L’agriculture biologique et l’environnement. Ce billet à été posté en anglais par Steven Novella sur le blog sceptique Science-Based Medicine le 25 mai 2017.
Le marketing implique parfois des connaissances scientifiques utiles à vous faire croire des choses fausses avec le but spécifique de vous vendre quelque chose, qu’il s’agisse d’un produit, d’un service, ou même d’une idéologie. Le lobby bio, par exemple, s’est très bien débrouillé pour créer un effet halo positif autour de lui sur des questions de santé et d’environnement pour les produits bio qu’il commercialise, tout en discréditant ses concurrents (ces dernières années, cela à surtout concerné les OGM).
Cependant, ces allégations concernant la santé et l’environnement sont toutes démonstrativement fausses. Les aliments bio ne sont ni meilleurs pour la santé, ni plus nutritifs que les aliments non bio. De plus, la technologie OGM est globalement sûre et il n’y a pas de risques connus pour la santé concernant les aliments OGM actuellement commercialisés. Conclusion WordPress: La composition des shampoings – Camille_Caterpi. Onzième article sur la composition des cosmétiques !
J’ai déjà fait un article sur la composition des dentifrices, des gels douche, des déodorants, des crèmes solaire, des crèmes pour le visage, des crèmes pour les mains, des eaux micellaires, des exfoliants pour le visage et le corps, des baumes à lèvres et des masques pour le visage (Lien). Aujourd’hui nous allons parler des shampoings, c’est un produit que tout le monde utilise, sauf peut-être les personnes qui n’ont plus de cheveux. Plan de l’article : Première partie, les 4 shampoings que j’ai testés pour l’article.Deuxième partie, les shampoings présentés dans le livre INCI Beauty + les shampoings que je vous présente.Troisième partie, les ingrédients + fiches à avoir dans son téléphone pour quand on choisit un shampoing.Quatrième partie, les shampoings bio sont-ils vraiment bio ?
Cinquième partie, ma conclusion les shampoings que je rachèterai, ceux que je ne rachèterai pas. Shampoing volume et brillance – Attitude Format : Flacon. Additifs alimentaires : faut-il faire peur pour vendre des produits bio ? Le syndicat des entreprises de la bio a financé une publicité énumérant 250 additifs chimiques « à éviter ».
Cette liste comprend pourtant des substances parfaitement naturelles comme des extraits de plantes ou des vitamines. Le syndicat se défend d'attiser la psychose ambiante autour de l'alimentation. Ces dernières semaines, de larges encarts publicitaires se sont étalés dans les grands journaux mettant en garde contre les additifs alimentaires. On peut y lire en gros titre « Pour mieux manger, apprenez cette liste par cœur ». S'ensuit une liste de 250 additifs « à éviter » et une conclusion : « Sinon, il y a la bio. Vitamine B2, antioxydants et acides aminés La liste en question est celle des additifs non autorisés dans la culture bio. Des molécules chimiques mais identiques aux molécules naturelles Autant de produits notés en vert (jugés sans risque avéré) par l'association de consommateurs Que Choisir.
Les dégâts méconnus de la bouillie bordelaise. Malgré son origine naturelle et son utilisation en agriculture bio, le cuivre utilisé pour combattre le mildiou se révèle toxique et polluant. iStock/redstallion Le cuivre est le principal fongicide autorisé dans l’agriculture biologique.
Les jardiniers amateurs l’emploient de longue date sous la forme d’un mélange en poudre à diluer, appelé « bouillie bordelaise ». Le cuivre est très efficace pour traiter le mildiou de la vigne, de la pomme de terre et la tavelure, un champignon qui provoque des taches noires et le pourrissement des pommes. Lorsque les conditions climatiques sont favorables au développement de ces deux maladies (temps doux ou humide), les agriculteurs sont contraints d’appliquer dix à quinze traitements par an. Élimination des vers de terre. L'agriculture bio utilise-t-elle des pesticides ? « Pesticides : opération désintox », épisode 4.
A l’occasion de la consultation publique lancée par le gouvernement sur les distances à respecter entre les habitations et les zones d’épandage de pesticides, Emmanuelle Ducros lance une série pour dissiper les peurs sur ce sujet ô combien passionnel Une légende tenace et bien entretenue veut que le bio soit une forme d’agriculture qui n’utilise pas de pesticides ou de produits phytosanitaires. Le diable est dans les détails. L’agriculture biologique n’utilise pas de pesticides de synthèse ou chimiques. Mais elle utilise des pesticides qualifiés de naturels.
La nature nous a donné les amanites phalloïdes, la ciguë ou le curare. Agriculture « BIO » : tromperies subventionnées. IREF - Institut de Recherches Économiques et Fiscales Pour la liberté économique et la concurrence fiscale Le « bio » a conquis l’assiette de nombreux Français et témoigne de préoccupations alimentaires légitimes de la population.
Dans ce nouveau rapport, l’IREF analyse les prétendues vertus de cette consommation et montre, littérature scientifique à l’appui, que l’agriculture dite « biologique » ne tient pas ses promesses. L’IREF propose d’abandonner l’interventionnisme massif et coûteux de l’État en faveur de cette pratique pour permettre le libre choix alimentaire des consommateurs.
Résumé • Avec 8 milliards d’euros de chiffre d’affaires, le « bio » a conquis l’assiette de nombreux Français. Pourtant, la littérature scientifique ne permet pas de prouver la supériorité de l’agriculture dite « biologique » (AB) sur l’agriculture conventionnelle (AC), que ce soit sur les plans sanitaires, nutritionnels, organoleptiques et environnementaux Introduction 1. (Agence BIO, 2018) 1.1.