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9 manières de réduire la charge cognitive de vos participants durant vos formations et présentations

9 manières de réduire la charge cognitive de vos participants durant vos formations et présentations
Comme je vous le disais dans l’article de lundi, la surcharge cognitive est un phénomène crucial qui peut menacer la digestion mentale de vos participants. Lorsque leur mémoire de travail est trop sollicitée – notamment en raison d’un contenu trop important ou trop complexe – le cerveau de vos participants peut rapidement devenir saturé en informations. Outre un tube d’aspirine, je vous invite à découvrir ci-dessous 9 manières de réduire la charge cognitive au moment de délivrer votre contenu, que ce soit dans le cadre de formations, conférences et présentations : Découvrez 9 manières de réduire la charge cognitive de vos participants lors de vos prochaines formations et présentations en public. 1. Équilibrez les canaux verbaux et visuels 2. Respectez la règle suivante : 1 idée / concept = 1 diapositive. 3. Si vous en avez la possibilité, prévoyez de rendre votre contenu disponible avant le jour de votre intervention (en tout ou en partie). 4. 5. 6. 7. 8. 9. Source :

http://www.formavox.com/comment-reduire-charge-cognitive-formation-presentation

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Pourquoi vous devriez utiliser des jeux en formation et comment les intégrer de manière simple et efficace «Tous les jeux, y compris ceux qui paraissent les plus simples, recèlent d’antiques sagesses.»– Bernard Werber, «La Révolution des Fourmis» Si vous travaillez dans le secteur RH ou de la formation en entreprise, il y a 9 chances sur 10 que vous ayez déjà entendu la réflexion suivante : «Jouer en formation ça ne sert à rien, nos collaborateurs sont là pour apprendre, pas pour s’amuser !» Et vous, que diriez-vous si je vous disais que les meilleures formations sont celles qui font appel aux jeux ? Il s’agit d’une erreur communément partagée de penser que les jeux ne servent à rien en formation. J’observe au moins 3 bonnes raisons d’intégrer une approche ludique dans ses dispositifs pédagogiques : Engagement et motivation, universalité culturelle, apprentissage social : découvrez 3 bonnes raisons d'utiliser les jeux comme outils pédagogiques.

Le sentiment de confiance accompagne l’apprentissage 30 juillet 2015 © Fotolia L’apprentissage est souvent accompagné du sentiment de "savoir" : il révèle la confiance que l’individu a en sa nouvelle connaissance. Des chercheurs* ont analysé et quantifié ce sentiment de confiance au cours de tâches d’apprentissage. [INFOGRAPHIE] L’attention en chiffres Aussi fragile que précieuse, notre capacité d’attention est à la base non seulement de nos apprentissages, mais aussi de l’accomplissement de toutes nos tâches quotidiennes. En cette époque où elle est sursollicitée, l’un des premiers moyens à prendre pour la préserver et l’améliorer est de mieux la connaître. Voici quelques chiffres à cet effet!

Les parents et les intelligences multiples L'auteur Sébastien Bohler est rédacteur en chef adjoint du magazine Cerveau&Psycho Du même auteur Psychologie cognitive pour l'enseignant/Le mythe des styles d'apprentissage — Wikilivres Certains proclament que les élèves ont des points forts et des points faibles, des méthodes d'apprentissage différentes ou des particularités autres auxquelles l'enseignement doit s'adapter. Cette hypothèse les pousse à adapter l'enseignement aux différentes manières d'apprendre, histoire de donner un enseignement plus personnalisé, individualisé. L'enseignement est alors plus varié, plus diversifié, chaque élève ayant accès à un grand nombre d'approches différentes. Cette spécialisation de l'enseignement aux différentes manières d'apprendre est ce qu'on appelle la différentiation pédagogique. Reste que les théories qui se cachent derrière les différentes tentatives de différentiation sont souvent assez bancales, scientifiquement parlant.

