Chine : une vidéo relance l’inquiétude sur les Ouïghours.
Diffamation et liberté d'expression - Veille E-réputation. A l’origine, l’information était le monopole des médias, de la presse écrite, du journal télévisé.
Mais depuis l’émergence d’Internet, tout le monde peut donner son avis, informer le public. On critique tel restaurant où l’on a été dîné, ou tel article que l’on a lu. On conseille telle marque plutôt que celle-ci qui ne vaut plus grand chose… On écrit sur la toile ce que l’on dirait entre amis, sans vraiment se rendre compte que nos propos peuvent entrainer des conséquences.
Or, là où le professionnel doit vérifier ses sources, a une véritable déontologie, qu’en est-il d’une personne lambda écrivant sur un site, un forum ou un blog ? Peut-on donner son opinion comme on le fait autour d’un café ou risque-t-on d’être poursuivi pour diffamation ? La protection de la liberté d’expression Concernant la liberté d’expression, elle est garantie à différents niveaux. D’autre part, elle est protégée par l’article 10 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, qui dispose : Conclusion. L’affaire Mila expliquée : insultes contre l’islam, menaces contre une lycéenne et réaction politique « maladroite » Cela aurait pu rester une vidéo en live postée par une adolescente sur Instagram un samedi.
C’est devenu ce que l’on appelle désormais « l’affaire Mila ». Cette lycéenne homosexuelle aux cheveux mauves a été insultée et menacée de mort, pour avoir tenu, le 18 janvier en live sur Instagram, des propos insultants envers l’islam. La première enquête ouverte, du chef de « provocation à la haine à l’égard d’un groupe de personnes, à raison de leur appartenance à une race ou une religion déterminée », vient d’être classée sans suite par le parquet de Vienne. « L’affaire Mila porte aussi un enjeu autour de la liberté d’expression et de création » Chronique.
Pour avoir insulté l’islam sur son compte Instagram, une lycéenne de 16 ans, en Isère, est traînée dans la boue, on lui souhaite de brûler en enfer, elle est menacée de mort, de viol, d’égorgement, ses données personnelles sont dévoilées, le nom de son lycée aussi. Elle s’appelle Mila. Elle voulait partager sa passion pour le chant, elle récolte la haine. Cette histoire porte un autre enjeu, autour de la liberté d’expression et de création. Affaire Mila : non, Nicole Belloubet, "l'insulte à la religion" n'est pas "une atteinte à la liberté de conscience" L’affaire Mila, une défaite pour la République. Mila, une jeune fille de 16 ans, a été harcelée par des menaces de violences et de mort parce qu’elle a critiqué l’islam.
C’est inacceptable mais aussi très inquiétant. Les jeunes qui ont proféré ces menaces sont des Français. De jeunes Français pensent donc que l’islam, leur religion, prime sur les valeurs et les lois de la République qui garantissent la liberté de s’exprimer et de blasphémer. En appelant à la violence et au meurtre, ils veulent se faire justice eux-mêmes et ainsi se substituer au droit. Le problème est plus grave encore étant donné que des non musulmans trouvent que Mila mérite ce qui lui arrive, car elle a provoqué par ses propos. Quand bien même Mila aurait commis une erreur ou offusqué certains, dans une société civilisée les individus ne punissent pas les autres individus.
Dans une société, les individus n’ont jamais tous les mêmes goûts, les mêmes intérêts, les mêmes convictions ni les mêmes idées. La réédition des caricatures de Mahomet par « Charlie Hebdo » provoque une manifestation au Pakistan. Ils étaient une centaine, jeudi 3 septembre à Muzaffarabad, capitale du Cachemire sous contrôle pakistanais, à protester contre la dernière « une » de Charlie Hebdo, qui a choisi de republier, à l’occasion de l’ouverture du procès des attentats djihadistes de janvier 2015, plusieurs caricatures du prophète Mahomet qui avaient fait de l’hebdomadaire satirique une cible des djihadistes depuis 2006.
