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Déclaration Balfour de 1917

Déclaration Balfour de 1917
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Balfour et le texte de la Déclaration. La Déclaration Balfour de 1917 est une lettre ouverte adressée à Lord Lionel Walter Rothschild (1868-1937), publiée le par Arthur James Balfour, le ministre britannique des Affaires Étrangères, en accord avec Chaim Weizmann, alors président de la Fédération Sioniste[réf. nécessaire] et qui sera élu en 1948 président de l'État d'Israël. Par cette lettre, le Royaume-Uni se déclare en faveur de l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif avec le respect des communautés non juives sur le territoire. Cette déclaration est considérée de facto comme une des premières étapes dans la création de l'État d'Israël[1]. Contexte historique et motivations[modifier | modifier le code] À l'aube de la Première Guerre mondiale, la Palestine fait partie de l'Empire ottoman. C'est aussi l'époque du « Grand Jeu » selon Kipling pour maîtriser les zones riches en pétrole et protéger l'accès aux Indes. Related:  Histoire d'IsraelPolitique / Socio

Juifs et musulmans - Si loin, si proches (1/4) Où l’on retrace la naissance de l’islam et sa conquête en un siècle d’un territoire s’étendant de la Perse à l’Espagne. Quelle a été la place des millions de non-musulmans dans cet empire ? Pour les polythéistes, c’est la conversion ; pour les peuples du Livre, juifs et chrétiens, le statut de "dhimmi", qui les détermine inférieurs, mais leur confère une protection plus ou moins généreuse selon les lieux, et leur permet de pratiquer leur religion. Dès l’avènement de l’islam, le sort des musulmans et des juifs a été étroitement lié, mais un peu plus d'un siècle de conflit a suffi à occulter dans les mémoires treize siècles d’une histoire commune souvent pacifique et parfois harmonieuse. De 610 à nos jours, de l’Arabie au Proche-Orient en passant par l’Empire ottoman, l’Andalousie et le Maghreb, cette histoire complexe et méconnue est racontée chronologiquement, avec une fluidité qui n’exclut pas le sens du détail.

Thomas Wolfe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Wolfe. Thomas Clayton Wolfe, né le et mort le , est un écrivain américain. Eléments biographiques[modifier | modifier le code] Thomas Wolfe a reçu le diplôme de l’écriture pour le théâtre (Master in Playwriting) à l’université Harvard, mais sans pouvoir vendre ses pièces, il a décidé de travailler sur d’autres formes littéraires. En 1931, Wolfe s’installe à Brooklyn, où il vit entouré de meubles sinistrés et très modestes. En , Wolfe fit un voyage en Colombie britannique et y contracta la pneumonie, qui entraîna sa tuberculose. Thomas Wolfe a marqué toute une génération d'écrivains. Bibliographie sélective[modifier | modifier le code] Romans[modifier | modifier le code] Recueils[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Thomas Wolfe, sur Wikimedia Commons Portail de la littérature

David Ben Gourion David Ben Gourion (en hébreu : דָּוִד בֶּן-גּוּרְיוֹן, /daˈvɪd ben gurˈjoːn/ Écouter; en arabe : داود بن قوريون), à l'origine David Grün (en yiddish : דוד יוסף גרין, David Yosef Grin), né le 16 octobre 1886 à Płońsk (ville au centre de la Pologne, pays alors annexé par l'Empire russe) et mort le 1er décembre 1973 au kibboutz de Sde Boker (Israël), est un homme d'État israélien. Il est le fondateur de l'État d'Israël dont il proclame l’indépendance le 14 mai 1948 vers 16 heures à Tel Aviv, dans une des salles du Musée des Beaux Arts. Il est Premier ministre du pays de 1948 à 1954 et de 1955 à 1963. Il est le Premier ministre israélien resté le plus longtemps en fonction (avec une interruption), jusqu'à Benyamin Netanyahou en 2018. Biographie[modifier | modifier le code] Origines et enfance (1886-1906)[modifier | modifier le code] À l'époque de sa naissance, Płońsk se trouve dans la partie de la Pologne intégrée à l'Empire russe. Il est issu d'une famille juive sioniste. auto-défense juive.

