http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9haviorisme
Related: Se déconditionner • ReferencesBiais cognitif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un biais cognitif est un schéma de pensée, cause de déviation du jugement. Le terme biais fait référence à une déviation systématique par rapport à la réalité. L'étude des biais cognitifs fait l'objet de nombreux travaux en psychologie cognitive, en psychologie sociale et plus généralement dans les sciences cognitives. Ces travaux ont identifié de nombreux biais cognitifs propres à l'esprit humain [réf. nécessaire] à travers de multiples domaines : perception, statistiques, logique, causalité, relations sociales, etc.
6_Symbolisme de la couleur_080208 Esprit : Esprit d'Éternité Partie du corps : Système digestif Planète : VÉNus Journée : VENdredi Note de musique : La note Fa Métal : Le cuivre Le vert positif Compréhensif, tolérant, confiant, sensitif. Fraîcheur d'âme, sève perpétuelle, espoir, souhait du dernier repos, humilité, contemplation. Aversion à l'incertitude Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En psychologie, l'aversion à l'incertitude est une forme d'aversion au risque se traduisant par la crainte, assez répandue, qu'en cas d'incertitude (situation pourtant générale dans la vie et dans la société, comme dans tout système dynamique) il y ait plus à perdre qu'à gagner. On constate dans la pratique qu'en ce qui concerne les enjeux importants un individu est disposé à engager des ressources pour réduire son incertitude (par exemple : achat de portes blindées, souscription de contrats d'assurance). En ce qui concerne les enjeux plus modestes, au contraire, il se montre prêt à en dépenser pour augmenter cette même incertitude : si un changement de vie, même de probabilité très faible, peut en être espéré (ex: loterie et jeu de hasard)ou tout simplement pour échapper à l'ennui (ex; jeu de cartes, réussites, patiences...)
Biais de confirmation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le biais de confirmation, également dénommé biais de confirmation d'hypothèse, est l'un des nombreux biais cognitifs décrits. Il désigne la tendance naturelle qu'ont les personnes à privilégier les informations qui confirment leurs idées préconçues ou leurs hypothèses (sans considération pour la véracité de ces informations) et/ou d'accorder moins de poids aux hypothèses jouant en défaveur de leurs conceptions. En conséquence, les personnes rassemblent des éléments ou se rappellent les informations mémorisées, de manière sélective, et les interprètent d'une manière biaisée. On dit aussi que les personnes « tirent la réalité » à elles. Les biais de confirmation apparaissent notamment autour de questions de nature affective et concernant des croyances établies.
Entre sculpture et photographie Le musée Rodin revient, pour quelques jours encore, sur un chapitre important des relations très actuelles entre la photographie et la sculpture. À partir de la fin des années 1960 et du début des années 1970, des artistes américains et européens, apparentés aussi bien à l’abstraction de l’après-guerre qu’à l’art conceptuel, au land art, au body art ou au narrative art, développent une pratique conjointe de la sculpture et de la photographie. Huit d’entre eux – Mac Adams, Dieter Appelt, John Chamberlain, Richard Long, Gordon Matta-Clark, Giuseppe Penone, Markus Raetz et Cy Twombly – sont accueillis chez Rodin, dont le recours à la photographie pour diffuser mais aussi élaborer ses sculptures est fondateur. Ils bénéficient chacun d’une petite exposition monographique.
Le centième singe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les macaques japonais de l'expérimentation Le centième singe est une expression désignant, à l'origine, un phénomène supposé par lequel un apprentissage se serait répandu depuis un petit groupe de singes à toute la population des singes de la même espèce, une fois qu’un certain nombre d’entre eux aurait été atteint (masse critique ou transition de phase). Dans le courant New Age, l'expression se rapporte à une propagation paranormale d’une idée, d’un savoir ou d’une capacité au sein d'une population humaine (comme dans le concept de résonance morphique de Rupert Sheldrake) sans qu’il y ait de transmission visible et une fois qu’un nombre clé de personnes aurait acquis ce savoir ou cette capacité. Le phénomène est généralement considéré dans la communauté scientifique comme une légende urbaine. Origine de la théorie[modifier | modifier le code]
Biais d'autocomplaisance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion de biais d'auto-complaisance désigne la tendance des gens à attribuer la causalité de leur réussite à leurs qualités propres (causes internes) et leurs échecs à des facteurs ne dépendant pas d'eux (causes externes), afin de maintenir positive leur image de soi. Cette notion a été créée par Dale T. Miller et Lee Ross (1975). Expérience de Asch Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expérience de Asch, publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d'un individu au sein d'un groupe[1]. Description de l'expérience[modifier | modifier le code] Exemple : la ligne de gauche est la ligne de référence ; les trois lignes de droite sont les lignes de comparaison.
Biais rétrospectif Le biais rétrospectif consiste en une erreur de jugement cognitif désignant la tendance qu'ont les personnes à surestimer rétrospectivement le fait que les événements auraient pu être anticipés moyennant davantage de prévoyance ou de clairvoyance. Selon Nassim Nicholas Taleb, le biais rétrospectif est un mécanisme de déni du hasard dans lequel tout événement doit pouvoir se justifier afin d’être le plus prévisible possible, sa fonction étant dès lors de conforter les individus dans leur sentiment de contrôler l'incertitude[1]. Le biais rétrospectif engendre un coût social et économique qui peut être à l’origine de nombreuses erreurs de jugement dans des domaines aussi divers que le comportement individuel, le diagnostic médical, la spéculation boursière, les agressions sexuelles et les erreurs judiciaires par exemple.
Expérience de Milgram Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Reconstitution de l'expérience de Milgram (extrait)[1] L’expérimentateur (E) amène le sujet (S) à infliger des chocs électriques à un autre participant, l’apprenant (A), qui est en fait un acteur. L’actionnisme viennois, bête et méchant ? – pointculture Vienne a été la matrice de bien des scandales artistiques. Le procès de Schiele, La Médecine de Klimt ; les expressionnistes, les romantiques et les postromantiques, obsédés de sexe et de mort, n’ont jamais manqué de semer un trouble progressiste dans l’art européen depuis la capitale autrichienne. Les actionnistes viennois sont les dignes héritiers de cette culture de la controverse et de la provocation.
Mouton de Panurge (locution) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression « mouton de Panurge » désigne un suiveur : une personne qui imite sans se poser de questions, qui suit instinctivement ce que fait le plus grand nombre et se fond dans un mouvement collectif sans exercer son esprit critique ni seulement faire preuve de l'intelligence qu'on peut espérer d'un être humain. Les moutons de Panurge sont invoqués pour fustiger l'esprit grégaire. L'expression tire son origine d'un épisode du Quart Livre de François Rabelais, sans s'y trouver exactement en ces termes[N 1].
Principe anthropique Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(août 2016). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Ce principe, proposé par l'astrophysicien Brandon Carter en 1974 [1], existe en deux versions principales. Francis Bacon : "Parler de peinture c'est impossible" En 1975 Francis Bacon donnait une série d'entretiens à France Culture, au micro de Michel Couturier. Il évoquait longuement sa pratique de peintre. Ces entretiens sont rediffusés dans leur intégralité. En 1975, Michel Couturier avait enregistré un long entretien avec le peintre Francis Bacon. Diffusé en trois parties, il est à entendre cette nuit dans son intégralité. Tantôt en anglais, tantôt en français, langue qu'il parlait bien, le peintre expliquait la difficulté de définir la peinture.