[ANALYSE DE FOND] L’attention décryptée Déjà sautillante et furtive de nature, notre capacité d’attention se trouve bien malmenée en ces temps de sursollicitation. L’attention est pourtant essentielle à notre efficacité cognitive, qu’il s’agisse de faire de nouveaux apprentissages ou simplement d’accomplir plusieurs de nos tâches quotidiennes. Pour la préserver et la cultiver, une première étape consiste à prendre connaissance de ses étonnants mécanismes pour pouvoir identifier les facteurs sur lesquels peut agir et ceux pour lesquels il vaut mieux lâcher prise. Gros plan sur l’attention!

Comment retenir ? Comment mémoriser son cours en vue des examens ? Comment retenir des listes de chiffres ou de noms ? Au-delà des techniques mnémotechniques – que j’aborderai dans d’autres billets – il y a quelques principes à pratiquer d’urgence pour favoriser une bonne mémoire. Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique.

Comment travailler efficacement ? En contrôlant cette mauvaise habitude Dans votre cheminement pour travailler plus efficacement apparait sans relâche un fléau capable de saboter votre productivité, et dont la maitrise pourrait vous ouvrir la porte du paradis de l'efficacité au travail. Le besoin de se distraire est au cœur du problème. Les distractions sont responsables de l’un des pires facteurs qui détruisent votre efficacité : le va-et-vient incessant entre plusieurs tâches. Passer d'une tâche à l'autre: de quoi s'agit-il exactement ? Dans sa forme la plus simple, il s'agit de passer d'une tâche à l'autre, sans que celles-ci n'aient de lien entre elles.

Les enfants surdoués sont mal adaptés, trop intelligents pour une vie simple et épanouie. Beaucoup échouent à l’école, sombrent dans la dépression, ou développent une image d’eux-mêmes dévalorisante. Sensibles et pleins d’humour, passionnés et logiques, ils utilisent leur cerveau démesuré pour résoudre des problèmes insolubles au commun des mortels. Tout cela, parents et enseignants, ou simplement utilisateurs d’Internet et lecteurs des sites d’informations psychologiques, nous le « savons » bien, ce sont même des lieux communs… mais est-ce pour autant la vérité ? Pour y répondre, Nicolas Gauvrit a passé en revue une série d’idées reçues sur les enfants précoces qui se révèlent parfois justes et parfois totalement fausses. Nous faisons aujourd'hui le point sur les études scientifiques menées sur les surdoués.

Les six attitudes de Porter - WikiMediation De WikiMediation. Elias Porter (1914 - 1987) est dans la mouvance de Carl Roger. Il prône la non-directivité dans les interventions d'accompagnement. La vérité sur le multitasking: Est-ce bon ou mauvais pour la productivité? (1/2)— Matthieu Desroches On pense souvent que le fait de faire plusieurs choses en même temps nous rend plus productifs et efficaces. C’est pourquoi, quand on pratique le multitasking, on se dit souvent à nous-mêmes : « J’ai maximisé mon temps en faisant deux activités dans l’espace d’une seule». Cependant, même si le multitâche semble productif au premier regard, plusieurs études montrent que cela crée plutôt l’effet inverse et que cela ruine en réalité notre productivité. C’est pourquoi on parle souvent du « mensonge ou du mythe » du multitâche, puisque ceux qui prétendent être de bons « multitasker » ne font que se bercer d’illusions en se faisant croire qu’ils sont réellement productifs alors que ce n’est pas le cas.

Groupe de formation à l'analyse des pratiques professionnelles : GFAPP L'actualité de la formation à l'A.P.P. Les textes officiels de l'Éducation nationale Ainsi en 1994, dans le premier degré, le "Référentiel des compétences professionnelles du Professeur des Écoles stagiaire en fin de formation initiale"(6) stipule, entre autres que "C'est un enjeu fondamental de la formation initiale que de s'attacher à développer chez tous les futurs enseignants les capacités à analyser et à évaluer sa pratique professionnelle. Ceci implique que l'acquisition des compétences professionnelles se fasse selon des modalités qui permettent au stagiaire de prendre le recul nécessaire à l'analyse de son activité. (…) Il doit avoir été mis en situation d'analyser sa pratique individuellement et collectivement." La formation de formateurs à l'A.P.P. en questions

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