Après la déclaration Balfour, l'antisionisme du Bund polonais dans l'Entre-deux-guerres L’historiographie juive s’intéresse principalement aux mouvements sionistes et le Bund polonais est peu cité. On pourrait avoir l’impression qu’il était quantité négligeable ou, au mieux, qu’il faisait jeu égal avec les groupes sionistes. Pourtant, aux élections législatives de 1922, les voix qui se sont portées vers des partis juifs ont donné 82 % au Bund, 3 % au Poale Sion [2] de droite et 15 % à celui de gauche. Certes une partie des Juifs – y compris des révolutionnaires – militait dans des organisations non-juives, mais l’hégémonie du Bund dans la classe ouvrière, avec ses milliers de militants, ses syndicats, son réseau d’écoles laïques, est une réalité historique avérée. Pourtant, dans la Pologne où vivaient 3 millions de Juifs, avec des régions où leur proportion dans la population dépassait souvent les 20 %, le Bund représentait l’essentiel du mouvement juif organisé, des syndicats, des journaux et de la culture yiddish. Le sionisme pactise avec l’impérialisme britannique

Adolphe Crémieux Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Crémieux. Il est l'auteur du décret Crémieux d'octobre 1870. Il fut ami de l'abbé Grégoire dont il fit l'éloge funèbre. Origine[modifier | modifier le code] Ses parents, des Juifs du Pape vivant à Carpentras (dans l'enclave pontificale), émigrèrent à Nîmes où son père David Crémieux (1761-1819) créa avec son frère Élie un négoce de soieries « E. Adolphe Crémieux se voulait universaliste et refusait tout sectarisme[réf. nécessaire]. Sa sœur, Julie-Égalité Crémieux (1796-1880), se convertit au catholicisme malgré l'opposition de son père et de sa famille. Une carrière d'avocat[modifier | modifier le code] Crémieux revendique la liberté religieuse et n’hésite pas à s’opposer à l’État pour la défendre. Préoccupé par l’oppression des Juifs dans le monde, il s’impose comme mission de les défendre où qu’ils soient et rivalise à cet égard avec son confrère anglais, sir Moses Montefiore. Ces décrets comprenaient:

J. D. Salinger Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Salinger. J. D. Salinger Œuvres principales J.D. Il commence à se faire connaître en 1948 avec des nouvelles parues dans le New Yorker, mais il est surtout célèbre pour son roman L'Attrape-cœurs (titre original : The Catcher in the Rye). Salinger est connu aussi pour sa vie de reclus. Biographie[modifier | modifier le code] J.D. À partir de 1948, il commence véritablement à se faire connaître avec la publication de nouvelles, telles que Oncle déglingué au Connecticut, dans le journal New Yorker dont il devient rapidement l’un des auteurs les plus connus. En fait, il ne s'agit pas de sa première collaboration avec le New Yorker, puisqu'une de ses nouvelles avait été déjà acceptée en 1942 par le journal. La signature de J. Salinger a confié à plusieurs personnes qu’il sentait que Holden méritait un roman et L'Attrape-Cœurs (titre original : The Catcher in the Rye) est publié en 1951. J.

Les accords Sykes-Picot : cause des tensions au Proche-Orient? 16 mai 1916. En pleine bataille de Verdun, Anglais et Français pensent déjà à l’après-guerre. Deux hommes, deux diplomates, vont négocier et se partager une grande partie du monde arabe, alors sous contrôle de l’Empire ottoman, allié de l’Allemagne. Ce seront les accords Sykes-Picot, qui après guerre créeront les frontières du Proche-Orient. Publié le 17/05/2016 16:28 Mis à jour le 17/05/2016 16:51 Temps de lecture : 4 min D'un côté les armées s'affrontaient. De l'autre, les diplomates commençaient déjà leurs tractations. L'accord en lui même ne définit pas les frontières futures de la région, mais les deux grandes zones d'influence entre la France et l'Angleterre. «Je veux aussi Jérusalem, a continué Lloyd George» La France voulait conserver son influence sur la côte syrienne tandis que Londres entendait surtout préserver son contrôle sur le canal de Suez. Les suites de la guerre obligeront les deux puissances à affiner leurs décisions.

Tokénisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le tokénisme (tokenism en anglais) est une pratique consistant à faire des efforts symboliques d'inclusion vis-à-vis de groupes minoritaires[1],[2] dans le but d'échapper aux accusations de discriminations[3]. Dans le monde du travail, par exemple, il s'agit pour une entreprise de recruter quelques personnes issues de ces groupes[4] et de le mettre en avant. La pratique est à différencier de la discrimination positive[1], le tokenisme n'étant pas forcément pratiqué dans l'intention de promotion des individus mis en avant mais plutôt dans l'intention de cacher la réalité et de produire des « cache-misère »[5]. Origine du terme[modifier | modifier le code] En anglais, l'adjectif « token » placé devant un nom de minorité désigne un personnage de fiction qui est membre d'une minorité, placé dans le but de représenter cette minorité. L'usage adjectival peut être traduit par « d'honneur » ou « alibi », selon les cas.

