La génération qui ne voulait plus posséder - Le Temps ZEN. Trois lettres couleur pastel décorent le mur de la chambre éthérée de Sara, vingt ans. Au premier étage de la villa familiale, un havre de paix. Presque rien. De minuscules enceintes diffusent par Bluetooth les douces notes folks de The Lumineers, trouvées sur Spotify. Marqueurs de leur temps Grande lectrice, Sara emprunte ses livres à ses parents, à la bibliothèque ou les télécharge sur son Ipad, tout comme sa musique ou ses films. Fashionata à petit budget, la jeune fille chine dans les vide dressings les habits qu’elle revendra plus tard, une fois portés. Marqueurs de temps, Sara et sa génération préfèrent l’usage à la propriété. A lire: Deux cuillères, trois chemises, quatre pantalons, la philosophie minimaliste au Japon «Le partage au sens noble du terme s’est perdu» «Ces entreprises perçoivent un pourcentage sur les transactions mais ne comptent qu’un très petit nombre d’employés. Spotify compte 75 millions d’utilisateurs La crise de 2008 à l’origine de l’économie partagée?
Un débat intellectuel en trompe-l'œil, par Serge Halimi (Le Monde diplomatique, janvier 2003) Deux listes d’intellectuels s’affrontent. D’un côté, ceux qui, sous couvert de « réforme », d’« ouverture », de rupture avec les « tabous », saluent la marche du monde - et celle de la gauche quand elle y concourt. Ils disposent du soutien de la plupart des médias, toujours prompts à se mobiliser en faveur d’un « progrès » qui conforterait les structures économiques que leur pensée unique a popularisées. En face, ceux que cette « modernité » inquiète ou rebute, parce qu’ils y perçoivent une forme de régression dans l’organisation sociale. Les premiers les jugent « réactionnaires ». Nous sommes aussi en 2002. Un faisceau de facteurs fonde leur appréciation — ou leur présomption. Si le contexte a changé (et s’est incontestablement dégradé), les sujets du débat aussi. Certains des ténors de la revue Esprit ont tiré les premiers. Droite autoritaire, gauche inégalitaire Il s’agit aussi d’« humeur ». Mais nous ne sommes plus en 1994. Ainsi de la question du progressisme.
Étude 2017 : Comment communiquent les jeunes de la génération Z ? Comment communiquent les jeunes de la génération Z sur leur smartphone ? Quelles applications préfèrent-ils ? Pour parler avec qui ? Diplomeo répond à ces questions grâce à une enquête inédite menée auprès de 3708 jeunes. Crédit Diplomeo Le moins que l’on puisse dire est que cette génération fait beaucoup parler d’elle. Snapchat, le bourreau des cœurs ! Le mignon fantôme jaune a visiblement un petit quelque chose que les autres n’ont pas. 51 % des interrogés préfèrent Snapchat pour partager des photos.56 % favorisent cette même appli pour les vidéos.76 % y publient leurs stories en priorité. L’image délaissée au profit de l’écriture Les lycéens et jeunes étudiants d’aujourd’hui accordent peut-être à l’image une plus grande importance que leurs prédécesseurs, mais le texte semble tout de même largement préféré au visuel : Les parents, copains 2.0 des Z Côté réseaux sociaux pour les correspondances parents-enfants : Les jeunes, tous futurs influenceurs ? Alice Meyer
La génération Y et Z vont vous épater ! On disait la même chose il y a des milliers d’années, et on dira encore la même chose dans 50 ans ; chaque génération se construit en opposition à la génération précédente. Vous avez surement déjà lu ou entendu le terme « génération Y » qui représente les personnes nées dans les années 1980. Dans cette vidéo, Emmanuelle nous explique que cette génération qui a longtemps été incomprise et critiquée, est déjà sur le point de se faire terrasser par la suivante : la génération Z. Cette nouvelle génération, qualifiée de « génération mutante », est née avec les nouvelles technologies, devenues de véritables extensions cérébrales et physiques, qui leur donne un pouvoir incomparable. Nous entrons dans une nouvelle société du collectif, de l’interconnexion, de l’extrême rapidité des échanges, où l’hyper individualisme dans l’entreprise disparaît, ou du moins tend à disparaître. C’est une génération qui apprend de ses parents, qui n’est plus dans la contemplation mais dans l’action.
Sélection de 24 plantes dépolluantes pour votre intérieur Les facultés de dépollution des plantes d’intérieur sont connues depuis 1989. Bill Wolverton, un ingénieur de la Nasa, fut le premier à étudier la capacité d’absorption de plusieurs composés chimiques par les végétaux. Une cinquantaine de plantes d’intérieur, parmi les plus courantes, furent ainsi testées. Ses recherches sur la phytoépuration seront reprises partout dans le monde et approfondies. Elles ont contribué à établir la notion de qualité de l’air intérieur. Aujourd’hui, il est prouvé que certains matériaux de construction et produits d’entretien nous empoisonnent la vie. Les polluants se cachent partout ! Les caractéristiques de 24 plantes dépolluantes Vous trouverez les conditions de culture optimales (ensoleillement et température) ainsi que leur efficacité vis à vis des principaux polluants que l’on trouve dans la maison :X EfficaceXX Très efficaceXXXX Super efficace
Génération Y : une nouvelle vision du travail et de la RSE La génération Y, ou génération Millenium est de plus en plus active. En accédant à l’emploi, ces jeunes nés dans les années 80 et 90 transforment progressivement le monde du travail, et en particulier la RSE. Retour sur cette génération de la rupture. La génération Y, qu’est-ce que c’est ? Après la génération X, la génération Y ou génération millenium (millenials en anglais) est le nom de cette nouvelle génération qui accède depuis quelques années au monde du travail. La fameuse génération “petite poucette” dont parle Michel Serres arrive en effet dans le monde du travail depuis une petite dizaine d’année, et elle modifie déjà considérablement les rapports de travail. Comment la génération Y transforme le monde du travail La génération Y est d’abord la première génération à subir le chômage de masse et de longue durée. Cette nouvelle génération est aussi numérique. Les milleniums sont aussi une génération du sens. Génération Y : l’avènement de la RSE
Vous avez dit « complot » ? (Le Monde diplomatique, juin 2015) Quelques jours après le tremblement de terre d’avril dernier au Népal, des doutes ont envahi la Toile : la catastrophe ne s’expliquerait-elle pas par la réactivation de l’accélérateur de particules de l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) ? Dorénavant, le scénario est bien rodé. Des marchands de conspirations attribuent chaque bouleversement du monde à l’Occident, aux Juifs, aux financiers de Wall Street, aux francs-maçons, etc. De la naissance de l’Organisation de l’Etat islamique aux attentats de Paris, du 11-Septembre à la crise financière de 2008, chaque événement largement médiatisé peut désormais susciter des théories du complot.
