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Hackschooling makes me happy

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Le biomimétisme : s'inspirer du vivant pour développer les technologies de demain - Innovation Time Le biomimétisme, ingénierie bio-inspirée, gagne de plus en plus de terrain et commence à conquérir différents domaines. Du médical aux applications mobile, de nombreuses institutions et entreprises innovent grâce aux êtres vivants. Le biomimétisme est une ingénierie s’inspirant des animaux, des insectes, mais aussi des plantes. Ces organismes, ayant survécu à 3.8 milliards d’années d’évolution, présentent des comportements et des caractéristiques applicables aux domaines industriels et scientifiques. Le biomimétisme s’en inspire et permet d’innover tout en étant durable. Des entreprises, des chercheurs et même des gouvernements voient le biomimétisme comme un moyen de passer d’une économie basée sur des ressources non-renouvelables vers une économie verte.

Éducation: la France dépense trop pour des résultats médiocres Masse salariale, agents administratifs, nombre d'écoles : selon une étude de l'Ifrap, la France consacre 30 milliards de plus que l'Allemagne et le Royaume-Uni à ce secteur. Dans une note inédite et coup de poing, la fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques (Ifrap), un think-tank classé à droite, frappe fort en décidant de s'intéresser aux raisons pour lesquelles la France dépense tous les ans «30 milliards de plus» que le Royaume-Uni et l'Allemagne pour ses écoles, ses collèges et ses lycées. Si la fondation a comparé ces trois pays, c'est parce qu'ils comptent environ le même nombre d'élèves scolarisés (10,5 millions) et parce qu'ils obtiennent à peu près les mêmes résultats dans Pisa, une enquête internationale menée tous les trois ans auprès des jeunes de 15 ans et destinée à évaluer leurs «compétences» scolaires dans diverses disciplines. Le deuxième facteur de surcoût est moins connu.

Carnet de (mauvaises) notes Il y a la foison de remarques acerbes : "Un peu fantaisiste", "Trop de dispersion", "Trop remuant", "Infantile", "Incorrigible bavard". De mises en garde martelées : "Attention !'', "Insuffisant", "Très insuffisant", "Ne fait pas le maximum", "Ne travaille pas suffisamment". Une litanie d'injonctions : "Doit se ressaisir", "Doit s'accrocher", "Doit faire un effort". Mises bout à bout, sans commentaire ni changement aucun, les quinze années d'"appréciations" - si l'on ose dire - portées sur les bulletins scolaires de Jean-Baptiste Alméras, 44 ans, plasticien, font, comme on dit, sacrément "sens". L'artiste, qui dirigea longtemps, près de la place de la République, l'une des célèbres librairies parisiennes l'Arbre à Lettres, les a réunies dans un petit livre sans prétention, à la belle mise en scène graphique, intitulé "Peut mieux faire.

Ecole numérique : les oracles de fond de tiroir Emmanuel Davidenkoff, journaliste et directeur de la rédaction de L’Étudiant mais surtout chantre de la révolution numérique à l’école, est un lanceur d’alerte. Tout comme quelques autres, il vient de comprendre, non sans appréhension, que ce qu’il appelait de ses vœux… est en train de se réaliser ! Le plan numérique pour l’école devient en effet très concret, avec un calendrier, des étapes (l’annonce présidentielle de la « généralisation du numérique au collège » (sic) dès 2016 et l’enseignement de l’informatique en primaire encore en 2016, l’équipement de 70% des élèves du primaire et du secondaire à l’horizon 2020), un budget initial déjà chiffré en centaines et centaines de millions d’euros (sans compter les investissements – colossaux – des collectivités locales en équipements et infrastructures) etc. Relisons, par curiosité, les prophéties quelques peu différentes que faisait le même Emmanuel Davidenkoff dans son essai numériste du début de l'année, Le Tsunami numérique. @loysbonod

Amis chercheurs, vous vous faites arnaquer trois fois (merci Elsevier) Le domaine de la recherche n’échappe pas à l’austérité : en dépit de nombreux effets d’annonce, les financements diminuent constamment depuis le début de la crise, le recours aux fonds privés se généralise, et comme ailleurs, les faillites se multiplient. Et pourtant, la France s’apprête à reconduire un accord avec le géant de l’édition scientifique, Elsevier. Coût de l’opération : près de 190 millions d’euros, versés sur cinq ans. Une somme qui n’était pas censée être révélée au grand jour. Le budget final passé sous silence

