We Share vs Oui cher : faut-il avoir peur de l’économie collaborative ? — Chroniques de la transition numérique L’explosion des modèles collaboratifs, également appelés P2P (peer-to-peer) ou C2C (consumer-to-consumer), est probablement un des phénomènes les plus intéressants de la transition numérique. L’économie collaborative contourne les acteurs habituels d’un secteur en mettant en relation directement des internautes et en leur permettant d’échanger grâce à une plate-forme numérique. L’exemple le plus emblématique est bien sûr la société AirBnB qui met en relation des internautes disposant de chambres ou d’appartement à louer avec d’autres internautes qui cherchent un hébergement temporaire à l’occasion d’un déplacement personnel ou professionnel. En l’espace de 5 ans, la société a développé une offre de plus de 600 000 logements qui ont permis de loger plus de 11 millions de voyageurs. AirBnb est en passe de devenir le premier « groupe hôtelier » du monde avec une valorisation estimée à 10 Mds$ !
Les doutes de Jeremy Rifkin sur "l'économie du partage" Dans "Les Échos" du 2 octobre 2014, Jeremy Rifkin brosse la vision d'une "économie hybride entre capitalisme et partage". Frictions et collaboration entre "l'économie collaborative" et les "oligopoles du Net" Dans son entretien aux "Les Échos" , Jeremy Rifkin reconnaît d'abord une tension entre "l'économie du partage" et la tendance à l'oligopolisation dans certains secteurs du numérique sous la houlette des grands acteurs venus d'Internet. Or, cette tension est une réactualisation de celle qui est apparue à partir de la popularisation du web au milieu des années 1990, mais elle a en quelque sorte pris une ampleur phénoménale du fait du succès de certains modèles économiques. L'enjeu nouveau porte bien en effet sur "l'Internet des objets/machines" et surtout les modes de production "déconcentrés". Mais il y a donc un paradoxe dans le modèle esquissé par J.
La Fabrique à Innovations, l'économie participative au service de l'innovation Cette nouvelle plateforme participative de conception de produits innovants, permet à toute personne qui dépose une idée, de voir son projet sélectionné pour le développer et le fabriquer en France. Les défis économiques du XXIème siècle étant colossaux, mais pas insurmontables, la créativité est plus que jamais de mise pour sortir son épingle du jeu et prospérer sur le marché économique. Quatre jeunes français viennent de créer un site Internet dénommé judicieusement « La Fabrique à Innovations » sur lequel il est possible de développer et financer des produits innovants par le biais de l'économie participative, afin de permettre à ces derniers d'être industrialisés et commercialisés. Ce système démocratise la conception de produits innovants, permet à tout le monde de soumettre un projet sur Internet, et incite chacun à apporter sa contribution pour permettre le développement des produits. Une plateforme participative pour le made in France
Lieux de vie, bases nomade, collectifs, squat, ecolieux The Dharma House,Route de St. Sauveur de Cruzières,Mallemontade,30500 St. Brès,France.SITE OFFICIEL Bienvenue à la Maison du Dharma - une petite communauté, qui s’inspire des enseignements du Bouddha et de l’idéal de vie en connection avec d’autres, proches de la nature. Notre objectif est d’explorer un mode de vie centré autour d’une éthique écologique et durable, en mettant un accent sur l’intégration d’une prise de conscience attentive aux activités du quotidien. Epargne : des livrets solidaires pour investir utile Dans la famille des livrets solidaires, on connaît surtout les livrets de partage. Ils prévoient de reverser tout ou partie des intérêts à des associations ou des organismes solidaires, mais l'épargne y est généralement placée de manière conventionnelle, c'est-à-dire sur les marchés traditionnels. Ils ne font donc pas profiter d'un engagement total. Lire aussi : Extension du domaine des produits solidaires Il en existe cependant quelques-uns qui poussent plus loin l'engagement, en consacrant la totalité des sommes collectées au financement d'activités déterminées et solidaires. Le Crédit coopératif, la banque fer de lance de ce mouvement, vient ainsi de lancer avec la Chambre de commerce et d'industrie de région Nord de France un Livret Troisième Révolution industrielle très ciblé.
