Les nouvelles formes d'emploi COASE entreprise marché La révolution numérique est en train de faire émerger une nouvelle organisation du travail dite "collaborative". Un phénomène mondial qui se développe dans toutes les villes. Près d'une centaine d'espaces de coworking ont été créés à Paris. Les locaux sont modestes mais l’accueil y est chaleureux. Noémie De Grenier est co-directrice générale de Coopaname : Plutôt que de monter chacun notre petit statut d’auto entrepreneur, on se rassemble au sein de la même structure. Coopaname © Jérémie Wach-Castel Car c’est bien la Coopaname qui salarie ces travailleurs. « La grande utopie que porte CooPaname c’est de se dire : on a envie de réinviter le rapport au travail. On voit bien que le taux de chômage n’a pas tendance à baisser. Jérémie Wach-Castel © Guillaume Leroux La solution pour ces travailleurs : privilégier la coopération plutôt que la concurrence. « Il y a un très bon accompagnent. Grâce au statut de CDI, les coopérateurs peuvent bénéficier de l’aide sociale en cas d’échec.
Les fonctions de l'entreprise L’entreprise est un peu comme un organisme vivant, dont la "survie" nécessite une bonne coordination des organes qui le composent. En effet, l'entreprise ne peut fonctionner que si les tâches à accomplir sont réparties de façon précise et si le rôle de chacun dans l’entreprise est clairement déterminé. Plus l’entreprise est importante, plus son organisation, pour être efficace, doit être structurée. Les nombreuses tâches réalisées par l’entreprise peuvent faire l’objet d’un regroupement selon leur objectif. Cela permet notamment d’identifier les grandes fonctions de l’entreprise. Traditionnellement, on recense 8 grandes fonctions dans l’entreprise dont la fonction Production, la fonction Marketing et Vente ou la fonction Recherche et Développement. Il faut donc explorer l’anatomie de l’entreprise et regarder d’un peu plus près ses fonctions, afin de comprendre leur signification, leur articulation et leur importance. Publié en 2012
Alain Deneault : « Une multinationale comme Total n’est pas ‘une société’ au sens traditionnel : c’est un pouvoir Votre livre De quoi Total est-elle la somme ? est à la fois un portrait de Total et une analyse du pouvoir des multinationales aujourd’hui. D’où vient ce projet ? C’est un livre qui me semblait manquer. Je ne comprenais pas qu’il n’existe pas. Il y avait beaucoup d’informations disponibles sur Total, grâce au travail d’ONG, de journalistes ou encore de documentaristes. Au final, la problématique qui m’a servi de fil conducteur pour organiser la masse d’informations à laquelle j’étais confronté a été de prendre au sérieux l’assertion répétée des dirigeants de Total selon laquelle tout ce que fait l’entreprise est entièrement légal. Pourquoi Total en particulier ? Le choix de Total était commode à plusieurs titres. En quel sens s’intéresser à Total permet-il de faire le portrait de « la multinationale » aujourd’hui ? Total vaut comme un cas d’école. C’est donc trop simplement qu’on présente Total comme « une société pétrolière française » ; chacun de ces quatre termes pose problème.
La valeur partagée Michael Porter, professeur de management à Harvard, voudrait que les entreprises prennent en main le management de leur responsabilité sociale, avec un nouveau concept : la shared value (valeur partagée). La RSE, une contrainte pour les entreprises Pour les libéraux purs et durs, la responsabilité sociale de l'entreprise (RSE) reste une obligation imposée par l'extérieur : la société civile, les médias, les dirigeants politiques. Michael Porter, professeur de management à Harvard et l'un des consultants les plus influents des Etats-Unis, si ce n'est du monde, avait montré il y a quelques années comment une grande firme pouvait intégrer cette RSE à sa stratégie[1]. Il va nettement plus loin, aujourd'hui, en lançant le concept de « shared value », de « valeur partagée ». Porter constate que le capitalisme est en crise, et que les entreprises sont perçues par beaucoup comme des entités égoïstes prospérant aux dépens de leur environnement naturel et humain. En savoir plus Marc Mousli Notes
Christian Chavagneux, Alternatives Economiques - Macron veut refonder l’entreprise ? Chiche ! Ceux qui ont aimé ont aussi apprécié Les dernières émissions de Christian Chavagneux Les dernières émissions Toutes les dernières émissions Xerfi Canal Économie Xerfi Canal autres chaînes Accéder à Stratégie & Management Accéder à Xerfi Business Abonnez-vous à la newsletter Xerfi Canal Les nouvelles émissions Xerfi Canal Toutes les dernières émissions Xerfi Canal Les incontournables
Emmanuel Faber, PDG de Danone : « Nous mettons fin au mode de décision pyramidal » « Le projet “Une personne, une voix, une action” va donner le pouvoir à nos équipes d’aller chercher l’avenir », estime le PDG du groupe agroalimentaire. A l’occasion de l’assemblée générale (AG) des actionnaires de Danone, réunie jeudi 26 avril, le PDG, Emmanuel Faber, a présenté son projet « Une personne, une voix, une action », destiné à faire participer les 100 000 salariés du groupe agroalimentaire aux choix stratégiques à l’horizon 2030. Quelles sont les raisons qui vous poussent à faire évoluer votre gouvernance ? Il faut repartir de la vision que nous avons du métier de l’alimentaire. Face à cette révolution, on peut résister ou prendre la vague. Lire aussi : Danone veut décliner ses marques en bio Quelles seront les modalités ? Nous avons fixé neuf objectifs interdépendants les uns des autres. « L’objectif final d’une entreprise est social et sociétal » Dans les douze mois qui viennent, les salariés exprimeront leur point de vue. Ils ne vont pas être surpris.
