Société de l'information La journée mondiale de la société de l'information a lieu tous les ans le 17 mai, selon l'adoption par l'assemblée générale de l'Organisation des Nations unies de la résolution[1]. Nouvelle ère[modifier | modifier le code] Le parallèle que l'on pourrait faire avec d'autres périodes de l'Histoire serait donc sur les moyens de partage de l'information et de la connaissance : l'équivalent pendant les Lumières et le XIXe siècle serait le développement de la presse écrite, ou bien, en remontant plus loin, pendant la Renaissance, le développement de l'imprimerie. Le processus que l'on observe est donc : découvertes dans les sciences fondamentales, applications technologiques, et partage de la connaissance par de nouveaux moyens techniques. L'informatique permet aujourd'hui de numériser les informations et de les traiter. L'irruption des réseaux sociaux et la prolifération des fake news qui y circulent ouvrent un nouveau chapitre dans l'histoire de l'information.
Affaire des évadés fiscaux Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Affaire des évadés fiscaux est une affaire financière dans laquelle l'informaticien Hervé Falciani, ex-employé de la banque HSBC, fournit à l'administration fiscale une liste de comptes bancaires non déclarés, en lien avec des soupçons de fraude fiscale. Transmission d'une liste d'évadés fiscaux[modifier | modifier le code] En 2008, Hervé Falciani, un informaticien travaillant chez HSBC, à Genève, en Suisse, se trouve en possession une liste de 8993 évadés fiscaux français en Suisse[1]. Des accusations de ses détracteurs, niées par l’intéressé, disent qu'il a commencé par tenter de vendre le fichier au Liban[2]. Hervé Falciani fournit d'abord une liste de sept noms, dans le but de prouver sa crédibilité. Hervé Falciani indique qu'il "comptait donner [les preuves] à la justice française. Action des autorités françaises contre les supposés évadés fiscaux[modifier | modifier le code] Publication des noms[modifier | modifier le code]
PRISM (programme de surveillance) PRISM (également appelé US-984XN[1]), est un programme américain de surveillance électronique par la collecte de renseignements à partir d'Internet et d'autres fournisseurs de services électroniques[2],[3],[4],[note 1]. Ce programme classé, relevant de la National Security Agency (NSA), prévoit le ciblage de personnes vivant hors des États-Unis[10]. PRISM est supervisé par la United States Foreign Intelligence Surveillance Court (FISC) conformément au FISA Amendments Act of 2008 (FISA)[11]. Edward Snowden, ex-consultant de la NSA, a dénoncé ce programme ; les périodiques The Guardian et The Washington Post ont signalé son existence le 6 juin 2013. PRISM est utilisé en conjonction avec le programme Upstream par les autorités de sécurité américaines. Selon Edward Snowden, liste des entreprises utilisées par PRISM et l'année où la collecte d'information a commencé. Sa création en décembre 2007 a été permise par le Protect America Act of 2007 (en), adopté sous la présidence de George W.
Hydroxychloroquine Le sujet de cet article est lié à un événement récent ou en cours. Les informations peuvent manquer de recul, ne pas prendre en compte des développements récents ou changer à mesure que l’événement progresse. N’hésitez pas à l’améliorer en veillant à citer vos sources.La dernière modification de cette page a été faite le 22 juin 2021 à 08:30. L’hydroxychloroquine (HCQ) est un médicament (commercialisé sous forme de sulfate d'hydroxychloroquine, par Sanofi sous les noms de marque Plaquenil/Quensyl/Plaquinol, et d'autres producteurs sous le nom d'Axemal et Dolquine) indiqué en rhumatologie dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde et du lupus érythémateux disséminé pour ses propriétés anti-inflammatoires et immunomodulatrices[2]. Elle est inscrite sur la liste des médicaments essentiels de l'OMS. Histoire[modifier | modifier le code] La chloroquine et l'hydroxychloroquine sont commercialisées en France sous forme de sulfates, respectivement sous les marques Nivaquine et Plaquenil.
Hervé Falciani Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hervé Falciani Hervé Falciani en 2014 Hervé Daniel Marcel Falciani né le 9 janvier 1972 à Monte-Carlo, Monaco, est un ingénieur système et lanceur d'alerte franco-italien[1]. Il collabore activement avec la justice de nombreux pays depuis 2009 et a livré des informations concernant plus de 130 000 comptes en banque suisses appartenant à des évadés fiscaux présumés, après avoir intercepté ces informations lorsqu'il travaillait au sein de la filiale suisse de la banque HSBC[2],[3]. Biographie[modifier | modifier le code] Il a étudié au Sophia Antipolis Technology Park, et rejoint la branche ingénierie de HSBC à Genève entre 2001 et 2008[4]. Pour amener le procureur suisse à s'intéresser à ce dossier, il a décidé d'activer, grâce à un subterfuge, le système d'alerte à la disposition des employeurs financiers suisses, l'Association suisse des banquiers (Swissbanking), en lien direct avec le gouvernement. Divers[modifier | modifier le code]
The Foreign Intelligence Surveillance Act of 1978 (FISA) | Bureau of Justice Assistance Background Like Title III of the Omnibus Crime Control and Safe Streets Act of 1968 (the "Wiretap Act"), the FISA legislation was the result of congressional investigations into Federal surveillance activities conducted in the name of national security. Through FISA, Congress sought to provide judicial and congressional oversight of foreign intelligence surveillance activities while maintaining the secrecy necessary to effectively monitor national security threats. FISA was initially enacted in 1978 and sets out procedures for physical and electronic surveillance and collection of foreign intelligence information. Initially, FISA addressed only electronic surveillance but has been significantly amended to address the use of pen registers and trap and trace devices, physical searches, and business records. FISA also established the United States Foreign Intelligence Surveillance Court (FISC), a special U.S. General Provisions Amendments Civil Rights and Civil Liberties Implications
Irène Joliot-Curie Irène Joliot-Curie en 1935, année de réception de son prix Nobel de chimie. En 1945, elle est l'un des six commissaires du nouveau Commissariat à l'énergie atomique (CEA) créé par de Gaulle et le Gouvernement provisoire de la République française. Elle meurt à Paris le 17 mars 1956 d'une leucémie aiguë liée à son exposition au polonium et aux rayons X, la même maladie qui avait emporté sa mère. Irène Curie naît dans le 13e arrondissement de Paris le 12 septembre 1897[1]. À 17 ans, la guerre venue, Irène souhaite se rendre utile[4]. À partir de 1917, elle reprend ses études supérieures de mathématiques, de physique et de chimie, tout en étant chargée de former les infirmières à la radiologie au laboratoire Curie de l'Institut du radium[9] pour l'hôpital Edith Cavell créé par Nicole Girard-Mangin et Antoine Béclère. Dès 1918, tout en achevant ses licences de physique et de mathématiques, elle entre comme préparatrice de sa mère au laboratoire Curie de l'Institut du radium.
