Hénaff : cent ans à envoyer du pâté En route pour Pouldreuzic, dans le Finistère, le taxi nous a prévenu : «Les saucisses Hénaff sont les seules qui ne fondent pas dans la poêle.» Bonne nouvelle, sauf que nous, on n’est pas venu en pays bigouden pour plonger d’abord dans le boyau et le hachis. Nous, ce qu’on veut, c’est génuflexionner devant le pâté Hénaff, oui, vous savez la petite boîte bleu et jaune, 78 g de bonheur, de souvenirs, de rites. Du côté de la baie d’Audierne, on dit que «c’est le doudou des Bretons».
FRANQUIN - Guilhem En 1990, nous préparions, avec mon frère Christophe, le numéro 2 de notre fanzine ESQUISSE. Le premier était sorti quelques mois auparavant et avait connu un bon petit succès d' estime. Ce numéro 2 s' annonçait du tonnerre ! Nos collaborateurs, Patrick Lacan et Joel Fruchart, avaient demandé à Franquin s' il acceptait d' être interviewé, et celui-ci accepta tout de suite ! Les actualités du bio, de l'écologie et du développement durable Chers internautes, La rédaction de Bio à la Une.com vous informe son arrêt de publication d’articles sur le blog, pour une redirection de ceux-ci vers le site lui-même. L’objectif reste le même : vous proposez une actualité sélectionnée et pertinente sur le Bio, le développement durable ainsi que l’écologie. En étant traitée directement sur Bio à la Une.com, votre navigation sera optimisée. Les articles se mélangeront mieux au reste de notre contenu , à savoir les stands des marques du Bio, leurs actus et leurs bons plans, la géolocalisation des magasins spécialisés et le reste des services proposés par Bio à la Une.
LLRNCPDLC J’ai réalisé une illustration murale pour l’exposition de rentrée de Merci ! Merci c’est un concept store parisien, orienté ameublement et design. Une vraie institution dans le marais, avec toujours le soucis des belles matières, lin, bois etc, et un côté bohème et naturel. La clientèle, c’est un peu celle de Colette, mais qui s’est mise en couple et a eu des enfants, disons. Quand j’habitais Paris, j’aimais bien y faire un tour pour leur sélection d’objets, et pour le magasin lui même grand et lumineux. Le thème de l’exposition de rentrée est Slow life, Keep Cool, Life is beautiful, et j’avais pour mission de faire une illustration de 3mx3m en restant dans cette idée, tout en moquant gentiment la clientèle !
Une histoire accélérée du louchébem, le langage tranché des bouchers C’est l’argot des mauvais garçons, celui qui se parlait à l’origine dans les abattoirs sombres et nauséabonds de la Villette à Paris. Le Louchébem – aussi appelé le largonji des bouchers –, c’est « l’argot des bouchers », un langage crypté que l’on parle pour ne pas se faire comprendre des clients. « D’après ce qu’on en sait, il serait né dans la première moitié du XIXe siècle mais on n’en est pas vraiment sûr tant peu de chose ont été écrites à son sujet », explique David Alliot, fils de boucher, écrivain et passionné de langage argotique, qui a été le premier – et unique à ce jour – à écrire un ouvrage sur le sujet. Si le Louchébem était pratiqué jusqu’au milieu des années cinquante par tous les bouchers, ou presque, aujourd’hui, seuls les vieux de la veille ont encore le sens aiguisé de la formule. « C’est l’arrivée massive d’ouvriers d’origine étrangère et l’essor du commerce en grande distribution qui ont entraîné sa raréfaction », explique l’auteur.
Quand l'appetit va, tout va? Le blog «bien manger» de Slate Nous sommes régulièrement touchés par des scandales alimentaires, ce qui nous pousse à vouloir du vert, du “naturel”, vaste notion aux contours flous… “Critiques de l’alimentation industrielle et valorisations du naturel: sociologie historique d’une “digestion” difficile (1968-2010)”, c’est le titre de la thèse d’Olivier Lepiller, menée sous la direction de Jean-Pierre Poulain. Le désormais docteur en sociologie est venu présenter son travail lors d’une conférence organisée par le Fonds français Alimentation & Santé. On parle d’un sujet d’actualité brûlante. Mais depuis déjà près de 15 ans, un contexte très critique cohabite avec “la multiplication des garanties données à la critique”.
Faustine, Illustration & Webdesign Je sais pas vous mais pour moi, dès les premiers froids, se lever est un véritable parcours du combattant. S’endormir chaque soir en se disant qu’on sera réveillé par le tintamarre absolument irritant du réveil à une heure totalement déplacée pour s’extirper EN PLUS avec horreur, froid et cacas dans les yeux vers une nouvelle journée où tout est à faire – c’est juste hard. ET chaaaaque jour le même rituel. Le pire. Je dis bien le pire, c’est […] Cet été était assez intense en terme de révolutions et d’émotions diverses, de quoi faire provision pour une toute nouvelle année scolaire bien studieuse et calme (je l’espère). Pois cassés, casseurs de baraque - Oui ! Le magazine de la Ruche Qui Dit Oui ! Par Stephan Lagorce, revue 180°C , Pas cher, nourrissant, superbe, versatile, délicieux, les épithètes du pois cassé paraissent presque plats au regard des mérites ébouriffants de pisum sativum, alias petits pois, alias lui-même séché et cassé, … Choix/Retour de courses Achetez des pois cassés… pas trop cassés : rejetez sans regret la « brisure » de pois, mini morceaux qui ne donneront rien de bon. Choisissez-les bien verts, emballés de préférence et conservez-les au sec dans un endroit frais, sur le radiateur de la salle de bain, par exemple !
Le Blog de Hervé Bizeul Migration définitive du blog sur WORLDPRESS Bon, désolé pour le dérangement, Messieurs-Dames, mais comme vous l'avez remarqué, ce blog est attaqué, comme beaucoup d'autres, par des robos spammeur qui empêchent la bonne marche des commentaires. C'est avec beaucoup de regrets que je suis contraint d'abandonner DOTCLEAR pour WORLDPRESS.