Mohammed Amin al-Husseini Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mufti Husseini vers 1929. Mohammed Amin al-Husseini (Jérusalem, 4 juillet 1895 (1313 AH)[1] - Beyrouth, 5 juillet[2] 1974), également connu en tant qu'Hadj Amin al-Husseini, ou encore en tant que « Grand Mufti de Jérusalem ») était un chef religieux et nationaliste en Palestine mandataire. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Durant sa jeunesse, Amin a-Husseini est éduqué pour succéder à son père, mufti de Jérusalem[3]. En 1913[2], à 18 ans, il effectue le pèlerinage de la Mecque et rajoute Hadj à son nom[3] comme le permet la tradition musulmane[4] pour se faire appeler Hadj Amin al-Husseini, un des deux noms sous lesquels il est le plus souvent cité[5]. Durant la Première Guerre mondiale, il s'engage dans l'armée ottomane qu'il quitte[6] en 1917 pour retourner à Jérusalem[3]. Activités politiques[modifier | modifier le code] Mufti de Jérusalem[modifier | modifier le code] Rencontre avec Hitler en 1941.

Le Sang du ciel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Sang du ciel, publié en 1961 chez Gallimard, est le seul roman de Piotr Rawicz. Il est basé en partie sur son expérience concentrationnaire. Le livre connait un succès immédiat en France. Le Sang du ciel n'est pas à proprement parler un témoignage. « Courage et lâcheté formeraient-ils un duo inséparable, un dvandva, un tandem comme le vide et la plénitude ? Mort et communauté, survivre et solitude sont souvent mis en rapport dans le récit de Rawicz. La structure du roman est d'une grande complexité. La tension du récit est créée par l'interaction entre ce qui est dit et ce qui est passé sous silence. « Ça glissait. Le roman accorde aussi une place importante à la sexualité. Portail de la littérature

Nasser ou le rêve panarabe, par Agnès Levallois (Le Monde diplomatique, septembre 2014) Le 23 juillet 1952, un coup d’Etat militaire renverse en Egypte le roi Farouk, qui était soutenu par le Royaume-Uni. Les Officiers libres – groupe d’officiers de grade intermédiaire qui s’est constitué pendant la guerre de Palestine de 1948-1949 – prennent le pouvoir. Leur programme très général est accepté par l’ensemble des formations politiques, des communistes aux Frères musulmans en passant par le Wafd, le grand parti libéral du pays. Il s’articule autour de la réforme de l’armée, de l’indépendance nationale, de la lutte contre la corruption et la féodalité. Le 18 juin 1953, la république est instaurée et, en 1954, Gamal Abdel Nasser, l’un des Officiers libres, élimine le général Mohammed Néguib, porté au pouvoir en 1952, et devient l’homme fort du pays. L’annonce par Nasser, en 1956, de la nationalisation du canal de Suez – exploité depuis son inauguration en 1869 par une société franco-britannique – engendre une crise internationale. La méfiance des britanniques

Les années Chirac ont aggravé la crise de la Ve République Plan de partage de la Palestine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le 29 novembre 1947, le plan de partage de la Palestine[1] élaboré par l’UNSCOP est approuvé par l’Assemblée générale de l’ONU, à New York par le vote de la résolution 181. Ce plan prévoit la partition de la Palestine en trois entités, avec la création d’un État juif et d’un État arabe, Jérusalem et sa proche banlieue étant placées sous contrôle international en tant que corpus separatum. La partie I du plan précise les dispositions de la fin du mandat britannique, du partage et de l’indépendance des entités. Il indique que le mandat doit se terminer aussi vite que possible. Le plan est accepté par les dirigeants de la communauté juive en Palestine, par le biais de l'Agence juive à l'exception de ceux de l'Irgoun. Contexte historique[modifier | modifier le code] Entre 1923 et 1948, la Palestine est sous administration britannique dans le cadre d'un mandat de la société des Nations. Création du plan[modifier | modifier le code]

Mathieu Brosseau - Littérature Mathieu Brosseau pour « Ici dans ça » au Castor Astral Bien qu'interrogeant des thèmes fondateurs, la poésie de Mathieu Brosseau n'en demeure pas moins habitée - voire possédée - par la chair. Cette poésie reste infiniment mélodique par sa syntaxe aux spirales multiples. Dans Ici dans ça, l'auteur s'aventure vers un système de dualismes impérieux où émergent deux couples irréconciliables bien que totalement imbriqués : le temps et l'espace, l'aliénation et la liberté. Dans le constat de cette confrontation, Mathieu Brosseau impose sa poétique rageuse, parfois iconoclaste, souvent soucieuse de l'ordre des symboles. Et s'il fallait violenter les cadres imposés par la langue pour accéder enfin au réel ? Mathieu Brosseau est un poète des limites, de celles qu'il expérimente et pour reprendre le titre de Lacoue-Labarthe, on comprend, en lisant Mathieu Brosseau qu'il fait de la poésie une expérience.

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