Guide pratique des biais cognitifs. Neurosciences et éducation : la bataille des cerveaux. Gaussel Marie & Reverdy Catherine (2013).
Neurosciences et éducation : la bataille des cerveaux. Dossier d’actualité Veille et Analyses IFÉ, n° 86, septembre. Lyon : ENS de Lyon. Disponible au format PDF : 86-septembre-2013. Brain Games. Le cerveau à tous les niveaux. GoCognitive : free educational tools for cognitive neuroscience. Apprendre et réussir (1): comprendre sa mémoire. NEUROEDUCATION 78 ressources DSDEN des Yvelines. Enseigner/former/accompagner.
EBEP / Inclusion / Différenciation péda, gestion de l'hétérogénéité... APPRENDRE ET REUSSIR. ApprendreViteEtBien. Mon Cerveau à l'école. Les écrans, le cerveau et... l'enfant. Congrès international « Les sciences cognitives dans la salle de classe » Congrès international « Les sciences cognitives dans la salle de classe » Les vidéos du Congrès international « Les sciences cognitives dans la salle de classe » 28 et 29 mars 2019 – Palais de l’UNESCO Conseil scientifique de l’Education Nationale.
Cerveau, apprentissage et enseignement : Mieux connaître le cerveau peut-il nous aider à mieux enseigner ? Il y a quelques années, la pertinence de s’intéresser au cerveau en éducation était plutôt limitée.
Intuitivement, les chercheurs, les enseignants et les autres intervenants du milieu de l’éducation se doutaient bien de l’existence d’un lien important et profond entre le cerveau et les apprentissages scolaires. Cependant, ce lien n’était ni clair ni appuyé sur des connaissances scientifiques solides, ce qui rendait les retombées éducatives des recherches sur le cerveau somme toute peu nombreuses et fragiles. Aujourd’hui, par contre, grâce aux avancées considérables de l’imagerie cérébrale et des neurosciences en général, cette situation a considérablement changé. Dans cet article, nous présentons trois grandes découvertes qui permettent non seulement d’établir des ponts plus solides entre le cerveau et l’éducation, mais aussi d’appuyer l’hypothèse selon laquelle mieux connaître le cerveau des élèves peut nous aider à mieux leur enseigner. Mieux connaître le cerveau pour mieux enseigner.
Association pour la recherche en neuro-éducation : Conférences / Videos. Fondements cognitifs des apprentissages scolaires - Cours de Stanislas Dehaene au Collège de France. Le cours 2014 a été consacré aux liens qu’entretiennent ou que devraient entretenir les sciences cognitives avec les sciences de l’éducation. Ces liens sont nombreux et réciproques. Comprendre comment l’éducation parvient à transformer le cerveau humain est l’un des grands problèmes ouverts en neurosciences cognitives, qui soulève de nombreuses questions passionnantes : comment les apprentissages scolaires (langues première et seconde, lecture, écriture, mathématiques) s’inscrivent-ils dans les circuits de notre cerveau ? Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene. L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre.
Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale.
Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Comprendre, apprendre, mémoriser. Les neurosciences au service de la pédagogie. Joseph Stordeur, chercheur belge, commence par expliquer la différence, en termes de processus biologiques sous-jacents, entre comprendre, apprendre et mémoriser.
Les stimulations sensorielles provoquent la circulation à travers les neurones d’un influx électrique et l’ouverture des canaux à sodium. Il s’agit d’une réaction rapide et éphémère de compréhension immédiate qui entraine, au mieux, un effet d’amorçage qui facilitera l’action des neurotransmetteurs lors des prochaines sollicitations. Par contre, des stimulations intenses et répétées permettent l’apprentissage, en entrainant l’ouverture des canaux à calcium.
Cette réaction chimique laisse des traces mnésiques, crée de nouvelles connexions, des schémas neuronaux spécifiques. Pr une éducation cognitive autour de l'erreur à l'école ! Quelle place pour la programmation ? Michèle Drechsler, Inspectrice chargée de mission pré-élémentaire, 01 Juillet 2011 Programmer, « déboguer » .
