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Le style de direction consultatif chez fenwick

Le style de direction consultatif chez fenwick

L’impact de la normalisation sur le management de l’entreprise « Définir des standards opératoires et les enseigner aux opérateurs constituent des responsabilités primordiales de la maîtrise dans une usine, au même titre que, dans une équipe sportive, il est de la responsabilité de l’entraîneur de former les joueurs à la maîtrise des gestes techniques élémentaires » nous dit Taïchi Ohno dans son ouvrage « L’Esprit Toyota ». Ainsi, il apparaît fondamental, pour les organisations, d’élaborer des procédures normalisées puis de former l’ensemble des collaborateurs au respect de leur mise en œuvre afin d’être assuré d’avoir toujours recours aux bonnes pratiques. Pourtant, par le passé, certaines sociétés américaines n’ont pas cru bon d’appliquer la normalisation qui s’imposait dans leur domaine d’activité. C’est ainsi que, dans celui de la finance, le non-respect des normes a plongé certaines d’entre elles au cœur d’un scandale. En 2010, J.C. C’est pourquoi, on peut se poser la question suivante : A/ Un management orienté processus E. H. H. I. M.

Thierry Marx : "La violence ne fait pas partie de la culture de la cuisine" Dans les fauteuils rouges emblématiques de Complément d'enquête, pour le premier entretien de la saison, c'est le chef étoilé du Sur Mesure, le restaurant du Mandarin oriental, à Paris, qui fait face à Nicolas Poincaré. Thierry Marx est venu réagir à notre enquête sur les violences en cuisine et donner son sentiment sur un phénomène de moins en moins étouffé... Impressionnantes, les violences en cuisine ! La violence ferait partie de la culture de la cuisine, à tous les niveaux ? Sans parler des coups de genou, brûlures... la violence verbale est-elle acceptable ? D'où ce paradoxe : dans un univers de luxe absolu, à quelques mètres des clients qui bénéficient d'un service parfait, ça trime, ça souffre... Sexisme, machisme existent aussi ? Ledoyen, Robuchon... les plaintes se multiplient depuis un an. La pression qui cause toute cette peur, c'est aussi l'étoile : si on la perd, on perd une partie considérable de son chiffre d'affaires...

A Montauban, Poult se revendique biscuiterie «libérée» C'est l'une de ces rares entreprises qui se revendiquent "libérées": le groupe français Poult, fabricant de biscuits sucrés pour la grande distribution, mise sur "l'autonomie et la responsabilité" de ses salariés, depuis sept ans à Montauban. "L'homme est au coeur du système", affirme un schéma placardé dès l'entrée de l'usine du Tarn-et-Garonne, d'où sortent chaque jour 120 tonnes de barquettes, nappés chocolat ou mini-tartelettes. Sur les neuf lignes de production qui tournent 24 heures sur 24, les ouvriers voient aussi défiler toutes sortes de chercheurs et d'entrepreneurs, curieux d'étudier le "système participatif d'amélioration continue" appliqué depuis 2007. "Pour résumer, on ne considère plus les ouvriers comme des exécutants, ils décident eux-mêmes ce qu'ils doivent faire sur les lignes, sans attendre un chef", commente Sylvain Pineau, 35 ans, rebaptisé "animateur", plutôt que "directeur" d'une des quatre unités de production. - "plus de grève" -

"Complément d'enquête" : Violences en cuisine, la confession d'un chef Cadences infernales, insultes, climat de tension extrême... la vie derrière les fourneaux des grands restaurants n'est pas forcément de tout repos. Si les victimes commencent à parler, l'omerta reste difficile à briser, surtout chez les chefs. Un seul a accepté de rencontrer l'équipe de Complément d'enquête. Jean-Marie Lepeltier tient un restaurant gastronomique à Angers. "Oui, oui, j'étais gueulard, impulsif. Pression du service, sentiment de toute-puissance... Autre exemple ? Par la suite, devenir patron à son tour a obligé Jean-Marie à modifier ses méthodes.

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