Table ronde Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Table ronde est, dans la légende arthurienne, la table légendaire autour de laquelle se réunissent le roi Arthur et ses chevaliers, dits « Chevaliers de la Table ronde ». Le premier auteur à la mentionner est Wace, auteur normand, qui dans son Roman de Brut (1155) parle d'une table construite sur ordre d’Arthur afin d'y réunir ses meilleurs chevaliers. Elle est un symbole de paix et d'égalité, car il ne peut y avoir de préséance autour d'une table ronde : « C’est pour les nobles preux seigneurs qui l’entouraient et qui tous se croyaient meilleurs les uns que les autres — et l’on aurait eu bien du mal à désigner le pire — qu’Arthur fit la Table ronde, cette table sur laquelle les Bretons racontent tant de fables. Selon les auteurs, le nom et le nombre de chevaliers pouvant s’asseoir autour de la table varie ; Chrétien de Troyes parle d‘une trentaine, Layamon de 1 600. Pourquoi une table ronde ? Table ronde à Winchester.
La Bataille de Verdun / Verdun et la Grande Guerre / Terre d'Histoire - Mairie de Verdun Côté français, la surprise a été « presque » totale et le choc effroyable. Mais la débandade attendue par l’ennemi n’a pas eu lieu. Les survivants des deux divisions françaises ne battent pas en retraite, ni ne se rendent. A dix contre cent, fusils Lebel contre Mauser et lance-flammes, la défense française s’organise. L’infanterie allemande procède par vagues d’assaut, espacées d’une centaine de mètres. Les deux tiers de l’armée française combattent à Verdun. La ruée sur Verdun Les premiers jours de la bataille sont terribles. Les jours suivants, les combats se poursuivent avec la même intensité. « Courage, on les aura ! Finalement, à la fin du mois de février, la progression allemande a été meurtrière mais reste limitée. Depuis Baudonvillers et Bar-le-Duc, une noria de camions est mise en œuvre sur la route reliant Bar le Duc à Verdun, baptisée plus tard par Maurice Barrès la « Voie Sacrée ». Désormais les contre-attaques françaises succèdent aux attaques allemandes.
Mémoire et histoire - Commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale Une grande commémoration nationale Les enjeux La commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale est porteuse de plusieurs enjeux mémoriaux importants : la compréhension d'une épreuve qui engagea l'ensemble de la société française ;la transmission de cette mémoire aux Français d'aujourd'hui ;l'hommage rendu à ceux qui vécurent la guerre et firent le sacrifice de leur vie ;l'appréhension du conflit dans la perspective d'une histoire nationale et européenne partagée. Cent ans après ce terrible conflit, il s'agit pour les Etats européens d'être porteurs d'un message de paix, afin de contribuer à la construction d'un avenir commun. L'implication de la communauté éducative Le ministère de l'éducation nationale est membre fondateur du Groupement d'intérêt public (GIP) "Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale" chargé de mettre en œuvre les commémorations en lien avec les différents ministères concernés (affaires étrangères, défense, culture, éducation nationale, etc.).
Verdun dans la Grande Guerre - Mémorial de Verdun Comment se situe Verdun dans ce contexte général ? Le polytechnicien Séré de Rivières fut chargé de la fortification du Nord-est de la France après la guerre de 1870. Il construisit des régions fortifiées linéaires intégrant les obstacles naturels et ponctuées de camps retranchés. Verdun, môle nord privilégié dans le nouveau réseau défensif, retrouva alors son rôle historique de forteresse. En effet, c'était une base offensive: tête de pont de la France sur la Meuse pouvant contrebalancer Metz, alors annexée, et un nœud de communication Nord/Sud et Est/Ouest. De 1875 à 1914, une double ceinture fortifiée fut créée autour de Verdun qui apparaissait, à la veille de la guerre, comme la place la plus moderne et la plus puissante de l'Est de la France. Cette bataille franco-allemande - où furent engagées des forces coloniales - a été en définitive non seulement une bataille importante, mais bien la bataille de la France puisque près des 3/4 de l'armée française ont combattu à Verdun.
