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Comment apprendre à apprendre

Comment apprendre à apprendre
François Taddéi (Wikipédia, @francoistaddei) est biologiste de formation. Il est le cofondateur du Centre de recherche interdisciplinaire (CRI). Sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel, ce promoteur de l’interdisciplinarité est venu évoquer son obsession : comment innover dans l’éducation, comment apprendre à apprendre… Quand Garry Kasparov a perdu contre Deep Blue, The Economist titrait « si votre métier ressemble aux échecs, il faut vous préparer à changer de métier ». L’évolution du jeu d’échec est devenue une métaphore du futur, estime François Taddéi. « Aujourd’hui, notre système éducatif sélectionne ses éléments sur leur capacité à mémoriser des leçons. Or, force est de constater que la pédagogie, elle n’a pas progressé aussi vite que la science. « Rien ne ressemble plus à une salle de classe d’aujourd’hui qu’une salle de classe du Moyen-Âge. Les 3 niveaux d’intelligence L’université sait résoudre les problèmes existants (niveau 1). Hubert Guillaud Related:  pedagogie

Forum de LVM :: Sujet : "Les enfants chercheurs : la recherche scientifique comme modèle d'apprentissage" (Rue des écoles) (1/1) Comment apprendre à apprendre ? Slogan néo-pédagogiste du constructivisme. François Taddéi (Wikipédia, @francoistaddei) est biologiste de formation. Ce qui lui donne toute compétence pour réfléchir à l'école. Il est le cofondateur du Centre de recherche interdisciplinaire (CRI). Au même titre que Michel Serres. ...est venu évoquer son obsession : comment innover dans l’éducation, comment apprendre à apprendre… Un sujet qu'il connaît bien car il n'a jamais enseigné à des élèves du primaire ou du secondaire. Quand Garry Kasparov a perdu contre Deep Blue, The Economist titrait “si votre métier ressemble aux échecs, il faut vous préparer à changer de métier”. Voilà l'imaginaire numériste dans lequel a grandi François Taddéi depuis presque vingt ans : la victoire définitive de la machine sur l'homme dans les années 90. L’évolution du jeu d’échec est devenue une métaphore du futur, estime François Taddéi. C'est dire la profondeur de sa pensée. En l'occurrence non, puisqu'il a gagné. Nous y voilà.

7 principes pour un bon enseignement… en ligne ou non: Service de soutien à la formation - Université de Sherbrooke À travers leur veille, des membres du personnel du Service de soutien à la formation croisent parfois diverses allusions aux «sept principes d’un bon enseignement», souvent mentionnés sans autre référence. En fouillant un peu, on trouve qu’il s’agit des Seven Principles for Good Practice in Undergraduate Education énoncés par Chickering et Gamson dans un article de 1987 qui allait faire école. Si ces énoncés semblent basiques, les auteurs ont à l’époque passé en revue 50 ans de recherche en éducation afin de les établir. D’intérêt pour l’enseignement en présentiel, ces bonnes pratiques furent bientôt utilisés comme une liste de critères à respecter pour une formation en ligne de qualité (Chickering et Ehrmann, 1996). Depuis, une organisation est née pour en faire la promotion et pour accompagner les institutions qui choisissent de les implanter : le TLT group (pour Teaching, Learning and Technology group), une entreprise sans but lucratif. D’autres utilisations des 7 principes

Apprendre à apprendre Votre chemin de l'apprentissage efficace est par la connaissance de: soi même ou nous même notre capacité à apprendre la méthode utilisée avec succès par le passé pour apprendre; la connaissance du sujet que nous souhaitons apprendreou l'intérêt que nous avons pour ledit sujet Il se peut qu'il soit facile d'apprendre les sciences physiques et mpossible d'apprendre le tennis, ou l'inverse.Néanmoins tout apprentissage est un processus qui s'accommode de certaines étapes: Commencez par répondre aux questions suivantes Ensuite, organisez votre stratégie en accord avec les réponseset avec d'autres "guides d'études" Voir aussi

