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General aspects / Aspects généraux

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Britain and Brussels must compromise and find mutual advantage. This op-ed is part of the FT’s Future of Britain Project. We are inviting readers, commentators and thought leaders to brainstorm ideas for the future of Britain after Brexit. This piece is in response to the first topic: What would be the best relationship for Britain with the EU? For an alternative view, Gisela Stuart MP, chair of Change Britain, outlines her vision for the UK. Submit your own idea here. Sample the FT’s top stories for a week You select the topic, we deliver the news. In Tokyo last week, I found that Japanese officials had discovered a new English phrase: “hard Brexit”. The Japanese and other foreign investors are understandably amazed that the British seem to be opting for the most economically damaging version of Brexit — one that prioritises control of immigration over single market access.

With intelligence and flexibility in both London and Brussels, it is still possible to find a new relationship that works for both sides. Gideon.rachman@ft.com. The Observer view on parliament’s role in deciding the nature of Brexit | Observer editorial | Opinion. It was the week when the fight back against hard Tory Brexit finally began. And the loud squeals of outrage and surprise from startled ministers, sneering pundits and the lie factories of Fleet Street could be heard as far away as Brussels. Having won the vote, Tory Brexiters thought they had won the wider argument. They thought they could make Brexit mean whatever they wanted it to mean. They claimed an overreaching mandate they do not possess.

The good news of the past few days is that they have not succeeded. Theresa May and allies such as David Davis and Liam Fox say our elected parliament, the ultimate embodiment of British sovereignty, does not have the right to vote on when Article 50, triggering formal exit negotiations, is invoked. Answer: the terms on which Britain ultimately leaves, when finally negotiated and agreed by, say, 2019. It might be news to the buccaneering hard Brexiters that that is not how things are going to play out. Theresa May face au casse-tête politico-juridique du Brexit. La justice britannique doit dire si le Parlement peut se prononcer sur l’activation de l’article 50 du traité de Lisbonne, qui ouvre les négociations de rupture avec l’UE. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Philippe Bernard (Londres, correspondant) Avant d’affronter ses pairs européens, Theresa May doit batailler avec certains de ses propres députés, tout en essayant de calmer les dissensions au sein de son gouvernement.

Alors que la première ministre britannique a exigé un silence absolu sur les discussions à propos du Brexit, les désaccords de ses ministres font les titres des journaux. Réponse du berger à la bergère, un article anti-Brexit inédit, rédigé par M. Johnson deux jours avant qu’il prenne la tête de la campagne inverse, a été publié par le Sunday Times du 16 octobre. M. Le Brexit, bonne nouvelle pour la Russie et grosse migraine pour l’Otan. Depuis des années, le Kremlin cherche à fissurer l’Otan et l’Union européenne, sans grand succès. Avec le résultat du référendum britannique et Londres qui perd de fait de son influence au sein de l’UE, le désir de Poutine de voir l’Europe plus divisée et potentiellement plus préoccupée par ses propres désaccords que par le reste du monde devient réalité. «La vodka coule à flot au Kremlin ces jours-ci», déclare Derek Chollet, ancien conseiller principal du Département américain de la défense.

«Le plus déprimant, c’est que l’erreur est parfaitement spontanée, ajoute Derek Chollet, qui travaille désormais au German Marshall Fund of the United States. Poutine a tout fait pour diviser l’Occident, mais sans y parvenir. [Le Brexit] l’avantage, sans qu’il n’ait rien eu à faire.» Statut altéré L’importance de la Grande-Bretagne dans l’Otan est en partie liée à sa capacité d’influer sur les politiques sécuritaires de l’Europe et de convaincre d’autres membres de l’UE de soutenir Washington. L'Écosse après le Brexit : l'implosion du Royaume-Uni est un scénario vraisemblable.

Nicola Sturgeon, la Première ministre écossaise à Bruxelles le 29 juin 2016 (G. Van Der Hasselt/SIPA). À l’heure actuelle, l’Écosse n’est pas en position de rejoindre l’Union européenne en tant que telle, parce que l’UE n’accepte en son sein que les États. Or jusqu’à preuve du contraire, l’Écosse fait partie de l’État britannique. Des mouvements régionaux qui effraient certains membres de l’UE De la visite de Nicola Sturgeon à Bruxelles le 29 juin, il ressort une écoute, mais pas vraiment de signes positifs de la part de l’UE. Par rapport au référendum de septembre 2014 sur l’indépendance, le climat sociopolitique a complètement changé. 3 arguments de 2014 qui n’ont plus trait aujourd’hui Le premier argument auquel les unionistes avaient eu recours lors de la campagne référendaire portait sur l’adhésion de l’Écosse à l’UE.