Génération Z : pas si « réseaux sociaux » que ça… Comment communiquent vraiment ces jeunes nés à partir de 1995 ? Quelles applications privilégient-ils ? Pour quels usages ? Avec qui ? Véritable partenaire des jeunes, diplomeo.com a souhaité en savoir plus sur les habitudes et préférences de la génération Z sur leur smartphone grâce à une enquête inédite. 3708 jeunes ont dévoilé leurs habitudes… jusqu’aux plus insolites. Découvrez, entre autres, les réponses aux questions suivantes : => Quel est le réseau social préféré des 16-22 ans ? Snapchat : passionnément… à la folie ! Snapchat prend la tête du podium des réseaux préférés des jeunes de la génération Z, Facebook se hissant à la deuxième position, juste devant Youtube. Les parents, alliés 2.0 des jeunes Qui a dit que les jeunes snobaient leurs parents sur les réseaux sociaux ? Non, les ados et jeunes étudiants ne veulent pas écarter leurs parents de leur sphère numérique. L’écriture, plus utilisée que les images Entre filtre, assiette et influence
La génération Y, un nouvel idéal de vie ? J’ai regardé pas mal de reportages et lu quelques études sur la génération Y, génération dont je fais parti, étant né en 1993. Tout ça cogitait dans ma petite tête, jusqu’à cette conversation cet été avec ma grand-mère qui m’a confirmé quelques faits que j’ai envie de partager avec vous. La génération Y, un nouvel idéal de vie ? D'après un texte d'Antoine, globetrotter invétéré de 23 ans... J’annonçais donc à ma grand-mère notre départ avec Amandine pour un tour du monde à la fin de l’année… J’ai lu alors l’incompréhension sur son visage. Tu ne veux pas Antoine te lancer enfin dans un métier ? Je lui ai dit à nouveau que je n’aspirais pas à tout cela. Mais cela ne suffisait pas, elle cherchait toujours à comprendre mon raisonnement. La génération qui a tout mais qui ne vit rien La génération Y, celle qui a un accès facile à toutes sortes d’informations, sans n’avoir rien connu. À chaque génération son idéal La génération de ma grand-mère sortait de la guerre. Ensuite nos parents sont arrivés
Clara Delcroix, qui suis-je ? – Pure Génération Z Je m’appelle Clara Delcroix. J’ai 17 ans et je fais donc partie de la génération Z (les enfants nés entre 1995 et 2010, les vrais digital natives) et à ce titre, je possède de nombreuses présence dans les médias sociaux (voir en fin d’article). En bref, je suis curieuse de tout, j’apprends beaucoup de choses en autodidacte avec pour sources Internet et parfois des livres ! La section AbiBac et apprentissage des langues Je suis actuellement en terminale ES au lycée Faidherbe de Lille dans la filière AbiBac qui est un peu spéciale. Nous avons plus d’heures d’allemand qu’un élève lambda (11 h de cours en langue allemande par semaine réparties en 6 h d’allemand et 5 h d’histoire-géo). En fin de terminale, nous passons l’épreuve du baccalauréat français et l’Abitur allemand (nos examens sont aménagées pour éviter de passer des matières en double). À la fin de nos études, nous pouvons poursuivre nos études en Allemagne ou en France. Les voyages J’aime voyager ! Les animaux, sciences et nature ).
Concours, classement, "grandes écoles" : les ingrédients de la faillite française Des étudiants de l'école Polytechnique à Palaiseau, le 17 octobre 2009 (F.GUILLOT/AFP). On ne change pas une formule gagnante ! Cette injonction ne prête pas à discussion, sauf à courir après la défaite. En matière d’enseignement supérieur, les formules françaises déclarées gagnantes sont au nombre de trois, qui s’enchâssent : les fameuses "grandes écoles", cependant largement ignorées du monde entier dans les classements internationaux. Les classes préparatoires, intraduisibles dans aucune langue tant elles recouvrent une éducation bizarre qui pré-sélectionne les meilleurs lycéens, puis les gave de cours et de colles comme le font avec leurs volatiles les éleveurs d’oies dans le Périgord. Les concours sont la troisième formule gagnante. Les professeurs, dans ce parcours parallèle se déroulant en lycée, eux, corrigent beaucoup de copies, ne publient rien, régurgitent ce que les universitaires dans leurs facultés ont cherché et publié et, pas fous, comptent leurs sous.