Juifs et musulmans - Si loin, si proches (1/4) Où l’on retrace la naissance de l’islam et sa conquête en un siècle d’un territoire s’étendant de la Perse à l’Espagne. Quelle a été la place des millions de non-musulmans dans cet empire ? Pour les polythéistes, c’est la conversion ; pour les peuples du Livre, juifs et chrétiens, le statut de "dhimmi", qui les détermine inférieurs, mais leur confère une protection plus ou moins généreuse selon les lieux, et leur permet de pratiquer leur religion. Dès l’avènement de l’islam, le sort des musulmans et des juifs a été étroitement lié, mais un peu plus d'un siècle de conflit a suffi à occulter dans les mémoires treize siècles d’une histoire commune souvent pacifique et parfois harmonieuse. De 610 à nos jours, de l’Arabie au Proche-Orient en passant par l’Empire ottoman, l’Andalousie et le Maghreb, cette histoire complexe et méconnue est racontée chronologiquement, avec une fluidité qui n’exclut pas le sens du détail.
Accord Haavara Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'accord Haavara (en hébreu הסכם העברה, Heskem Haavara, littéralement « accord de transfert ») est un accord signé le 25 août 1933 après trois mois de négociations entre la Fédération sioniste d'Allemagne, la Banque anglo-palestinienne (sous les ordres de l'Agence juive, une agence exécutive officielle en terre palestinienne) et les autorités économiques du régime de l'Allemagne nazie. L'accord a été conçu pour faciliter l'émigration des Juifs allemands vers la Palestine. Aidant les Juifs à émigrer, il les force à abandonner la plupart de leurs possessions à l'État allemand avant le départ. Ces actifs, selon l'accord, pouvaient être obtenus plus tard, en les transférant en Palestine comme biens d'exportation allemands. Les accords fonctionneront jusqu'en 1942. Hanotea[modifier | modifier le code] L'accord Haavara[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Liens[modifier | modifier le code]
Le Sionisme (définitions) | Parti Anti Sioniste (PAS) Hadassah Borreman (Yechouroun - Judaïsme contre Sionisme).Le Sionisme vu par le Judaïsme (3) Discours prononcé par Hadassah Borreman, membre de l'association « Yechouroun - Judaïsme contre Sionisme », lors d'une conférence à l'Institut du Monde Arabe à Paris, sous le thème du « Droit légitime au retour du peuple palestinien ». (*Vidéo en fin d'article) Au nom du Tout-Puissant, le Très Miséricordieux. Quelque soit leur croyance ou leur opinion politique, les hommes et femmes de bonne volonté du monde entier sont d’accord pour le principe du droit légitime au retour du peuple palestinien dans ses foyers en Terre Sainte, en Palestine. L’association d’études rabbiniques « Yechouroun Judaïsme contre Sionisme », basée à Anvers, dont je suis la déléguée, s’est déjà prononcée à reprise et sans équivoque à ce sujet. Partenaire du Centre Zahra France, nous avons formulé en juillet 2008, un « Appel à l'initiation d'une alliance stratégique amicale entre Judaïsme et Islam contre le Sionisme ».