Les 4 types de consommateurs collaboratifs La consommation collaborative gagne régulièrement du terrain et commence à sérieusement intéresser les cabinets d’études et les hommes de marketing. Un de ces cabinet a examiné nos comportements et en a déduit qu’il existe 4 types de personnes qui pratiquent la consommation collaborative. Les 4 types de consommation collaborative Les urbains et la consommation collaborative Favorisées par l'essor d'Internet et du Web 2.0, les pratiques dites de consommation collaborative (cf dossier dans Marketing Magazine) se sont multipliées et intensifiées au cours des dernières années. Locations entre particuliers, achats groupés, troc, partage de biens ou de services : autant de pratiques qui se répandent dans la société française, et notamment dans ses grandes villes. Pour mieux comprendre l'émergence et le sens de ces nouveaux modes de consommation, iligo a choisi d'interroger un échantillon représentatif d'urbains (*). Comment les urbains perçoivent-ils la consommation collaborative ? Quelles motivations, quelles valeurs fondent, selon eux, ces pratiques ? Parmi les différentes pratiques dites de consommation collaborative, quelles sont celles qui suscitent le plus l'intérêt des urbains ?
Amap ou Ruche qui dit oui : quel système vous correspond Qualité, proximité et pied de nez à l’industrie agroalimentaire : d’un système de distribution en circuit court à l’autre, les mots d’ordre se font écho. Pourtant, depuis la diffusion, en mars dernier sur Internet, d’une lettre dans laquelle un apiculteur explique son refus d’approvisionner la Ruche qui dit oui, les partisans de la vie sans supermarché sont divisés. Entre ripostes, rumeurs et amalgames, la saveur retrouvée des produits fermiers a pris un arrière-goût amer. Les Amapiens brocardent l’aspect « commercial » de la Ruche qui dit oui.
Une enquête de satisfaction clients : pour quoi faire ?... Oui, une enquête de Satisfaction clients : pour quoi faire ? 1. Parce que ça ne sert à rien de recruter de nouveaux clients si c’est pour laisser partir à la première commande ! 2. Parce qu’il y a autant de priorités vis-à-vis des clients que de collaborateurs dans l’entreprise ! 3. 100 sites pour consommer sans posséder Voici une première tentative (à ma connaissance) de création d’une liste d’initiatives françaises (ou ayant des activités en France) sur la consommation collaborative (voir la définition au bas de cet article). Dans cette liste, le parti pris a été d’indiquer les initiatives relevant des formes nouvelles d’échange entre particuliers (partage, troc, échange, location) ainsi que les nouveaux styles de vie collaboratifs (crowdfunding, coworking, colunching ...) mais aussi des initiatives se situant aux limites du sujet mais qui méritaient d’être mises en avant pour l’innovation sociale qu’elles représentent. N’hésitez pas à apporter vos contributions à cette liste collaborative ! Alimentation Achat groupé direct au producteur *
[Chronique] Un marketeur doit-il apprendre à partager ? Vous aimiez le capitalisme et le libre-échange ? Vous allez adorer l'économie du partage ! La " sharing economy ", dont le concept est apparu il y a quelques années dans la Silicon Valley, est en train de débarquer dans tous les compartiments de notre petite vie bien pépère. Satisfaction client : connaître les leviers pour les fidéliser Il est toujours difficile et coûteux de trouver de nouveaux clients. Alors, pourquoi se focaliser sur une stratégie de conquête en prospectant à tout va si son portefeuille client existant est laissé à l'abandon ? Fidéliser doit être une action prioritaire pour tout dirigeant. Pour réussir cette mission, il convient déjà de satisfaire ceux qui vous font grâce de leurs commandes.