Le deuxième argument portait sur la question de la monnaie. Un "véto" écossais, inconstitutionnel au Royaume-Uni Nicola Sturgeon, au-dessus du chaos. Brexit might undermine Europe’s democratic order. U.S. Ambassador Joseph Kennedy, left, with British Prime Minister Winston Churchill outside 10 Downing Street in London on Oct. 17, 1940. (AP) Since Britain voted to leave the European Union, there has been much discussion of Brexit’s economic and financial implications as well as its political consequences for Britain. What will happen to Labour and the Conservatives? Does this mean the end of the United Kingdom? [The E.U. may be unraveling after Brexit] Less thought, however, has been given to Brexit’s effect on the future of democracy in Europe. It is easy to forget that democracy in Europe is a relatively recent development. Domestically, Europeans built a new type of political economy designed to ensure economic growth while also protecting societies from capitalism’s most destructive and destabilizing tendencies.

Supporting democracy was a key motivation for the project of European integration, which led to the E.U. Initially, this postwar order worked remarkably well. Politics true. En Irlande du Nord, le Brexit vu comme "une bombe posée sur le processus de paix" C'est l'affiche de l'année en Irlande du Nord. Pour la première fois de son histoire, samedi 25 juin, l'équipe nationale dispute un huitième de finale de l'Euro de football, face au pays de Galles. En France, les supporters qui ont fait le déplacement donnent de la voix dans les tribunes du Parc des princes.

A Belfast, des milliers de fans entonnent le chant Will Grigg's on Fire. A Crossmaglen, un village situé à moins de trois kilomètres de la frontière avec l'Irlande, le Keenan's Bar diffuse le match... devant un seul client. "Ah bon, c'est en ce moment ? A Crossmaglen, 95% de la population se définit comme catholique. Contrairement aux habitants de la République d'Irlande, ceux d'Irlande du Nord ont pris part, jeudi dernier, au référendum sur l'avenir du Royaume-Uni dans l'Union européenne. Après la stupeur, l'heure est désormais à l'inquiétude.

Qui sait ce que cela va changer ? "Les hélicos volaient en rase-mote au-dessus des toits, raconte Peter Byrne, 33 ans. Is Brexit the start of a new war against globalization? Photo illustration by Laruen Cattermole and Richard Redditt, Reuters The promised Elvis impersonator never showed up, but the bar was free and the mood triumphant. Up on the 29th floor of London’s Millbank Tower, overlooking the Thames and the Houses of Parliament, they wore party hats and Union Jack wristbands, and toasted Britain’s decision to leave the European Union with sparkling wine from Italy. The evening, hosted by the Leave.EU campaign, had started as a wake.

Faced with an avalanche of last-minute opinion surveys predicting a comfortable victory for the Remain side, both the Conservatives’ Boris Johnson and Nigel Farage, the leader of the UK Independence Party, expressed their pessimism and regret as the polls closed. But as the count dragged on into the early hours of the next morning, the number of votes for Leave slowly caught up to the Remain total, and then began to pull away.

By the time dawn broke, the British pound was trading at a 31-year low. He was not alone. Quel leadership pour l'Allemagne dans une Europe post-Brexit ? « La France a tout à gagner à traiter le Royaume-Uni avec respect, sans esprit de “punition” » Par Pierre Razoux, directeur de recherche à l’Institut de recherches stratégiques de l’Ecole militaire Contrairement à une idée répandue, le Brexit – la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE) – n’est pas de bon augure pour la France, car ses conséquences stratégiques risquent de placer celle-ci dans une position délicate. Certes, les Britanniques ont souvent joué un double jeu au sein de l’UE, attisant la frustration des avocats d’une Europe plus intégrée tout en freinant les ambitions de la politique européenne de sécurité et de défense commune (PESDC).

Mais leur départ annoncé a deux conséquences directes. Tout d’abord, il démonétise la PESDC, car, sans le Royaume-Uni, celle-ci perd un acteur incontournable que la présence active de la France, la seule à garantir une forme de réassurance tout en étant capable d’agir sur la totalité du spectre militaire, ne suffira pas à compenser. Face à face complexe avec Berlin La question de la dissuasion nucléaire Moscou se réjouit du Brexit. Brexit : « Le fantôme de l’Europe que fuit la Grande-Bretagne » LE MONDE | | Par Alain Trannoy (Directeur d’études à l’EHESS et Aix-Marseille School of Economics) Par Alain Trannoy, directeur d’études à l’EHESS et Aix-Marseille School of Economics Au fond, la sortie de la Grande-Bretagne n’est qu’une demi-surprise à la lumière de cette réflexion de Raymond Aron si on accepte de prolonger sa période de validité : « ceux qui croient que les peuples suivront leurs intérêts et non leurs passions n’ont rien compris au XXe siècle ».

A l’heure où le discours en France sur une relance de l’intégration européenne refait surface avec insistance, il faudrait de ce côté du Rhin chercher à comprendre les motivations actuelles des dirigeants allemands. Aucune passion nationaliste ni européaniste ne les agite. Pourquoi renonceraient-ils à cette hégémonie, pourquoi l’Allemagne accepterait-elle de renoncer à des attributs de puissance qui lui permette d’imposer ses choix économiques au reste de l’Europe ? Sept exemples Simple propos grossièrement antigermanique ? Pourquoi le Royaume-Uni a une Première ministre qui veut rester dans l’Union européenne. Mercredi, David Cameron franchira le portail en fer finement ciselé du 10 Downing Street pour un dernier adieu.

