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Pdf/FRANCOIS et BOTTEMAN.pdf

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Savoirs tacites - Mémoire sur les savoirs tacites par Ariel Doulière Depuis maintenant quelques années s’est enclenché une véritable révolution qui place le savoir comme une ressource indispensable à la survie des entreprises. Ce passage des valeurs économiques d’un monde matériel à un monde immatériel entraîne une nouvelle façon de gérer les salariés. En effet, le salarié n’est plus envisagé dans la perspective taylorienne du travail répétitif et de l’application stricte de la gamme opératoire, mais comme étant quelqu’un qui détient un ensemble de ressources permettant de répondre à l’exigence de la demande de plus en plus diversifiée des consommateurs, ou a la complexité des pannes qui surgissent sur les machines de production. On assiste donc aujourd’hui à une sorte de revirement. La part subjective personnelle qui menaçait la logique de l’organisation scientifique du travail, et qu’il fallait donc faire taire au profit du bureau des méthodes, devient un élément clé du capitalisme.

L'individuel et le social dans la théorie sociocognitive de Bandura (Carré, 2003 La réciprocité causale « triadique » Traditionnellement, le comportement humain est expliqué à travers un système de causalité binaire, unidirectionnel. Les conduites sont généralement vues comme étant sous l’emprise de forces de la situation (par exemple avec le behaviorisme) ou pilotées par des dispositions internes inconscientes (comme en psychanalyse ou dans certaines conceptions sociologiques). Dans la TSC, le fonctionnement psychologique est analysé à travers une causalité réciproque triple, à travers un modèle dit « triadique ». Trois séries de facteurs entrent en interaction deux à deux.

Rôle de l'entretien d'explicitation dans la progression des étudiants infirmiers pour l'acquisition du raisonnement du calcul de dosage - [cadredesante.com] Pourquoi envisager l’utilisation d’une technique d’entretien ? Nous avons vu précédemment que le calcul de dosage, nécessite l’acquisition de compétences cognitives complexes. [1] L’étude a montré l’importance des ressources à acquérir en terme de connaissances déclaratives (unités de mesure de poids, volumes, capacités…), procédurales (conversion, règle de trois…) conditionnelles (variété des contextes…), ainsi que la capacité de l’élève à être capable d’expliquer son raisonnement et ses actions. (compétences métacognitives) [2] Guy Leboterf insiste sur l’intérêt de l’analyse de pratique pour favoriser le retour réflexif, et l’acquisition de ces compétences métacognitives. J’ai donc choisi d’utiliser une technique appelée l’entretien d’explicitation.

Formation "Développer votre assertivité" - Hu-Ma Form & Consult "Ni vainqueurs, ni vaincus" La formation en assertivité est de plus en plus plébiscitée par les entreprises. Outre la confiance en soi qu'elle permet de découvrir ou de redécouvrir, elle agit également sur la manière d’exprimer ses émotions, de donner son point de vue et de se faire respecter sans agresser les autres.

entretien d'explicitation . Quelle que soit l’entrée utilisée, qu’il s’agisse d’écrire sur nos pratiques, qu’il s’agisse d’utiliser un retour vidéo sur ce que nous faisons, ou de travailler avec un outil comme l’explicitation dont je vais parler tout à l’heure, je crois que l’un des processus importants est un processus de décentration, du fait que nous sommes très impliqués et engagés dans l’action, et qu’il est essentiel d’avoir des temps de prise de recul, de distanciation, pour prendre conscience de ce que nous faisons dans l’action. Ce processus de prise de conscience se rapproche beaucoup de ce qui était désigné comme une appropriation de ce que nous sommes, et ça me paraît tout à fait essentiel dans la mesure où, et je reprends là ce que Pierre Vermersch dit de l’action, l’action est opaque à elle-même. Donc, processus de décentration, processus de prise de conscience et mise en mots de ce dont est faite l’action.

Rencontre avec Albert Bandura : l’homme et le scientifique 1L’objet de cet article est de présenter l’homme et l’œuvrequi se trouvent au cœur de ce numéro spécial de L’Orientation scolaire et professionnelle. Pour certains, ce sera l’occasion de faire connaissance avec Albert Bandura, tant avec l’homme qu’avec le scientifique ; pour d’autres, ce sera l’occasion de renouer, avec ce professeur distingué (âgé aujourd’hui de 82 ans), les fils d’une relation interrompue, mise de côté, ou simplement oubliée. Dans tous les cas, faire ou refaire connaissance avec l’un des esprits les plus éminents dans les sciences humaines d’aujourd’hui ne peut être qu’un moment de découverte et de réflexion sur la place que nous occupons dans un monde toujours plus complexe et sur les moyens dont nous pouvons nous doter pour construire un meilleur avenir tant pour nous que pour nos enfants. Si, après avoir lu ce texte, le lecteur éprouve le désir de mieux connaître la pensée et les travaux d’Albert Bandura, le but que nous nous sommes fixé aura été atteint.

L’Entretien d’explicitation. Accompagner l’apprenant vers la métacognition explicite 1L'approche métacognitive développée par les techniques d'explicitation, par nature métacognitive dans la mesure où elles visent la prise de conscience de sa propre cognition, peut être abordée par plusieurs entrées. En effet, ces techniques ne sont pas spécifiques à la pédagogie. Elles visent toujours l'explicitation c'est-à-dire la mise en mots, après coup, du déroulement de sa propre action. Mais, en dehors d'entretiens d'explicitation destinés à accompagner les élèves dans leur apprentissage et dans la construction d'outils métacognitifs, l'entretien d'explicitation développé par Pierre Vermersch1 est utilisé dans plusieurs cadres : la recherche, le "caoching", l'analyse ergonomique ou l'analyse d'activités professionnelles à des fins de conception de référentiels de compétences, par exemple. Pour rester dans le cadre de ce dossier, on n'abordera ici que sa dimension pédagogique2.

Fondements sociaux de la pensée et de l'action chez Bandura Bandura base sa théorie sur la notion d’interaction. « Selon cette conception transactionnelle du soi et de la société, les facteurs personnels internes – sous forme d’événements cognitifs, émotionnels et biologiques –, les comportements et l’environnement opèrent tous comme des facteurs en interaction qui s’influencent réciproquement » (Énoncé 1) (Bandura, 2003, p. 16). Le principe est posé que l’environnement (social en particulier) influence la personne, qu’il est susceptible d’affecter ses représentations et croyances. Par exemple, l’observation d’un modèle peut avoir une incidence sur l’autoévaluation de ses propres capacités. L’exposition à des messages publicitaires présentant une vision débilitante des personnes âgées et l’intériorisation de cette vision induit éventuellement ce même type d’effet sur les seniors. Dans ce dernier exemple, il est assez clair que c’est l’influence de la culture occidentale marchande qui joue sur la personne.

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