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EHESS

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Mouvements Cette campagne présidentielle est un enterrement du féminisme sous la forme radicale et revendicatrice qui a toujours été sa source vivante. L’absence de contrepoids aux intellectuels médiatiques n’a jamais été aussi criante : décor politique d’une campagne électorale où les « intellectuel-l-es spécifiques » peinent à trouver leur place. En omettant de parler de l’Europe, les candidats à la présidentielle deviennent néo-conservateurs. La montée des logiques gestionnaires dans le sanitaire et le social va de pair avec l’expansion du discours compassionnel : de moins en moins de solidarité, de plus en plus de suspicion et de contrôle.

anthropology-projects.co.uk Mon cerveau, ce héros... et ses mythes De "l'effet Mozart' à la croyance que l'on n'utilise que 10% de son cerveau, les neuro mythes sont partout et particulièrement dans l'enseignement. Philosophe de formation mais chargée de mission à La main à la pâte et membre associée à l'Institut Nicod, Elena Pasquinelli nous invite à découvrir les neuro mythes et à les comprendre pour mieux les combattre. Un combat devenu nécessaire parce qu'ils justifient de façon banale le maintien de préjugés et qu'ils empêchent du coup l'Ecole de tirer parti des avancées scientifiques. "Ce voyage au royaume des mythes ne sera pas un voyage de tout repos et il présente des risques", écrit E Pasquinelli.

Publications de Bruno Théret sur Cairn.info ➜Recherche avancée Publications de Bruno Théret diffusées sur Cairn.info Ouvrages Le système français de protection sociale Coll. Une heure de peine... Les gestes professionnels et le jeu des postures de l’enseignant dans la classe : un multi-agenda de préoccupations enchâssées Un contexte idéologique et politique pressant 1Partout en Europe et en Amérique, la question de l’école et de la formation des maîtres devient une question politique et idéologique de premier plan. Les cursus de formation sont rallongés ici, raccourcis, là. Les institutions de formation sont prises dans la tourmente permanente de remises en cause, de campagnes médiatiques, de prescriptions institutionnelles, elles-mêmes soumises au maelström d’une pensée politique qui puise plus ses arguments dans des logiques économiques, technocratiques, supranationales que dans la culture accumulée par les enseignants, par les formateurs et les travaux de recherche. En même temps, l’évolution sans précédent des savoirs et des moyens de leur diffusion, la transformation dans nos pays développés des modes de vie (travail, loisirs, mentalités) questionnent en profondeur la place de l’école, ses visées et ses modes d’enseigner.

Paradigme vermoulu, Christian WALTER Vendredi 30 mai 2008 5 30 /05 /Mai /2008 07:15 Dans un article récent (Libération 26 mai 08), le professeur d’université Christian WALTER pose cette question : « Combien de temps devra-t-on encore attendre pour que les établissements financiers ou bancaires installent dans leurs processus de gestion de contrôle des risques (de marché ou de crédit), des modélisations probabilistes adaptées à la nature exacte de l’incertitude affectant les variations boursières ? » Très vite, il suggère la réponse en nous donnant des informations sur le fonctionnement de ce milieu professionnel restreint. Dans ces conditions, quand donc les financiers changeront-ils de paradigme ?

Bernard Defrance B.Théret: La monnaie dévoilée par ses crises 1Au premier abord, le lecteur risque d’être désarçonné par un tel ouvrage, du fait bien sûr de son volume mais plus encore de l’originalité de sa démarche qui entend combiner les analyses des meilleurs spécialistes avec un effort théorique que l’on pourrait qualifier, sans exagération, de prométhéen. Le propos du présent compte rendu est précisément de lever ces obstacles et de souligner tout l’intérêt que les chercheurs en sciences sociales, et tout particulièrement les institutionnalistes, ont à s’emparer des concepts et des résultats de ce monumental ouvrage… pour mieux les prolonger et les étendre dans leur propre domaine d’investigation. Le présent texte ne prétend donc pas à une recension exhaustive des divers chapitres dont se compose l’ouvrage, tâche difficile dans les limites d’un compte rendu de lecture de taille acceptable. 4On ne saurait sous-estimer la nouveauté méthodologique et épistémologique de l’approche développée par Bruno Théret dans son introduction.

Performativité - épistémologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La performativité est le fait pour un signe linguistique (énoncé, phrase, verbe, etc.) de constituer lui-même ce qu'il dénote, c'est-à-dire que produire (prononcer, écrire) ce signe réalise l'action qu'il décrit. Par exemple, le simple fait de dire « je promets » constitue une promesse. Historique et description[modifier | modifier le code] La notion de performativité a été développée par le philosophe John Langshaw Austin dans son ouvrage Quand dire c'est faire (1962), dont le titre original est How to do Things with Words (littéralement Comment faire des choses avec des mots). Elle caractérise certaines expressions qui font littéralement ce qu'elles énoncent.

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