Pédagogie et e-learning : les 5 alertes de Philippe MEIRIEU Quels enseignants ne connaissent pas Philippe MEIRIEU ? - Pour Wikipédia Philippe MEIRIEU est un chercheur et écrivain français, spécialiste des sciences de l’éducation et de la pédagogie. Il a été l’inspirateur de réformes pédagogiques (instauration des modules au lycée ainsi que des IUFM au début des années 1990). Il est actuellement vice-président de la région Rhône-Alpes, chargé de la formation tout au long de la vie. En s’appuyant sur les écrits des grands pédagogues (de Rousseau à Freinet), il met en exergue les tensions inhérentes à l’éducation. Tour à tour professeur de philosophie, instituteur, professeur de français en collège privé, en lycée professionnel, professeur des Universités en Sciences de l’Education, directeur d’IUFM, directeur de la collection « Pédagogies » chez ESF Editeurs, il revendique pour l’école le double rôle d’instruire et d’éduquer, la finalité étant l’émancipation de l’élève et le développement de son autonomie. Libération ou prolétarisation ? Claude TRAN

Ce que les enfants devraient savoir sur leur cerveau à l'école Les neurosciences apparaissent comme un domaine réservé aux meilleurs étudiants en sciences. Or une étude américaine a démontré que Au plus tôt on apprend à l’école comment fonctionne notre cerveau, au mieux c’est. Suite à une étude menée sur des enfants de 4 à 13 ans, les psychologues Peter Marshall et Christina Comalli ont découvert que les jeunes enfants ne connaissent ni les fonctions ni le fonctionnement de leur cerveau. Les scientifiques attribuent cet état de fait à plusieurs facteurs : 1. les parents et les enseignants ne mentionnent que très rarement le cerveau quand ils apprennent aux enfants comment leurs corps fonctionnent. 2. l’enseignement portant sur l’anatomie et les fonctionnalités du cerveau ne commence qu’au collège. 3. les enfants ne peuvent pas observer leur propre cerveau et sont forcés d’imaginer ce qui se passe à l’intérieur de leur tête. Marshall et Comalli ont alors élaboré une leçon d’une vingtaine de minutes à destination d’élèves de primaire. 1. 2. 1. 2. 3. 4.

Quand l'Ecole française réagit à l'échec scolaire : L'exemple du lycée Galilée "Contrairement à ce que l'on peut avancer dans certains cercles, les enseignants ne sont pas des freins aux réformes, à condition cependant que ces réformes soient de leur fait et non pas imposées par des instructions ministérielles". Bernard Hugonnier, ancien directeur adjoint de l'éducation à l'OCDE et Constance de Ayala publient un ouvrage sur l'expérience du lycée Galilée de Gennevilliers. Un établissement prioritaire qui construit sa propre réforme pour lutter contre l'échec scolaire et qui réussit. Un projet venu du terrain, efficace et que le ministère se garde bien finalement de faire connaitre... Aujourd'hui le lycée Galilée de Gennevilliers est un des plus beaux établissements franciliens. Seul lycée d'une commune populaire, il est situé dans un quartier en pleine mutation urbaine. A l'origine du projet Galilée la rencontre entre une proviseure, Monique Aqualina, et une équipe d'enseignants où une figure va émerger, celle d'un professeur de sciences physiques, Olivier Jallu.

Et si l’enseignant innovant était un concept utile pour … ne pas innover Enseignant innovant, le concept est à la mode depuis quelques années. On aime le montrer, valoriser ses travaux, lui attribuer des distinctions, le faire témoigner. Il est de bon ton de dire qu’il existe dans son établissement, qu’il produit des pédagogies différentes. Il est un alibi utile, il faut en avoir un, en connaître un, le faire venir témoigner mais … N’est-il pas désormais un concept dépassé ? Peut-on aujourd’hui se contenter de n’avoir que des enseignants innovants, isolés, atomisés, sympathiques curiosités du monde enseignant ? L’enseignant innovant est un concept dépassé. En glorifiant l’enseignant innovant on lui rend un mauvais service et on rend un mauvais service à l’institution. Si l’on veut innover alors regardons où sont les équipes innovantes, celles qui savent collaborer, travailler de concert, savent intégrer l’interdisciplinarité comme vecteur de la réussite. Osons donc penser l’innovation comme la préoccupation de chacun, à tout instant. Like this:

Faire une carte mentale 1) Qu’est-ce qu’une carte mentale ? (ou carte heuristique) Ton cerveau pense en images et en couleurs… Quand tu entends « maison », qu’est-ce qui te vient à l’esprit ? Le mot « maison » ou l’image d'une / de ta maison ? C’est généralement une image en couleurs qui nous vient à l’esprit ! * Si tu veux te rappeler de ta maison (ou de n’importe quoi d’autre), le meilleur moyen est de la dessiner. * Si tu veux la décrire avec des mots, tu vas faire une liste des pièces, des meubles… La carte mentale permet d’associer les deux, mots et images ! Tu peux organiser tes idées --> en les ajoutant au fur et à mesure… --> en mémorisant plus facilement… Ex : Fais une carte mentale de ta maison - Au centre, tu écris « Ma Maison » dans un cadre en forme de maison. - Autour, tu traces des lignes de différentes couleurs, une par pièce. - Tu ajoutes une image (symbole), qui caractérise chaque pièce. © Mme Bernos Tu viens de faire ta première carte mentale! Tu peux utiliser une carte mentale pour... réalisées par des élèves

L’Open éducation – Journées Elearning 2013 Dans le cadre des Journées du Elearning 2013 s’est déroulée une conférence fort intéressante sur la thématique « La qualité produite par tous: L’open Education « . La présentation animée par les intervenants Stamenka Uvalic-Trumbic et Sir John Daniel a été rythmée par différentes thématiques : L’open éducation et ses deux dimensions ( Stamenka Uvalic-Trumbic ) La création de cours et de programmes par les étudiantsLe développement des Ressources Educatives Libres “ REL “ L’utilisation de la technologie ( Sir John Daniel ) Un petit historique de l’enseignement à distanceL’open UniversityLes Moocs Je vous invite à découvrir cette conférence résumée ci-dessous en carte mentale mais aussi la vidéo de l’intervention en direct du site des journées du Elearning. La conférence Cliquer sur l’image pour lancer la conférence Bonne consultation Olivier L

Travail de l'élève hors la classe : un observatoire à Créteil Alain Pothet, correspondant académique EP, Martine Amable, chargée de mission EP, Françoise Moncada DAASEN de Seine-Saint-Denis et correspondante académique EP, évoquent la genèse de l'Observatoire et la publication de son premier rapport. D'où est partie cette idée de l'Observatoire ? L’Observatoire des pratiques en Éducation prioritaire est né le 9 octobre 2015, au terme de sa conférence inaugurale. Il s’inspire dans sa composition et sa démarche de l’observatoire des usages du numérique qui a été initié dans l’académie de Créteil il y a quelques années par Claudio Cimelli, alors DATICE. Sa création a répondu à la demande des deux correspondants académiques éducation prioritaire de l’académie de Créteil, Françoise Moncada, Directrice Académique Adjointe des Services de l’Éducation Nationale (DAASEN) de Seine-Saint-Denis, et Alain Pothet, Inspecteur d’Académie - Inspecteur Pédagogique Régional (IA-IPR). Comment avez vous travaillé, quels acteurs avez-vous mobilisés ?

Les enfants de pauvres sont-ils condamnés à l'illettrisme ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mattea Battaglia Au coeur de Paris, à deux pas du cimetière du Père-Lachaise, oeuvre un service pilote : Paris Santé Réussite (PSR). A sa tête, la neuropédiatre Catherine Billard, formée par trente années d'hôpital et autant d'études scientifiques. Dans son équipe, une psychologue et trois orthophonistes. En inaugurant le service, il y a trois ans, elles ont fait le pari que médecins et enseignants puissent, en collaborant, permettre à tous les enfants de lire. at sun.awt.image.JPEGImageDecoder.readImage(Native Method) Très vite, leur public de prédilection s'est situé dans le quart nord-est de la capitale. Lisa a eu cette chance : depuis bientôt trois ans, la fillette de 10 ans est suivie deux fois par semaine par une orthophoniste « en libéral ». Trois ans après son lancement, PSR collabore avec 18 écoles volontaires – sur les 663 que compte la capitale.

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