Les apports de Henri Mintzberg L'approche systémique pour mieux comprendre les organisations Les apports de Henri Mintzberg L'approche systémique pour mieux comprendre les organisations Dominique Grootaers, Le GRAIN asbl, 14 décembre 2005 Henry Mintzberg est une figure de référence internationale dans le domaine de la sociologie des organisations. Les modèles qu’il a élaborés permettent de mieux comprendre le fonctionnement d’une organisation. Le canadien Henri Mintzberg est apparu depuis les années 70 et 80 comme le théoricien de référence dans le domaine de l’analyse des organisations. Au fur et à mesure des essais de Henri Mintzberg s’est profilée une théorie qui est depuis lors abondamment utilisée, commentée et soumise à la critique et qui s’avère d’un intérêt fondamental pour analyser une organisation avant d’envisager la manière d’y opérer un changement. L’apport majeur de Mintzberg est d’avoir élaboré une typologie permettant de catégoriser les diverses composantes internes d’une organisation. 1. 1.1. 1.1.1. La dimension verticale 1.1.2. 1.2. 1.3. 2. 2.1. 2.2. 2.3. 2.4.
Bertrand Valiorgue, Ecole Universitaire de Management Clermont-Ferrand - Xavier Hollandts, KEDGE BS - La gouvernance d'entreprise et le partage de la valeur - Stratégie & Management Ceux qui ont aimé ont aussi apprécié Les dernières émissions de Bertrand Valiorgue et Xavier Hollandts Les dernières émissions Toutes les dernières émissions Stratégie & Management Xerfi Canal autres chaînes Accéder à Xerfi Canal Économie Accéder à Xerfi Business Abonnez-vous à la newsletter Xerfi Canal Les nouvelles émissions Xerfi Canal Toutes les dernières émissions Xerfi Canal Les incontournables
Connaître AIR LIQUIDE mission et stratégie Air Liquide > Le Groupe > Nous connaître Air Liquide est leader mondial des gaz, technologies et services pour l’industrie et la santé. Notre ambition Être le leader dans notre industrie, en étant performant sur le long terme et en agissant de façon responsable. Notre mission Les idées d’Air Liquide créent de la valeur sur le long terme. Notre positionnement Air Liquide, leader mondial des gaz, technologies et services pour l’industrie et la santé. Notre stratégie Notre stratégie consiste à réaliser une croissance rentable sur le long terme. Notre signature Air Liquide – Creative Oxygen* *De l’oxygène naît l’inspiration Révolutionner le management avec François Dupuy - 2020 Dans le monde de l’entreprise, chacun sait ce qu’il faudrait faire, mais personne ne sait comment s’y prendre. Pour sortir de l’immobilisme, François Dupuy jette les bases d’une théorie de l’action managériale. Après avoir montré ce qui n’allait pas (Lost in management, tome 1, prix du meilleur ouvrage sur le monde du travail en 2012), puis identifié les causes des errements (La Faillite de la pensée managériale, tome 2), l’auteur s’attelle aux solutions concrètes dans ce troisième volume de la série. Cet essai énergique, illustré d’exemples et d’études de cas approfondis, est aussi un parcours au cœur de la diversité et de la complexité des organisations, au service de leur performance. Sociologue des organisations, François Dupuy a enseigné à l’INSEAD et dans plusieurs business schools à travers le monde.