier est le sous-directeur, d'abord comme boursier de l'École normale supérieure, puis comme préparateur (suite au départ de Georges Sagnac). En 1904, il participe, avec Henri Poincaré, au congrès international de Saint-Louis, où il fait un rapport sur la physique des électrons. Il devient l'ami des Curie, de Jean Perrin, physicien, et d'Émile Borel. Vie privée[modifier | modifier le code]

L'analyse de phrases Télécharger cette fiche (format RTF) I Phrase simple et complexe : les propositions A) Les phrases simples et complexes se différencient selon le nombre de verbes conjugués qu’elles contiennent : - phrase simple : un seul verbe conjugué. - phrase complexe : plusieurs verbes conjugués. B) Le verbe est le centre de la proposition. On a donc autant de propositions dans une phrase que de verbes-noyaux (tous les verbes conjugués + les infinitifs et les participes qui ont leur propre sujet). II Propositions indépendantes, principales et subordonnées A) Lorsqu’une proposition peut être écrite seule et en entier sans que cela modifie son sens, c’est qu’elle ne dépend de rien d’autre dans la phrase. B) Certaines propositions au contraire dépendent d’une autre ou bien dirigent le sens d’une autre. III Mode de liaison entre les propositions dans une phrase C) Deux propositions peuvent enfin être dans une relation de subordination. IV Les différentes natures de subordonnées et leurs fonctions

Jacques Solomon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Solomon. Jacques Solomon (4 février 1908 à Paris 18e - 23 mai 1942 au Mont Valérien), est un physicien, résistant français. Fils d’un radiologue, externe des hôpitaux de Paris, il épouse en 1929 Hélène Langevin, fille du physicien Paul Langevin. Jacques Solomon milite au Parti communiste auquel il a adhéré en 1934. En septembre-octobre 1940, en contact avec Georges Politzer, Jacques Solomon cherche à organiser la résistance universitaire. Arrêté le 2 mars 1942 par les brigades spéciales, interné à la prison du Cherche-Midi puis à la Santé, Jacques Solomon est remis aux Allemands et fusillé comme otage, le 23 mai 1942 au Mont Valérien, à l'âge de 34 ans, le même jour que Georges Politzer. Sa femme, Hélène Langevin-Solomon, membre du "Front national de lutte pour l'indépendance de la France" est déportée à Auschwitz.

Jacques Decour Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jacques Decour Jacques Decour, nom de résistant de Daniel Decourdemanche, est un écrivain et résistant français, né le 21 février 1910 à Paris, mort pour la France fusillé par les nazis le 30 mai 1942 au fort du Mont-Valérien. Biographie[modifier | modifier le code] En 1930, il publie son premier roman, Le Sage et le Caporal, chez Gallimard. Il est ensuite nommé au lycée de Reims et adhère au mouvement des jeunesses communistes. En 1941, Decour devient le responsable du Comité national des écrivains qui projette la publication d’une nouvelle revue, les Lettres françaises qu'il ne verra pas paraitre, puisque le 17 février 1942, Decour est arrêté par la police française. Publications[modifier | modifier le code] Traduction[modifier | modifier le code] Le Triomphe de la sensibilité, in Théâtre complet de Goethe, Bibliothèque de la Pléiade, éditions de la Nouvelle Revue Française, 1942. Notes et références[modifier | modifier le code]

Georges Politzer Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Politzer. Biographie[modifier | modifier le code] En Hongrie[modifier | modifier le code] Lycéen brillant, en 1919 il est partisan de la révolution en Hongrie ; il y participe activement, parfois les armes à la main. À Vienne[modifier | modifier le code] Il participe aux séminaires de la société psychanalytique de Vienne avec Sigmund Freud et Sándor Ferenczi. En France[modifier | modifier le code] Université ouvrière[modifier | modifier le code] Résistance[modifier | modifier le code] Mobilisé à Paris en 1940, il reste aux côtés de la direction clandestine du Parti communiste. Du fait de ces activités clandestines, il est traqué par la police. Malgré sa mort tragique et ses prises de positions ouvertement antifascistes, Georges Politzer ne fut reconnu comme interné résistant à titre posthume qu’après une bataille juridique qui ne se termine qu’en 1956. Aperçu de ses idées[modifier | modifier le code]

Pierre Georges Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Georges, dit colonel Fabien ou Frédo, né le à Paris et mort le à Habsheim, est un militant communiste et résistant français. Biographie[modifier | modifier le code] Avant-guerre[modifier | modifier le code] Son père était boulanger à Villeneuve-Saint-Georges, sa mère est morte en 1928. Il est élu au comité central des Jeunesses communistes (JC). Résistance[modifier | modifier le code] Pierre Georges devient à la fin juillet 1941, commissaire militaire de l'Organisation spéciale du Parti communiste français, qui s'oriente vers la lutte armée contre l'occupant. Maurice Schumann, déclare le 28 août 1941 à Radio-Londres : « Les coup de feu tirés par le jeune français sont la suite logique, fatale, inéluctable de l'attentat permanent contre la nation française par l'ennemi et ses complices [...] l'attentat appelle l'attentat. » Libération[modifier | modifier le code] Ce groupement change plusieurs fois de nom.

Eugène Varlin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Varlin. Internationale, coopératives et grèves[modifier | modifier le code] Eugène Varlin naît dans une famille de paysans pauvres. En 1864 est créée l'Association internationale des travailleurs, souvent connue sous l’appellation de « Première Internationale ». À la même époque, il crée la Société de solidarité des ouvriers relieurs de Paris, dont les statuts évoquent la nécessité de « poursuivre l'amélioration constante des conditions d'existence des ouvriers relieurs en particulier, et, en général, des travailleurs de toutes les professions et de tous les pays, et d'amener les travailleurs à la possession de leurs instruments de travail. » Ses efforts contribuent à la création, le 14 novembre 1869, de la Fédération parisienne des sociétés ouvrières, qui plus tard passe à l'échelle nationale et devient ultérieurement la Confédération générale du travail. La Commune[modifier | modifier le code]

Jean Bruhat Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Bruhat. Jean Bruhat, né le 24 août 1905 à Pont-Saint-Esprit dans le Gard, mort le 11 février 1983 à Paris, est un historien français spécialiste du mouvement ouvrier. Biographie[modifier | modifier le code] Parcours professionnel[modifier | modifier le code] En octobre 1937, Jean Bruhat rentre à Paris et enseigne au lycée Buffon. Parcours politique[modifier | modifier le code] Sa nomination à Paris, lui permet d'accepter la mission que le PCF lui confie : la direction du musée de l'Histoire vivante, qui ouvre ses portes le 23 mars 1939 pour le 150e anniversaire de la Révolution française (dans l'après-guerre, Jean Bruhat officiera en tant que conservateur du musée)[4]. Du stalinisme à la contestation[modifier | modifier le code] Historien à l'Humanité"[modifier | modifier le code] En de nombreuses occasions il a écrit des articles d'histoire pour le quotidien L'Humanité. Bibliographie[modifier | modifier le code]

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