Déguster des mathématiques – Entretien avec Idriss Aberkane – LE GAI SAVOIR Les façons d’enseigner « industrielles » qu’adopte l’école traditionnelle ne sont pas neuro-ergonomiques, c’est-à-dire qu’elles ne permettent pas de se saisir d’une connaissance de manière efficace. De plus, elles ne captent plus l’attention des élèves en qui elles suscitent souvent ennui voire dégoût. C’est particulièrement le cas de l’enseignement des mathématiques. Idriss Aberkane, neuroscientifique, enseignant chercheur, spécialiste en neuro-ergonomie et représentant solaire de l’humanisme 2.0, celui qui constitue la seconde Renaissance qui, selon lui, caractérise notre époque, a un point de vue enthousiasmant sur la façon dont les savoirs pourraient être « servis » aux affamés d’apprentissages que sont les enfants et notamment sur la façon de servir des mathématiques, ce « chocolat noir » de la connaissance. Orateur brillant, vulgarisateur de talent, créateur de métaphores lumineuses, amoureux de la connaissance, il nous fallait absolument le rencontrer. Une base biologique

TED talk : comment les cours en ligne révolutionnent l'enseignement Vous souhaitez suivre un cours de physique par un éminent professeur de Harvard ? Pas de problème ! Un clic et c'est parti . Même pas besoin d'ouvrir son portefeuille. Unschooling doesn't look like school at all - Pam Laricchia Le unschooling ne ressemble pas du tout à l’école Traduit par Stéphanie Meloche Le unschooling ressemble à la vie Le unschooling c’est comme des vacances d’été qui ne finissent jamais, moins la chaleur (à moins que vous n’habitiez plus près de l’équateur que moi!), mais avec une grande différence : les enfants ne passent pas leur temps à décompresser, à évacuer le stress accumulé causé par les horaires stricts et par la pression de performance.

L'ère de la padagogie Les enseignants, trop rétrogrades, n’ont pas pris la mesure de la révolution numérique en cours. Heureusement les collectivités locales (mairies, conseils généraux, conseils régionaux), sans même avoir besoin de les consulter, ont pris les devants. En ces temps d'économies drastiques, rien n'est trop beau pour notre école ! Le département des Landes a été pionnier en la matière avec l’opération « Un collégien, un ordinateur portable » initiée en 2001, un parc informatique de 10 000 portables et une dépense de plus de quatre millions par an depuis douze ans pour sa politique TICE. Un rapport de l’Inspection générale a malheureusement été quelque peu mitigé sur l'expérience, et treize ans après les progrès scolaires se font toujours attendre dans le département.

Dans les universités, désabonnements en masse aux revues scientifiques Depuis le début de l’année, une épidémie de désabonnements aux revues scientifiques s’abat sur les chercheurs de France et d’ailleurs. Ce sont tout d’abord les désaccords grandissants entre éditeurs et groupements chargés des négociations qui cristallisent les échanges. Un exemple flagrant, et non des moindres, est celui du cas « UPMC vs Science ». Le 13 janvier, l’université Pierre et Marie Curie (UPMC) annonçait son désabonnement à la revue Science. Selon la page du site de l’UPMC, l’éditeur de la société savante Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS) voulait imposer une augmentation de +100% sur le prix des abonnements (réduit ensuite à 47%) :

Épisode #362: L’imposteur ? – SCEPTICISME SCIENTIFIQUE (Selon moi) Il y a ici une confusion entre conscience et connaissance, qui ne sont pas clairement définies. Parce que la définition de “savoir que savoir que 1=1” n’est autre chose qu’ “avoir conscience de savoir que 1=1”. La question est alors ici: est-ce qu’avoir conscience de quelque chose est déjà une connaissance? Qu’ai-je appris de plus entre le moment où j’apprend et le moment où je m’en rend compte, si ce n’est le fait de m’en rendre compte?

m-learning Les téléphones intelligents et les tablettes ont opéré une percée foudroyante sur le créneau de la mobilité, renvoyant les ordinateurs portables jouer dans la catégorie des équipements fixes ou, à la rigueur, ponctuellement mobiles. Les acteurs éducatifs doivent donc désormais composer avec des apprenants hyper-connectés via leurs téléphones. On parle donc aujourd'hui de m-learning, qui désigne une utilisation raisonnée et croissante des appareils mobiles comme supports d'information, d'entraînement, d'échanges et même de production. Mais ce n'est pas parce qu'on aime son smartphone ou sa tablette que l'on est prêt à l'utiliser comme support d'apprentissage. Certaines universités, parmi les plus liées au monde des TIC, l'ont expérimenté à leurs dépens.

Apprendre à lire sans prof ? Les enfants éthiopiens s’y emploient La vidéo sur Livestream Intervention de Nicholas Negroponte à la conférence EMTECH A partir de 1h00mn05s, en anglais

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