Situations-problèmes : regards croisés d'Astolfi et Meirieu Qu’est-ce qu’une situation problème ? La situation-problème est une situation d’apprentissage C’est un moyen d’apprentissage et non le résultat. C’est une stratégie d’enseignement qui favorise l’engagement des élèves. Elle permet la construction des savoirs. La situation-problème, c’est une tâche : globale, complexe, signifiante. La situation-problème est une tâche globale : elle est complète, c’est-à-dire qu’elle a un contexte (des données initiales) et qu’elle contient un but ; elle requiert plus d’une action, plus d’une procédure ou plus d’une opération à faire ; elle pourrait être décomposée en plusieurs parties ou éléments. La situation-problème est une tâche complexe : elle fait appel à plusieurs connaissances et à plus d’un type de connaissances (déclaratives, procédurales et conditionnelles) ; elle amène un conflit cognitif, la solution n’est pas évidente ; elle présente un défi à la portée de l’élève (réaliste et réalisable) ; La situation-problème est une tâche signifiante :
Apprentissage par enquête et Pédagogie inversée | «C’est le rôle de la prospective que de ne pas minimiser les tensions et les dangers futursau nom d’un optimisme de convention. Mais l’anticipation se veut aussi une incitation à l’action. En cela, elle ne saurait non plus céder au pessimisme.»Vers les sociétés du savoir, Rapport mondial de l’UNESCO, 2005 Dernièrement, une personne dans mon entourage professionnel m’a fait grandement réfléchir à propos de la grande importance que l’on accorde en éducation au spécialiste, à l’expert à qui on accorde le monopole du savoir. On aura pu constater, il y a quelques mois, dans le cadre du débrayage des étudiants, à quel point cette notion est aussi amplement ancrée dans le paysage médiatique. En effet, combien de fois a-t-on lu ou entendu des journalistes et des animateurs dire : «donner des cours», «assister à des cours», «manquer des cours». Qu’on ne se méprenne pas! C’est ici que la notion de partage d’expertise et de réelle interactivité prend toute son importance. Source Wikipedia
Connectivisme (théorie de l'apprentissage) Une page de Wikiversité. Notez qu'il existe aussi (#CCK09), les messages blog, et un . php ? id = 522 forum de discussion à ce sujet. Mashups du bétail comprennent: [1]. La théorie du connectivisme est similaire au néo-constructivisme (théorie élaborée par Lev Vygotski) qui exploite pleinement les ressources des nouvelles sciences & technologies de l'information et de la communication. Le Connectivisme est l'intégration des principes explorés par les théories du chaos, théories des réseaux (et la théorie de l'information), de la complexité (et la Systémique) et les théories de l'Auto-organisation. Souligné par Mergel sur Ertmer et Newby's : "cinq questions définitives pour distinguer les théories de l'apprentissage" (en distinguant la section apprentissage, ¶ 1 ) fournit un cadre pour organiser les différentes théories : Comment l'apprentissage se produit il ? Créez des blogs pour la classe ... Quelle est la différence entre Connectivisme et d'apprentissage en réseau? ((ancrage | blogues))
Vers la pédagogie inversée L’autre jour, au cours d’un dîner, une amie m’a demandé ce que je pensais de la pédagogie inversée. J’ai tout de suite fait le rapprochement avec l’approche actionnelle telle que je la préconise dans mes ateliers. Pourtant, j’avais l’impression qu’il y avait beaucoup d’autres choses derrière ce concept. Samuel Bernard explique la classe inversée Comme tout cela est encore relativement nouveau et comme les enseignants que je rencontre se posent souvent des questions sur la possibilité de vraiment mener à bien les projets, qu’ils trouvent souvent chronophages parce qu’ils doivent aussi faire les leçons de grammaire (pour ne prendre qu’un exemple), je propose dans ce billet quelques pistes de réflexions sur le sujet en espérant qu’elles contribueront à son développement dans la classe de français langue étrangère, langue seconde et langue de scolarisation. Salman Khan à 60 minutes de CBS News (sept. 2012) carte heuristique sur la pédagogie inversée dAdeline Collin Témoignages de profs J'aime :
les théories de motivation L¶origineL¶originedesdes théoriesthéoriesde la Motivationde la Motivation Les théories des besoinsLes théories des besoins nous avons des nous avons desbesoins et pour les satisfaire, nous déclenchonsbesoins et pour les satisfaire, nous déclenchonsdes comportements motivés.des comportements motivés. Les théories du renforcementLes théories du renforcement nos noscomportements sont contrôlés par leurscomportements sont contrôlés par leursconséquences, et non pas par des phénomènesconséquences, et non pas par des phénomènesinternes, tels que les besoins, attitudes, lesinternes, tels que les besoins, attitudes, lesvaleurs, l¶instinct, etc..valeurs, l¶instinct, etc.. haque théorie s¶appuie sur une perspective et un haque théorie s¶appuie sur une perspective et unensemble de postulats qui lui sont propre.ensemble de postulats qui lui sont propre.