Pour une éducation cognitive autour de l erreur à l école ! 1. L erreur au centre du processus d'apprentissage. Zone proximale de développement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Diagramme représentant la notion de zone de prochain développement vers laquelle un sujet peut se tourner pour accroître son action sur le monde, grandir, apprendre. La zone proximale de développement (ZPD), aussi traduit par « zone de proche développement » ou « zone de développement prochain » dans les traductions les plus récentes, est un concept issu du travail de Lev Vygotski sur le développement précoce de l’enfant. Cette théorie suggère que les enfants sont aptes à mieux apprendre les problèmes et à s'améliorer davantage autour d'un enfant plus expérimenté, d'un parent ou d'un enseignant, plutôt que d'un enfant à leur niveau cognitif. Cela encourage donc l'apprentissage en milieu scolaire à ce stade de la vie. La zone proximale de développement augmente nettement le potentiel d'un enfant à apprendre plus efficacement[1]. Au départ, cette ZPD concernait les enfants handicapés mentaux, avec lesquels Vygotski a travaillé.
Zone proximale de développement et notion d’étayage - THESE. Le stage est une expérience pour l’élève.
Si nous nous penchons sur le sens donné et l’étymologie du mot expérience, nous trouvons qu’il est emprunté du latin experientia, dérivé de experiri, qui signifie « faire l'essai de ». Étayage. La notion d'étayage renvoie à la théorie de l'américain Jérome Bruner et à l'intervention de l'adulte dans l'apprentissage de l'enfant.
L’étayage, lié au concept de "zone proximale de développement"1 , est défini comme "l’ensemble des interactions d’assistance de l’adulte permettant à l’enfant d’apprendre à organiser ses conduites afin de pouvoir résoudre seul un problème qu’il ne savait pas résoudre au départ. "2 J. La pyramide des besoins de Maslow d’un point de vue pédagogique. Le psychologue Abraham Maslow a établi une hiérarchie des besoins en faisant des recherches sur la motivation. Il a ainsi réalisé, dans les années 1940, la pyramide des besoins. Le fonctionnement doit être perçu tel un escalier. L’individu doit satisfaire les besoins qui sont à la base afin de pouvoir réaliser ceux qui sont au niveau supérieur. Le plus haut niveau étant le besoin de s’épanouir.
Voici l’explication de chacun des niveaux. A. H. Maslow (1943) A Theory of Human Motivation. Classics in the History of Psychology.
ApprendreEtEnseignerAvecLesSciencesCognitives - s/YouTube. Le cerveau et la neuro-pédagogie digitale - Partie I. Le cerveau une anomalie dans l’univers Une incroyable nature humaine L’étude du cerveau est ancienne et beaucoup de connaissances anatomiques ont été accumulées grâce à la dissection (aire de Broca, ou cerveau triunique de Mc Lean avec un cerveau organisé en cortex limbique et reptilien) : Cortex : fonctions nerveuses élaborées : sensorielles, langage action motricité mémoire;Système limbique (hippocampe, amygdale, circonvolution, hypotalamus) (limbé = frontière) : interface entre vie cognitive et vie végétative, siège des émotions;Cervelet : contrôle moteur, peur – plaisir – attention et langage;Tronc cérébral : participe du système nerveux central en continuité de la moelle épinière. Le cerveau connaît un regain d’intérêt avec les scanners et l’imagerie médicale.
Partie II - Le cerveau et la neuro-pédagogie digitale. Suite le partie 1 ... La mémorisation Il existe plusieurs fonctionnements repérables de la mémoire. Taxonomie de Bloom. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La roue de la taxonomie de Bloom. La taxonomie de Bloom est un modèle de la pédagogie proposant une classification des niveaux d'acquisition des compétences[1].
Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Wiki-TEDia : Wiki sur l'approche cognitive de l'enseignement et de l'apprentissage. Posters : les fonctions cognitives mobilisées durant la lecture. Théorie de Jauss : concept d'horizon d'attente du lecteur.