Les marraines de guerre - Tirailleurs Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Bienvenue ! {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *} {* /signInForm *} Votre compte a été désactivé Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}{* /resendVerificationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter {* #socialRegistrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} En cliquant sur "Créer un compte", vous confirmez que vous acceptez nos conditions générales et que vous avez lu et approuvé la politique de protection de données personnelles.{* /socialRegistrationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l'adresse suivante {* emailAddressData *}. Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe {| moreInfoText |}
bataille de Verdun février-décembre 1916 Bataille qui opposa les armées françaises défendant le camp retranché de Verdun aux armées allemandes assaillantes (tués et blessés : 362 000 Français, 336 000 Allemands). Après avoir joué sous le commandement (IIIe armée) de Sarrail le rôle de pivot de la manœuvre du général Joffre lors de la bataille de la Marne en 1914, la région fortifiée de Verdun, affaiblie par les conséquences d'un décret d'août 1915 sur les places fortes, est choisie par l'état-major allemand pour vaincre l'armée française par épuisement de ses forces. Commandés par le Kronprinz, les Allemands, après une intense préparation d'artillerie, attaquent le 21 février la rive droite de la Meuse, bousculent les défenses françaises (bois des Caures) et prennent le fort de Douaumont (25 février). Pétain, chargé par Joffre de la défense de Verdun, organise la résistance et l'arrivée des renforts par la Voie sacrée (la route Bar-le-Duc – Verdun).
Introduction du dossier « Les fusillés de la Grande Guerre » - Pour mémoire - CNDP Nous proposons dans ce dossier de revenir sur un phénomène tragique qui a traversé la Grande Guerre de part en part, touché tous les États belligérants, tous les fronts, dès les premiers jours de la guerre et posé aux autorités tant militaires que politiques des questions portant sur leur fonctionnement, leur finalité, leur existence même, puisqu’il s’agit de réfléchir sur la question de l’exécution de soldats au sein de leur propre armée. Nous centrons le propos sur le cas français, non qu’il soit plus important que les autres, mais parce que les sources et l’historiographie dont nous disposons permettent de construire un discours véritablement problématisé et de livrer des conclusions tangibles. D’autre part, la figure du fusillé a opéré un retour en force dans l’actualité, dans les champs mémoriels, dans les débats politiques au point de prendre une place peut-être démesurée face au nombre réel de cas. Le plan du dossier articule six aspects principaux de la question.
L'aviation à Verdun - Vidéo Ina Russie tsariste Les premiers tsars russes Le mot tsar est un dérivé du mot césar, titre qui était traditionnellement réservé à l’empereur de Byzance. Le titre de tsar confère au dirigeant un statut similaire à celui d’empereur.Plusieurs souverains ont joué le rôle de tsar entre 1547 et 1917, dont Ivan IV et Alexis 1er. Ivan IV Le premier souverain russe à être couronné tsar est Ivan IV, en 1547. Ivan IV Ivan le Terrible a divisé le pays en deux et a même forcé le déplacement des populations, ce qui a engendré de nombreux problèmes dans le pays. La dynastie Romanov prendra le pouvoir en 1550 et le gardera jusqu’à la fin de l’époque tsarine. Alexis 1er Au 17e siècle, Alexis 1er est au pouvoir. La Russie au 18e siècle Le 18e siècle en Russie est marqué par de nombreuses transformations (transformations du territoire et transformations sociales). Pierre le Grand (1672-1725), tsar de 1682 à 1725 Le règne de Pierre le Grand est marqué par les efforts acharnés du tsar de rapprocher la Russie de l’Europe. Nicolas II
« Qui n’a pas fait Verdun n’a pas fait la guerre »..., disent les survivants De toutes les batailles de la Grande Guerre, celle de Verdun reste, dans notre mémoire nationale, la plus importante : c’est d’ailleurs la seule qui figure au programme d’histoire des collégiens. Comment expliquer ce statut exceptionnel ? Une première explication est l’extraordinaire violence des combats jusqu’à l’été. Cette explication n’est pourtant pas suffisante. D’autres raisons interviennent. Mais la vraie raison est l’importance de l’enjeu. Les soldats ont intériorisé l’enjeu : ce n’est pas une bataille comme les autres, c’est « la » bataille, et il est juste que chacun y passe à son tour : la noria trouve là sa justification. C’est parce que Verdun avait acquis cette valeur symbolique exceptionnelle qu’il n’y avait pas de meilleur lieu pour manifester la réconciliation des deux peuples par un geste spectaculaire et silencieux, la poignée de main du président Mitterrand et du chancelier Kohl, le 22 septembre 1984. Repères 21 février 1916. Attaques et contre-attaques.
