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Related: International, Mondialisation • Escenarios Regionales • More Economic Theory and BitsMondialisation, la grande rupture Achetez ce livre avec Alapage.com L'ouvrage Si, intuitivement, beaucoup pressentent que la mondialisation observée depuis les années 80 constitue un véritable bouleversement, les paramètres effectifs de ce bouleversement sont rarement posés sur la table avec autant de précision et de rigueur théorique que ce que propose Charles-Albert Michalet dans cet ouvrage, qui déduit de la stratégie des entreprises de nouvelles réalités pour les pouvoirs publics. Qu'est-ce que la mondialisation ? Depuis le début des années 1990, la « mondialisation » désigne une nouvelle phase dans l’intégration planétaire des phénomènes économiques, financiers, écologiques et culturels. Un examen attentif montre que ce phénomène n’est ni linéaire ni irréversible. « Avant, les évènements qui se déroulaient dans le monde n’étaient pas liés entre eux. Depuis, ils sont tous dépendants les uns des autres. » La constatation est banale, hormis le fait que celui qui la formule, Polybe, vivait au IIe siècle avant J.-C. !
Le taux du livret A baisse encore? D'autres solutions pour booster votre épargne. Avec le livret A, l'épargnant ne gagnait déjà pas beaucoup d'argent avant son passage d'un taux de 1,75% à 1,25%, désormais il en gagnera encore un peu moins. Le taux d'inflation étant à 0,8%, il ne perdra toutefois pas d'argent, ce qui n'était pas le cas dans le passé comme dans les années 1980 où le taux de rémunération du livret était inférieur au taux d'inflation. L'objectif du livret A n'est pas de faire fortune. Celui-ci a trois caractéristiques: la sécurité du capital, la liquidité, et son absence de taxation, pour une épargne dont le plafond est à 22950 euros. Ces trois avantages n'ont pas de prix aux yeux des Français, ou plutôt en ont justement un: celui d'avoir un faible rendement. Pour bénéficier de placements plus avantageux que le livret A, il faudrait accepter de ne pas gagner sur tous les tableaux: soit s'acquitter d'un impôt, soit perdre en liquidité, ou alors prendre un peu plus de risques.
Mondialisation: les nouvelles règles du jeu Il n'a pas hésité longtemps, Roberto Azevêdo. Et puis, c'est un petit plaisir qui ne coûte pas très cher. Quelques heures seulement après l'élection de Donald Trump à la Maison-Blanche, il s'est fendu d'un tweet pour féliciter le nouveau président, tout en se déclarant prêt à travailler avec l'Administration américaine. Ce quinquagénaire brésilien n'a rien d'un grand magnat du BTP avec qui le milliardaire américain aurait été en affaire.
La culture industrielle des roses au Kenya La culture des roses est intégrée dans le marché mondial très organisé des fleurs coupées, en grande partie contrôlé à partir d'Amsterdam. Les fleurs vendues pour 30 milliards d'euros en Europe et en Amérique du Nord sont produites dans des pays du sud aux caractéristiques semblables : des hauts plateaux, souvent volcaniques, un climat humide et chaud en permanence, une main-d'œuvre bon marché. Ces conditions sont réunies en Amérique du sud (Colombie, Equateur) et en Afrique tropicale (Kenya, Ouganda, Ethiopie).
Trop d'impôt tue l'impôt, l'exemple français Comme toutes les grandes organisations internationales, le Fonds monétaire international (FMI) a le souci de ménager ses adhérents. Dans ses rapports, les critiques les plus acerbes sont toujours distillées d’une façon très diplomatique. Ainsi, son dernier bulletin de santé annuel de l’économie française peut au choix alimenter des commentaires flatteurs ou critiques de l’action gouvernementale. On pourrait le résumer ainsi: ce que vous faites est très bien, mais insuffisant. Selon son orientation politique, on peut retenir le premier volet du discours ou le second.
Mondialisation : fin ou début de la fin animation L'Europe inégalement ouverte à la mondialisation Les États européens ne sont pas tous ouverts à la mondialisation dans les mêmes proportions, que ce soit en matière de marchandises ou de migrations humaines. Economie, Union européenne Le coût social exorbitant du textile bon marché Par Arvin Mofid Entendu sur une émission de nouvelles boursières au printemps 2013 : Monsieur A – « Ce n’est pas en réduisant le niveau de vie du travailleur français au niveau du Bangladesh que l’on reviendra compétitif ! »Monsieur B – « Et pourquoi pas ? »
Le jour où la dette de la France a atteint un point de non-retour Le Monde.fr | | Par Michel Ternisien, économiste et Michel Tudel, président d'honneur de la Compagnie nationale des commissaires aux comptes A l'heure de la campagne présidentielle, les responsabilités sur l'échec de la dette seront mises en avant. Les candidats évoqueront la responsabilité des 35 heures, de la retraite à 60 ans, d'autres évoqueront le sauvetage irraisonné des banques, les facilités fiscales accordées aux plus favorisés… Quand on traite de la dette deux questions reviennent constamment : quand et pourquoi la France a-t-elle perdu pied ? Existe-t-il dans cet échec un responsable ou plusieurs responsables à la fois ? Remontons le temps. La France du président Valéry Giscard d'Estaing et du premier ministre Raymond Barre était peu endettée.