William Blackstone — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il exerça d'abord avec peu de succès la profession d'avocat à Londres, puis il ouvrit à Oxford en 1753 un cours de droit civil et politique qui fut très suivi. Blackstone fut, quelques années après, nommé juge au tribunal des plaids-communs et élu député à la Chambre des communes en 1761. Il a publié les leçons qu'il avait faites à Oxford, sous le titre de Commentaires sur les lois d'Angleterre (Commentaries on the Laws of England) (4 volumes, 1765, et années suivantes). Il était hostile au catholicisme ou papauté, écrivant dans ses Commentaires : As to papists, what has been said of the Protestant dissenters would hold equally strong for a general toleration of them ; provided their separation was founded only upon difference of opinion in religion, and their principles did not also extend to a subversion of the civil government. Source[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code] (en) Notice biographique
Après la déclaration Balfour, l'antisionisme du Bund polonais dans l'Entre-deux-guerres L’historiographie juive s’intéresse principalement aux mouvements sionistes et le Bund polonais est peu cité. On pourrait avoir l’impression qu’il était quantité négligeable ou, au mieux, qu’il faisait jeu égal avec les groupes sionistes. Pourtant, aux élections législatives de 1922, les voix qui se sont portées vers des partis juifs ont donné 82 % au Bund, 3 % au Poale Sion [2] de droite et 15 % à celui de gauche. Certes une partie des Juifs – y compris des révolutionnaires – militait dans des organisations non-juives, mais l’hégémonie du Bund dans la classe ouvrière, avec ses milliers de militants, ses syndicats, son réseau d’écoles laïques, est une réalité historique avérée. Pourtant, dans la Pologne où vivaient 3 millions de Juifs, avec des régions où leur proportion dans la population dépassait souvent les 20 %, le Bund représentait l’essentiel du mouvement juif organisé, des syndicats, des journaux et de la culture yiddish. Le sionisme pactise avec l’impérialisme britannique
Adolphe Crémieux Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Crémieux. Il est l'auteur du décret Crémieux d'octobre 1870. Il fut ami de l'abbé Grégoire dont il fit l'éloge funèbre. Origine[modifier | modifier le code] Ses parents, des Juifs du Pape vivant à Carpentras (dans l'enclave pontificale), émigrèrent à Nîmes où son père David Crémieux (1761-1819) créa avec son frère Élie un négoce de soieries « E. Adolphe Crémieux se voulait universaliste et refusait tout sectarisme[réf. nécessaire]. Sa sœur, Julie-Égalité Crémieux (1796-1880), se convertit au catholicisme malgré l'opposition de son père et de sa famille. Une carrière d'avocat[modifier | modifier le code] Crémieux revendique la liberté religieuse et n’hésite pas à s’opposer à l’État pour la défendre. Préoccupé par l’oppression des Juifs dans le monde, il s’impose comme mission de les défendre où qu’ils soient et rivalise à cet égard avec son confrère anglais, sir Moses Montefiore. Ces décrets comprenaient:
[DESINFOS.COM] - La revue des infos sur Israel - Shalom Sionisme et création de l'Etat d'Israël - Les clés du Moyen Orient Le sionisme est un mouvement politique qui s’affirme à la fin du XIXe siècle, visant à la création d’un Etat rassemblant l’ensemble du peuple juif en Palestine. Le mouvement prend toujours plus d’importance dans la première moitié du XXe siècle avant d’aboutir à la naissance de l’Etat d’Israël en 1948. L’origine du sionisme La volonté de former un Etat juif s’inscrit dans le contexte de revendications égalitaires inspiré de l’idéologie des Lumières au XVIIIe siècle, et des évolutions liées à la révolution industrielle au XIXe siècle. Les pogroms de 1881-1882 contre les Juifs suite à l’assassinat du Tsar Alexandre II en Russie font prendre conscience à certains penseurs de l’impossibilité de leur intégration dans le pays. L’attachement des Juifs à la Palestine La volonté de rassembler la communauté juive en Palestine n’est pas nouvelle. Théodor Herzl et l’essor du sionisme national Le développement et le succès du sionisme Bibliographie
La face cachée de Théodore Herzl ou comment distinguer sionisme et judaïsme - Cercle des Volontaires Antisémitisme ou marketing ? Un des pères fondateurs du Sionisme, Theodor Herzl, avait déjà programmé la fondation de l’Etat d’Israël en Palestine dès 1896 (avec notamment l’appui de la famille Rothschild (1) ). Theodor Herzl est adulé par Israël. Dans de nombreuses villes israéliennes, des rues portent son nom (ainsi qu’en France, Hongrie ou Autriche). En Israël, une ville est nommée « Herzliya ». On trouve également le mont « Herzl » à Jérusalem, où il est enterré ainsi que sa famille. Juste un petit détail qui pourrait choquer ou faire réfléchir : Theodor Herzl était un juif profondément antisémite ou plutôt anti-judaïque ! Il fallait, pour lui, attirer des antisémites honnêtes et les inciter à détruire les propriétés juives. Quand on se lance sur un terrain glissant, le mieux est de laisser la parole à d’autres et en l’occurrence il vaut mieux qu’ils soient juifs. Cet article n’est pas antisémite. Marc Blanchard.
Tokénisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le tokénisme (tokenism en anglais) est une pratique consistant à faire des efforts symboliques d'inclusion vis-à-vis de groupes minoritaires[1],[2] dans le but d'échapper aux accusations de discriminations[3]. Dans le monde du travail, par exemple, il s'agit pour une entreprise de recruter quelques personnes issues de ces groupes[4] et de le mettre en avant. La pratique est à différencier de la discrimination positive[1], le tokenisme n'étant pas forcément pratiqué dans l'intention de promotion des individus mis en avant mais plutôt dans l'intention de cacher la réalité et de produire des « cache-misère »[5]. Origine du terme[modifier | modifier le code] En anglais, l'adjectif « token » placé devant un nom de minorité désigne un personnage de fiction qui est membre d'une minorité, placé dans le but de représenter cette minorité. L'usage adjectival peut être traduit par « d'honneur » ou « alibi », selon les cas.
Mohammed Amin al-Husseini Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mufti Husseini vers 1929. Mohammed Amin al-Husseini (Jérusalem, 4 juillet 1895 (1313 AH)[1] - Beyrouth, 5 juillet[2] 1974), également connu en tant qu'Hadj Amin al-Husseini, ou encore en tant que « Grand Mufti de Jérusalem ») était un chef religieux et nationaliste en Palestine mandataire. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Durant sa jeunesse, Amin a-Husseini est éduqué pour succéder à son père, mufti de Jérusalem[3]. En 1913[2], à 18 ans, il effectue le pèlerinage de la Mecque et rajoute Hadj à son nom[3] comme le permet la tradition musulmane[4] pour se faire appeler Hadj Amin al-Husseini, un des deux noms sous lesquels il est le plus souvent cité[5]. Durant la Première Guerre mondiale, il s'engage dans l'armée ottomane qu'il quitte[6] en 1917 pour retourner à Jérusalem[3]. Activités politiques[modifier | modifier le code] Mufti de Jérusalem[modifier | modifier le code] Rencontre avec Hitler en 1941.
JSS News - Israël - Diplomatie - Géopolitique Les Juifs religieux et le sionisme - [UJFP] 1) La religion juive aux origines. Une religion nationale confrontée à la question de l’exil. La Bible hébraïque est un assemblage d’histoires, de légendes, de textes de lois, de poèmes, de prophéties, de réflexions philosophiques composés principalement en hébreu et un peu en araméen. On y trouve la Torah (ou Pentateuque car composée de cinq livres : la Genèse, l’Exode, le Lévitique, les Nombres et le Deutéronome). Suivent les Prophètes qui racontent l’histoire du peuple d’Israël de la conquête de Canaan à l’exil (à Babylone). Enfin les Ecrits regroupent des homélies, des psaumes, des poèmes, des prières, des proverbes probablement écrits tardivement pendant les périodes perses et hellénistiques (du VIe au IVe siècle avant JC).Les archéologues ont commencé à s’intéresser à la Palestine dès le milieu du XIXe siècle. 2) La religion, ciment des communautés juives dispersées La dispersion desJuifs est très antérieure à la destruction du deuxième temple par les troupes de Titus en 70 ap JC.
William Eugene Blackstone - Wikipedia, the free encyclopedia William Eugene Blackstone (October 6, 1841 – November 7, 1935) was an American evangelist and Christian Zionist. He was the author of the proto-Zionist Blackstone Memorial of 1891. Blackstone was influenced by Dwight Lyman Moody, James H. Brookes and John Nelson Darby. Life and work[edit] On June 5, 1866, Blackstone married Sarah Lee Smith (daughter of Philander Smith) and settled in Oak Park, Illinois in 1870, where he very successfully engaged in the "business of building and property investments". In 1878, he wrote, Jesus is Coming. Blackstone and his daughter traveled to the Holy Land in 1888. The conference issued a call urging the great powers, including the Ottoman Empire, to return Israel to the Jews. A year later in 1891, Blackstone led a petition drive that was approved by the conference. The Blackstone Memorial read, in part: Also in 1891, Blackstone stated that, the general "law of dereliction" did not apply to the Jews in regard to Palestine: Supreme Court Justice Louis D.