Les objectifs pédagogiques : guide pratique (3/3) Les objectifs pédagogiques : guide pratique (3/3) Un objectif pédagogique doit être exprimé avec précision et clarté, mais ce n’est pas suffisant : Pour être complet, un objectif pédagogique devrait comporter (« devrait », car dans la pratique, les objectifs pédagogiques comportent rarement tous ces éléments) : Un comportement observable (c’est-à-dire vérifiable de manière formelle) : le comportement est indiqué par le verbe dont l’apprenant est le sujet, par exemple :« être capable de remplacer un disque dur SATA défectueux par un disque en bon état ayant les même caractéristiques techniques »Des conditions d’exécution, précisant comment est effectuée l’action, par exemple :« en utilisant la documentation constructeur n° XY-385″Des critères de performances, qui précisent les limites d’acceptation de l’action effectuée, par exemple :« en moins de 30 minutes, et avec un taux d’erreur de moins de 5% » Quelques exemples d’objectifs pédagogiques précis et complets :
Méthodes en pédagogie active Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Présentation générale[modifier | modifier le code] Définition générale [réf. nécessaire] C'est un ensemble de méthodes qui relèvent de ce qu’on[Qui ?] appelle « l'apprentissage expérientiel » ou constat de performance qui signifie « apprendre en faisant ». La tâche du formateur consiste à impliquer les participants dans des situations tirées de la réalité - calquées sur elle le plus possible - pour qu'ils puissent appliquer leurs compétences et les faire évoluer au cours de la formation. Les moyens utilisés sont nombreux et doivent toujours être adaptés au processus de formation. Ces moyens doivent être adaptés aux différents types de publics : classes maternelles et enfants, adolescents, formations pour adultes. Bien que la Pédagogie active repose sur des méthodes et une approche relationnelle de la transmission de connaissances, elle est de plus en plus liée aux évolutions techniques. Observations et règles de base — (Brent Ruben - 1999)
N°39 - Enseigner autrement l'histoire et la géographie au LP Ce nouveau numéro d’interlignes intitulé « Enseigner autrement l’histoire et la géographie » n’a aucune prétention et surtout pas de « révolutionner » cet enseignement en lycée professionnel, même si les méthodes, les approches pratiquées aujourd’hui, et datant des années 70, 80, ont besoin de se renouveler. Nous souhaitons simplement vous faire partager des réflexions, des expériences intéressantes qui reprennent les idées fortes d’une pédagogie active et innovante. A lire et à relire !!! Pour feuilleter en ligne ce dernier numéro, un clic sur la couverture ! Vous pouvez aussi télécharger l’intégralité du document : Interlignes n°39 « Enseigner autrement l’histoire-géographie au LP » Présentation (page 2)Suzanne Boudon Les nouveaux programmes d’histoire - géographie et éducation à la citoyenneté , classe de baccalauréat professionnel 3 ans (page 3)Collectif Rupture ou continuité avec les nouveaux programmes d’Histoire-Géographie en classe de baccalauréat professionnel 3 ans ?
pédagogie inversée La pédagogie inversée est une stratégie d’enseignement où la partie magistrale du cours est donnée à faire en devoir, à la maison, alors que les traditionnels devoirs, donc les travaux, problèmes et autres activités, sont réalisés en classe. L’auteure Shelley Wright voit dans cette approche une révolution de notre application de la traditionnelle taxonomie de Bloom. Selon l’enseignante, cette taxonomie qui présente les fonctions cognitives dans une progression des plus simples aux plus complexes amènent les enseignants à baser leur enseignement sur les fonctions simples comme la mémorisation avec pour objectif trop souvent jamais atteint de construire jusqu’aux fonctions complexes. L’approche de Wright retourne l’approche classe en plaçant au premier niveau de la pyramide les fonctions cognitives complexes, comme l’évaluation et la création. Des TIC sont utilisées pour générer un environnement et des ressources d’apprentissage efficaces pour l’étudiant.