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Related: farmal • Enseignement de l'orthographe • Écriture • Troubles des apprentissages: connaissances et outils pratiques • ORTHOGRAPHE ILLUSTRÉEOrthographe illustrée : dessine moi un mot - WeeZ.Yoo Chez le dysorthographique, le plus souvent, les erreurs d’orthographe sont phonétiquement correctes : l’application correcte de correspondances grapho-phonétiques ne permettent l’écriture correcte qu’à peine la moitié des mots… Il est donc nécessaire d’utiliser d’autres informations. Elles sont de trois sortes : Les informations morphologiques (ex : rond > ronde…)Les informations générales relatives au système orthographique (ponte vs pompe)Les informations orthographiques spécifiques (écho, monsieur…). L’acquisition de l’orthographe lexicale passe par un processus complexe de mémorisation à long terme de la forme entière des mots écrits. L’hypothèse est que le processus d’acquisition met aussi en jeu un processus visuo-attentionnel spécifique… La méthode visuo-sémantique va contribuer à renforcer ce processus.
Affiche des mots outils Par Mecarson dans Mots outils le 1 Octobre 2014 à 18:17 Afin de travailler les mots outils du livre de lecture de Taoki et les apprendre plus facilement, j’ai essayé de trouver un moyen pour que les élèves les mémorisent plus facilement. J’ai choisi de ne pas les classer par ordre alphabétique car les enfants n’utilisent pas cet ordre pour retrouver les mots. Je propose donc ici un travail à réaliser en classe et d’amener les élèves à regrouper les mots outils en fonction de ce qu’ils entendent et ce qu’ils voient.
L’orthographe illustrée L’orthographe illustrée : qu’est-ce que c’est ? Pour les élèves dyslexiques ou dysorthographiques l’apprentissage des mots qui ont des particularités orthographiques est particulièrement difficile. En général, l’enfant rentre à la maison avec une liste de mots à apprendre par semaine, mais il ne sait absolument pas comment faire pour apprendre ces suites de petits trucs tous noirs posés sur une feuille blanche . Bien souvent, pour l’enfant il n’y a aucune logique à ce qu’un mot s’écrive de telle ou telle façon. Pourquoi, par exemple, le mot « pomme » s’écrit-il avec deux m ou un seul ? C’est bien souvent un mystère !
TIC et orthographe Le projet! Vous trouverez sur ce site le résultat du projet pédagogique (un peu fou!) de Mélanie Fortin et Laury Bédard, chargées de cours à l'Université de Montréal et de tous les étudiants du Baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement au primaire inscrits au cours PPA3111: Intégration des TIC 2 à l'automne 2014. Un programme d’entrainement à l’orthographe lexicale L’orthographe lexicale, c’est la façon d’écrire les mots comme dans le dictionnaire, selon la norme établie (comparativement à l’orthographe grammaticale qui consiste à accorder les mots à l’intérieur d’une phrase ou d’un texte). En français, l’apprentissage de l’orthographe lexicale constitue un défi de taille. Pour être en mesure d’enseigner efficacement cet objet d’apprentissage, il importe de demeurer à l’affut des pratiques d’enseignement ayant fait leurs preuves du côté de la recherche. L’enseignement de l’orthographe Pour enseigner aux élèves à écrire, l’une des méthodes (essentielle) consiste à leur faire prendre conscience des propriétés phonologiques des mots, c’est-à-dire des sons qui composent les mots (ex. : on entend quatre sons dans le mot « bateau » : /b/, /a/, /t/ et /eau/). Les élèves établissent ainsi un lien entre les sons qu’ils entendent lorsqu’ils prononcent un mot et les lettres utilisées pour transposer ces sons par écrit.