Les protestataires se sont rassemblés dans la ville, hurlant des slogans tels que « Cessez d’aboyer, chiens français », ou encore « Stop Charlie Hebdo ». La manifestation s’est achevée sans violence, après qu’un drapeau tricolore a été piétiné, puis incendié. Affaire Mila: entre liberté d'expression et crainte d'une "mise à l'index" des musulmans. Paris (AFP) - Le président du CFCM Mohammed Moussaoui a assuré jeudi accepter la critique de l'islam tout en déplorant qu'elle serve souvent de "paravent" à la stigmatisation des musulmans, nouvelle illustration du débat brûlant sur la liberté d'expression relancé par l'affaire Mila.
Cette lycéenne iséroise a été menacée de viol et de mort il y a plus de deux semaines, après avoir critiqué avec virulence l'islam dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, en réponse à des insultes homophobes notamment. Caricatures de Mahomet du journal Jyllands-Posten. Les « caricatures de Mahomet » sont les caricatures de douze dessinateurs parues le 30 septembre 2005 dans le quotidien danois Jyllands-Posten, en réponse à Kåre Bluitgen, un écrivain se plaignant que personne n'ose illustrer son livre sur Mahomet depuis l'assassinat de Theo van Gogh aux Pays-Bas le 2 novembre 2004.
L'un des douze dessinateurs, Lars Refn, déclare rapidement que le journal Jyllands-Posten « voulait dès le départ uniquement provoquer »[1]. Le 14 octobre, deux semaines après la parution, plusieurs milliers de musulmans manifestent à Copenhague[1]. Le lendemain, un homme de 17 ans est interpellé dans la ville où se situe le siège du journal, pour avoir proféré des menaces de mort contre deux dessinateurs[1]. Le premier journal à reprendre les dessins fut le journal égyptien Al Fagr, le 17 octobre 2005. Quelques jours plus tard, onze ambassadeurs de pays musulmans demandent à être reçus par le premier ministre danois.
Jour du blasphème. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le jour du blasphème (ou journée internationale du blasphème) est célébré chaque année le 30 septembre. Ce jour est dédié à la liberté d'expression et particulièrement au droit de blasphème. La date du 30 septembre commémore la publication des caricatures de Mahomet du journal Jyllands-Posten. Center for Inquiry. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le Center for Inquiry (CFI) est une association à but non lucratif dans le domaine de l'éducation. Ses quartiers principaux se situent aux États-Unis. Procès Charlie: les caricatures de Mahomet relaxées. A l'énoncé du jugement, Philippe Val émet un sourire très maîtrisé.
Son avocat, Richard Malka, l'embrasse. Le directeur de Charlie Hebdo donne à son tour l'accolade à son autre défenseur, Me Georges Kiejman. Des applaudissements fusent dans le prétoire et se poursuivent jusque dans l'escalier du Palais de justice de Paris. «Merci Philippe !» «Vive la liberté d'expression !» Blasphème. Rarement dénouement judiciaire aura été si largement salué. Attitude munichoise. Christophe BOLTANSKI. Liberté de pensée, liberté de conscience, laïcité. Le blasphème a été défini par l’Église catholique comme « tout propos ou acte irrespectueux contre Dieu » et comme « une défaillance dans l’expression de la foi ». La notion de blasphème n’a donc de sens que du point de vue des religions.
Ce sont elles qui déterminent en effet ce qui est injurieux ou diffamatoire envers elles‑mêmes. Ce sont elles qui interdisent le blasphème car elles prétendent avoir le monopole de la vérité et du sacré. […] AXE 1 - Des libertés pour la liberté - Cours d'Histoire Géographie en Lycée par Yann Bouvier. Après un cours introductif, sous forme de réflexion collective permettant de définir le concept politique de "liberté" et d'évoquer la pluralité des libertés, les élèves s'engagent dans une démarche de recherches et de travaux collectifs portant sur les sujets listés ci-dessous. Les exposés, par groupes de 2 (voire 3) élèves, sont notés, à l'aide de la grille ci-dessous. La note, à la fois individuelle et collective, compte pour le 2nd trimestre. Les indications (questions) sous les différents sujets ne sont pas exhaustives. Vous pouvez confronter le sujet à vos propres interrogations.