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Histoire des MOOC

Histoire des MOOC
Matthieu Cisel (STEF, Cachan), Éric Bruillard (STEF, Cachan) 1. Introduction Le succès des MOOC, ou Massive Online Open Courses, est probablement l’évènement le plus marquant de l’année 2012 dans le monde de l'enseignement supérieur en ligne, le New York Times allant jusqu'à qualifier l'année 2012 "The Year of the MOOC"1. De nombreuses universités, menées par les prestigieux établissements de la Ivy League comme Stanford, Harvard et le MIT organisent gratuitement en ligne depuis le début de l’année 2012 des cours sur des thèmes aussi variés que la cryptographie, la biologie ou la philosophie. La question de la définition du terme MOOC est un sujet épineux : le terme est souvent employé pour désigner les plates-formes, c'est à dire les sites qui accueillent les cours2, mais il est surtout employé pour désigner les cours eux-mêmes. 2. 2.1. 2.1.1. 2.2. Plusieurs tentatives infructueuses présentant des similitudes avec le mouvement actuel ont été lancées dans le courant des années 2000. 3.

OCEAN Research publications on Massive Open Online Courses and Personal Learning Environments People interested in Massive Open Online Courses will probably be aware of the research by Helene Fournier and me on Personal Learning Environments and MOOCs. We carried out research in the MOOC PLENK2010 (The MOOC Personal Learning Environments Networks and Knowledge that was held in the fall of 2010). The data collected on this distributed course with 1641 participants has been massive as well. Its analysis has kept us and some fellow researchers busy over the past year. The research has resulted in a number of publications and I thought it might be useful to post links to all of our journal articles, conference papers and presentations that were published in relation to PLEs and MOOCs in one space. Fournier, H., Kop, R., and Durand, G. (2014), Challenges to research in Massive Open Online Courses, Merlot Journal of Online Learning and Teaching, Vol. 10, No.1, March 2014 Kop, R. (2012) The Unexpected Connection: Serendipity and Human Mediation in Networked Learning.

MOOC : le ministère donne les clés de FUN Lancée en grande pompe à l’automne 2013 par Geneviève Fioraso, la plate-forme de MOOC FUN (France université numérique) sera à l’avenir gérée directement par des établissements. Tel est l’objet de l’appel à manifestation d’intérêt (AMI) envoyé aux écoles et universités mi-juillet 2014. D’après le texte, l’objectif est de "stabiliser et inscrire dans la durée FUN-MOOC, au service de l’ensemble de la communauté de l’enseignement supérieur et de la recherche, en confiant son pilotage, son portage et l’animation de la communauté de ses producteurs et de ses usagers à un groupement d’établissements" (plusieurs Comue - Communauté d'universités et établissements - par exemple). "Le but n’est pas du tout de se désengager", assure la rue Descartes, soulignant qu’il "était prévu dès le départ que les acteurs gèrent eux-mêmes la plate-forme, ce qui est la meilleure manière de se l’approprier". Prudence des établissements Il n'y a pas pour nous d'enjeu de périmètre à être ou non dans le consortium.

Les MOOC : une innovation à analyser 1Le phénomène des MOOC tel qu’il a émergé au cours de ces cinq dernières années mérite toute l’attention de la communauté universitaire : des décideurs, des enseignants, des étudiants et des chercheurs. Dans cette contribution, je tenterai de présenter les questions et enjeux qui m’apparaissent essentiels. Cependant, avant toute chose, je voudrais m’associer aux avertissements de J. Daniel (2012) : il s’agit d’un phénomène récent, l’acronyme MOOC renvoie à des pratiques pédagogiques très différentes (du xMOOC transmissif au cMOOC connectiviste) ; il existe encore très peu de recherches sérieuses sur le sujet et les sources disponibles renvoient souvent à des blogs et à des articles de presse. 2Si l’on se réfère aux auteurs (Cisel & Bruillard, 2012 ; Grover et al., 2012), l’émergence des Massive Online Open Courses a atteint son apogée en 2012 et son déploiement sous des formes diverses est loin d’être terminé (Daniel, 2012). À quels besoins répond-on ? Quelle est son acceptabilité ?