Présentation du dossier « L'armistice du 11 novembre 1918 » - Pour mémoire - CNDP L’armistice, signé le 11 novembre 1918 entre les Alliés et l’Allemagne marquant la fin de quatre années de guerre, constitue un moment clé de la conscience nationale et européenne. « L’École a pour mission l’enseignement de l’histoire de la Grande Guerre, et également la transmission de la mémoire » (*). La commémoration de l'armistice permet de mener un travail d'Histoire ancré dans un enseignement de la citoyenneté et des valeurs de la République. © H. Marquis Partant des événements de l'année 1918 (voir le chapitre 9 du livre La Grande Guerre par M.C Bonneau-Darmagnac, Fréderic Durdon, Pierrick Hervé, CRDP de Poitiers collection trait d’union, 2008) qui ont conduit à l'arrêt des combats, cet opus de la collection « Pour Mémoire » met en évidence les spécificités de la Première Guerre mondiale. C'est une guerre longue, qui est, dès 1915, appelée « Grande Guerre ». La Grande Guerre, M.C. La Première Guerre mondiale, CNDP, collection « Dévédoc », 2008. Conception et réalisation du dossier
Fin du régime tsariste en Russie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Avant 1917, la Russie était dirigée par l'empereur Nicolas II, « l’empereur de toutes les Russies ». C’était un régime monarchique autocratique. L'Empire russe était un immense empire qui rivalisait de grandeur avec l’Empire britannique mais il était économiquement et militairement faible. La Russie avant 1917[modifier | modifier le code] Le développement économique[modifier | modifier le code] L’industrialisation de la Russie connut son apogée au début des années 1900, bien après les autres pays européens. Les dix premières années du règne de Nicolas II furent favorables à l’évolution économique. L’empire constitutionnalisé[modifier | modifier le code] La Révolution russe[modifier | modifier le code] Les déclencheurs de la Révolution[modifier | modifier le code] Les grèves et l’abdication de Nicolas II[modifier | modifier le code] La Douma demanda à Nicolas II de former un nouveau conseil pour sortir le pays de cette crise, mais le tsar refusa.
Histoire et mémoire des deux guerres mondiales - Enseigner la première guerre mondiale - Les femmes et la 1ère guerre mondiale par Jocelyne et Jean-Pierre Husson Pendant la 1ère guerre mondiale la contribution des femmes à l'effort de guerre a revêtu des formes multiples : - courage des femmes d'agriculteurs qui, dans une France encore à dominante rurale et agricole, ont dû assumer à partir de l'été 1914 les durs travaux des champs ; - dévouement des infirmières qui ont soigné les soldats blessés dans les hôpitaux de guerre et les maisons de convalescence ; - compassion des « marraines de guerre » qui écrivaient et envoyaient des colis aux soldats du front, rendaient visite aux blessés dans les hopitaux ; - courage aussi des femmes des villes qui ont dû pallier le manque de main d'oeuvre dans de nombreux secteurs d'activités, distribuant le courrier, conduisant les tramways, travaillant plus de 10 heures par jour dans les usines d'armement. 1/ L'appel aux Françaises de Viviani « Debout, femmes françaises, jeunes enfants, filles et fils de la patrie. Remplacez sur le champ de travail ceux qui sont sur le champ de bataille. 14-18. in J.