Stéphanie Gibaud, lanceuse d'alerte malgré elle Stéphanie Gibaud, hier Marie Viennot © Radio France Numéro un mondial de la gestion de fortune, la banque suisse UBS fait l'objet en France d'une mise en examen pour blanchiment aggravé de fraude fiscale et démarchage illicite de clients français. Ce démarchage avait notamment lieu lors d'événements où se rencontraient les familles françaises les plus fortunées, et des chargés d'affaire venus de Suisse, or pendant 8 ans, le rôle de Stéphanie Gibaud fut justement d'organiser ces événements sportifs ou culturels. Quand elle comprend le caractère frauduleux de sa mission, en 2007/2008, elle donne l'alerte dans sa banque, et refuse de détruire des documents susceptibles de démontrer un système d'évasion fiscale. C'est là que commence ce qu'elle nomme sa descente aux enfers, avant d'être licenciée en 2012. Son portrait par Marie Viennot. Photo : Xavier de Torres / Maxppp
Vault 7 Vault 7 est une série de documents que WikiLeaks a commencé à publier le 7 mars 2017, qui détaille des activités de la Central Intelligence Agency (CIA) dans le domaine de la surveillance électronique et de la cyber-guerre. La première publication, nommée Year Zero[1], est formée de 8 761 documents, supposément issus du Center for Cyber Intelligence[2],[3]. Les fichiers, datés de 2013 à 2016, comportent des détails sur les fonctionnalités des logiciels de l’agence, telles que la possibilité de compromettre des télévisions connectées, des navigateurs web (y compris Firefox, Google Chrome, et Microsoft Edge), et les systèmes d’exploitation de la plupart des smartphones (y compris iOS d’Apple et Android de Google), ainsi que d’autres systèmes d’exploitation tels que Microsoft Windows, macOS et Linux. Par la suite, WikiLeaks publia régulièrement de nouveaux documents traitant d'une méthode ou d'un outil en particulier. Contexte[modifier | modifier le code] Windows[modifier | modifier le code]
Pont de Glienicke Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le pont de Glienicke (en allemand: Glienicker Brücke) est un pont situé en Allemagne qui relie Berlin à Potsdam en passant sur la Havel, au sud-ouest de la capitale allemande. Histoire[modifier | modifier le code] Avant la réunification, ce pont faisait la jonction entre le secteur américain de Berlin-Ouest et le secteur soviétique qui forme la RDA. Fermé à la circulation durant cette période, seules les missions militaires de liaison qui se rendaient en RDA étaient autorisées à le franchir[1]. Le pont a été rouvert à la circulation piétonne le soir du 10 novembre 1989, le lendemain de la chute du mur de Berlin. Échanges[modifier | modifier le code] Dans la culture populaire[modifier | modifier le code] Le pont de Glienicke figure dans le film de Steven Spielberg Le Pont des espions, dans une scène d'échange d'espions. Le pont apparaît dans l'épisode 12 de la saison 1 de MacGyver. Références[modifier | modifier le code]
Irène Frachon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Frachon. Irène Frachon Irène Frachon, née le , est un médecin français. Pneumologue de formation, en poste au CHU de Brest, elle a notamment joué un rôle décisif dans l'affaire du benfluorex (ou Mediator), médicament commercialisé par les laboratoires Servier de 1976 à 2009 et qui aurait provoqué la mort d'au moins 500 malades. L'affaire Mediator[modifier | modifier le code] Malgré de nombreuses sollicitations auprès des agences de pharmacovigilance, l'affaire n'est révélée au grand public que près d'un an plus tard, lorsque la CNAMTS (Caisse nationale de l’assurance maladie des travailleurs salariés) dévoile officiellement le chiffre d'au moins 500 morts. Le 11 octobre 2011, elle reçoit le Prix Éthique catégorie Lanceur d’alerte citoyen, lors des Prix Éthiques et Casseroles 2011 de l’association Anticor. Publications[modifier | modifier le code] Mediator 150 mg : Combien de morts ? Lanceur d'alerte