Les MOOC en Europe English version Yves Epelboin, professeur à l’UPMC-Sorbonne Universités Chargé de mission auprès du Président pour les MOOC Yves.epelboin@upmc.fr Evolution des MOOC Depuis le début de l’année civile le bruit autour des MOOCs n’a cessé de s ‘enfler, les annonces d’université ouvrant des cours se multiplient, les grands acteurs du marché ne cessent de mettre en avant les accords qu’ils ont passé avec des universités, surtout aux Etats Unis, pour faire reconnaître leurs certifications. Il n’empêche : le phénomène MOOC est présent. La vision des MOOC évolue rapidement, les publications sont nombreuses. Des MOOCs partout en Europe Partout en Europe des MOOCs ont été mis en place, le plus souvent dans la plus grande anarchie. Aux Pays-Bas, par exemple, l’existence d’une organisation structurée comme SURF [5] qui couvre sensiblement tous les domaines du numérique n’a pas empêché l’université d’Amsterdam de lancer son propre MOOC avec la plateforme d’enseignement Sakai. Les principaux acteurs sont :

Les droits du participant à un MOOC | ActionsFLE – Posted on 19 September 2012Posted in: #ITyPA A la manière de Daniel Pennac, Comme un roman le droit de ne pas participerle droit de sauter des semainesle droit de ne pas finir le coursle droit de creuser un thème, même si la semaine est finiele droit d’utiliser n’importe quel outil pour participer au MOOCle droit de vous regrouper autour de domaines d’intérêts communsle droit de participer au MOOC de n’importe où“le droit de grapiller”le droit de publier abondamment sur son blog, Twitter, Facebook, diigo,…le droit de participer silencieusement Like this: Like Loading... Qu’est-ce qu’un « bon » MOOC ? Recevez nos newsletters : Forts de quelques beaux succès, les cours en ligne ouverts à tous (MOOC) se multiplient sur toutes les plateformes. Tous n’étant pas de même qualité, le Figaro Etudiant vous livre les quelques « plus » qui font les meilleures formations. A l’image de la plateforme française France université numérique (FUN) qui vient de dépasser la barre des 400.000 inscrits, les cours en ligne ouverts à tous (MOOC) n’ont jamais eu autant de succès qu’en cette rentrée. Le choix du sujet: «essentiel!» Parce qu’il est ouvert à tous, parce qu’il ne demande pas aux inscrits de se déplacer, parce qu’il est gratuit, le MOOC ne s’ouvre logiquement pas au même public. L’enseignant: «un rôle d’acteur» En quelques minutes, face aux caméras, le professeur doit faire preuve de nombreuses qualités. L’outil vidéo: «une nécessité d’esthétisme» Au-delà de la performance de l’enseignant, des qualités de maniement de l’outil vidéo sont essentielles. Les exercices pratiques: «une vraie attente»

Guide du MOOC/Histoire Un livre de Wikilivres. Si vous voulez vous documenter sur le sujet des MOOC ou du Connectivisme, vous pouvez consulter la page de références de ce guide. Après ce premier cours CCK plusieurs autres cours suivis: CCK09, PLENK2010, CCK11, LAK11 ... mais comme pour toutes les grandes choses, ces cours ne sont pas apparues du jour au lendemain. 2 films proposés par Dave Cormier (en anglais) décrivent ce que sont les MOOC et comment ils fonctionnent. OpenupEd MOOCs : moins de communication et + de pédago, SVP L'insolent succès des Moocs (Massive open online course) doit sembler bien amer à tous ceux qui s'évertuent depuis des dizaines d'années à produire des cours à distance de grande qualité. D'un seul coup d'un seul, les plus prestigieuses des universités nord-américaine ouvrent l'accès à des milliers de cours en ligne, gratuitement, sur des plateformes dédiées, et annoncent triomphalement qu'elles visent le milliard d'apprenants. Ces universités ne se préoccupent pas de la rétention des participants; peu leur importe que 5 à 10 % d'entre eux seulement parviennent à la fin du cours. Elles ne se préoccupent pas non plus de reconnaître l'effort d'apprentissage réalisé au travers du cours, puisqu'elles ne délivrent pas de crédits universitaires en échange d'un succès à l'examen final, mais seulement un certificat que les plus chanceux ou les plus fortunés pourront échanger contre de vrais crédits dans les universités qui acceptent les certificats délivrés par EdX ou Coursera.

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