La littérature pour travailler la syntaxe au primaire Sujet, prédicat, complément de phrase, phrase de base, phrases transformées, manipulations syntaxiques : voilà des concepts abstraits à première vue, qui sont pourtant au cœur de l’enseignement grammatical prévu dans le programme du primaire. Est-il possible de les travailler au service de la compétence à écrire des élèves, d’une manière qui soutienne également leur motivation pour l’apprentissage de la littératie? Par Pascale Lefrançois, professeure à l’Université de Montréal. C’est ce que suggère une recherche collaborative dirigée par Pascale Lefrançois, avec la commission scolaire Marie-Victorin, dans le cadre du Programme de recherche sur l’écriture et la lecture (PREL) mis en place par le MELS et le FRQSC. [Résumé du rapport] France 3 Rhône-Alpes - Les «troubles Spécifiques des Apprentissages» avec le docteur Revol Le Dr Olivier Revol, chef du service de neuropsychiatrie de l’enfant à l’Hôpital neurologique au CHU de Lyon, fut l'un des premiers pédopsychiatres à travailler sur les «troubles Spécifiques des Apprentissages». La voix est libre fait le point Samedi 16 mai à 11h30. Par Kathleen Garon Publié le 12/05/2015 | 17:27 , mis à jour le 13/05/2015 | 16:52 © Max PPP Docteur Revol, chef du service de neuropsychiatrie de l’enfant à l’Hôpital neurologique au CHU de Lyon - Montpellier mars 2015 Le Dr Olivier Revol est chef du service de neuropsychiatrie de l’enfant à l’Hôpital neurologique au CHU de Lyon. Il est un des tout premiers pédopsychiatres à s’être consacrés aux enfants souffrants de «troubles Spécifiques des Apprentissages», les fameux «Dys», les «Haut Potentiel Intellectuel» (les précoces) et les TDA-H (les hyperactifs).
Comment utiliser l'orthographe illustrée pour éviter les fautes ? - Atoutecrire L'orthographe illustrée est une technique utilisée par beaucoup d'enseignants pour favoriser la mémorisation de vocabulaire chez les enfants. Elle est également appréciée pour les enfants, voire adultes qui seraient dyslexiques ou touchés par la dysorthographie. Les dessins peuvent également être utilisés pour améliorer l'apprentissage de la langue française. Il faut bien comprendre qu'il s'agit d'une méthode et que la personne qui souhaite la mettre en place pour elle-même ou pour un enfant devra, par elle-même créer ses propres dessins, ou amener l'enfant à le faire.
Utiliser la morphologie dérivationnelle comme stratégie pour lire et écrire (première partie) S’appuyer sur la morphologie dérivationnelle pour lire et écrire a plusieurs effets positifs. Le présent billet explique ce qu’est la morphologie dérivationnelle, et présente son utilité et les types de connaissances qu’elle regroupe. La semaine prochaine, en plus de souligner l’importance de développer ces connaissances chez les élèves, surtout ceux en difficulté, un second billet proposera quelques pistes didactiques pour les enseigner. La morphologie dérivationnelle
60 dessins pour aider les enfants à faire moins de fautes Après le premier et le second volume de « 99 dessins pour ne plus faire de fautes », l’amie Sandrine Campese est de retour avec le livre « Un petit dessin vaut mieux qu’une grande leçon ». 60 dessins destinés aux plus jeunes pour les aider à apprendre des mots parfois difficiles. Pour en savoir plus, cliquez ici : Vers la créativité : miser sur les compétences des élèves pour déborder du pr... Permettre aux élèves d’exprimer leur créativité est un des buts de la formation au collège. Il s’agit bien plus de les accompagner dans leur développement cognitif que de les contraindre à obéir et à exécuter. Dans toutes les disciplines. Quelque soit le niveau ou les possibilités de chaque élève. La créativité apparait dans le dernier niveau de la taxonomie de Bloom révisée par Lorin Anderson. Cette même créativité est défendue par Ken Robinson.
Hyperactivité : se tortiller aide l'apprentissage « Assis toi bien et concentre-toi! » Voilà ce que répètent désespérément depuis plusieurs décennies parents et enseignants frustrés aux enfants ayant un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH). Une nouvelle étude est susceptible de venir changer ce discours. Mark Rapport, à la tête de la Children’s Learning Clinic à l’University of Central Florida, s’intéresse aux mouvements excessifs caractéristiques des enfants hyperactifs. Utiliser la morphologie dérivationnelle comme stratégie pour lire et écrire (deuxième partie) La semaine dernière, un premier billet abordait la morphologie dérivationnelle et plus particulièrement les connaissances relationnelles, syntaxiques et distributionnelles. Ces connaissances sont associées à différents niveaux de complexité et de compréhension de la structure morphologique des mots. Comme une grande majorité (80 %) des mots sont constitués de plusieurs morphèmes (Rey-Deboves, 1984), ces connaissances sont importantes pour lire et pour écrire.