Il cédera alors son poste de Premier ministre à Theresa May, une députée souvent associée au camp des eurosceptiques, mais qui s’est néanmoins exprimée pendant la campagne référendaire contre le Brexit. Ce qui aboutit à ce paradoxe, remarqué par la radio américaine NPR: «C’est de l’humour anglais: le Royaume-Uni s’apprête à avoir une nouvelle Première ministre qui a voté pour que le pays reste dans l’Union européenne.» Plusieurs raisons à cela. Il y a d’abord la débandade du plus saillant des tenants du Brexit, Boris Johnson, qui a décliné la fonction. «Il n’y a pas d’alternative au Brexit» Andrea Leadsom avait été très critiquée pour avoir affirmé qu’être mère lui donnait un «avantage» sur sa concurrente, qui n’a pas d’enfants. Theresa May l’a déjà promis: «Il n’y a pas d’alternative au Brexit. Brexit : Theresa May, l'arme anti-Boris Johnson des conservateurs. [EDIT Jeudi 30 juin] Boris Johnson se défile A peine lancée, la course à la succession de David Cameron a viré au drame shakespearien ce jeudi avec la décision de Boris Johnson, le leader du camp du Brexit, de ne pas briguer le poste de Premier ministre.

Ce coup de théâtre, qui s'apparente à un refus d'obstacle, redistribue complètement les cartes au sein du parti conservateur et laisse entier le suspense sur la façon dont les négociations de sortie de l'Union européenne vont être menées. La ministre de l'Intérieur Theresa May, et le ministre de la Justice Michael Gove (dont la candidature surprise ce jeudi matin a été perçue comme une trahison par "BoJo"), sont désormais les favoris pour s'installer au 10, Downing Street le 9 septembre. >> Boris Johnson, David Cameron, Jeremy Corbyn… Après le Brexit, tous aux abris !

Et si le prochain Premier ministre du Royaume-Uni était... un anti-Brexit ? Oui mais voilà, "BoJo" n'inspire pas confiance à ses pairs. Johnson n'inspire pas confiance. Brexit might undermine Europe’s democratic order. Brexit : « la désintégration » de l’Union européenne « est une possibilité » LE MONDE | • Mis à jour le | Par Ivan Krastev (Politologue bulgare) Par Ivan Krastev, politologue bulgare Au début du roman de José Saramago Le Radeau de pierre (Seuil, 1990), une rivière coulant depuis la France vers l’Espagne disparaît soudain dans les profondeurs du sol, puis toute la péninsule Ibérique se sépare de l’Europe et se met à dériver vers l’Ouest dans l’océan Atlantique. A la fin du livre, l’Espagne et le Portugal se stabilisent à mi-chemin entre l’Amérique centrale et l’Afrique, tandis que, dans toute l’Europe, des heurts sanglants opposent la police à des jeunes qui scandent le slogan « Nous sommes tous des Ibériques !

» C’est là la description la plus précise qui soit de la désintégration de l’Europe telle que nous la connaissions avant le 23 juin, le jour où le Royaume-Uni a voté en faveur de la sortie de l’Union européenne (UE). Désormais, grâce au vote des Britanniques, nous devons prendre en compte le fait que la désintégration est une possibilité. Brexit : le Royaume Uni aurait-il renoncé à toute stratégie de puissance ? Atlantico : Tout juste nommée au poste de Premier ministre, Theresa May a désigné plusieurs partisans du Brexit à des postes clés du gouvernement.

Ainsi Boris Johnson, ancien maire de Londres, sera en charge des Affaires étrangères, alors que David Davis s'occupera des négociations de sortie de l'Union européenne. Les Etats-Unis comptaient sur le Royaume-Unis pour relayer la défense de leurs intérêts jusqu'en Europe. Pensez-vous que le Royaume-Uni sorte affaibli du Brexit sur le plan des relations internationales ? Quelles en seront les conséquences concrètement ? François Géré : La sortie de l’UE s’explique par l’exaspération d’une partie du peuple anglais à l’égard de l’opacité d’une bureaucratie européenne. Cameron voulait aménager cette situation sans rupture. Il y a aussi tout lieu de penser que Madame May prendra personnellement en mains la relation "spéciale" avec les Etats-Unis de manière à atténuer la grande déception américaine qui perd un atout important au sein de l’UE. Comment: Data protection in a post-Brexit world. Exit, voice, and loyalty: Lessons from Brexit for global governance | Brookings Institution.

Economist Albert Hirschman’s marvelously perceptive little book with big ideas written in 1970 titled “Exit, Voice and Loyalty: Responses to Decline in Firms, Organizations and States” provides a cornucopia of insights into understanding Brexit and the current state of global governance. When it emerged American economist Kenneth Arrow marveled at its extraordinary richness, and political scientist Karl Deutsch, in his presidential address to the American Political Science Association, called it an “outstanding contribution to political theory.”

Economists assume exit to mean dissatisfaction with an organization’s product or the service leading to decline in demand for it. The value of exit lies in the certainty it provides in terms of the relationship between the customer or member and the firm. Political scientists think of how a firm handles its response to customer dissatisfaction as the exercise of voice by stakeholders. Lessons for global governance?