La Fed vient de découvrir 2700 milliards de dollars de dette supplémentaire ……… Sous le tapis. La Fed a changé sa méthode d’évaluation et de suivi des chiffres de la dette, et remplacé un seul tableau des instruments du marché du crédit avec deux tableaux distincts pour les «titres de créance» et les «prêts».
Tout d’un coup, la FED a signalé un montant supplémentaire de 2700 milliards de dollars de dette. Rappel: Lorsque vous cumulez toutes formes de dettes, incluant la dette du gouvernement, du commerce, la dette des crédits immobiliers et la dette-consommateurs, nous atteignons 59 045 milliards de dollars (dette globale). Il s’agit essentiellement de dette privée, et non d’emprunts du gouvernement. La dette mondiale atteint 286% du PIB de la planète. Csoj Crise de la dette Et si on ne remboursait pas - 29-11-2011 Avec Emmanuel TODD Laurent WAUQUIEZ. "Dette odieuse", dette honteuse. "Peut-on s'asseoir sur la dette ?
" C'était le thème, l'autre jour, de C dans l'air, sur France 5. Cela nous a permis de revoir Bernard Maris, dont on n'avait plus trop de nouvelles depuis qu'il avait été nommé au conseil général de la Banque de France. Toujours aussi charismatique, "oncle Bernard". Pour tout dire, on a eu un peu peur, pendant la première partie de l'émission, que l'ancien cofondateur de Charlie Hebdo ait définitivement revêtu les habits du banquier central. Notamment quand il a mis en avant les importants efforts financiers consentis par la BCE pour aider à sortir de la crise, lui qui auparavant hurlait contre cette "BCE copiée sur la Bundesbank" et traitait Trichet de "nigaud".
Mais on a fini par retrouver le chroniqueur économique rebelle quand il a proposé de déclarer "illégitime" la dette publique française, parce qu'"imposée au peuple". Sack s'était appuyé sur les événements observés en Amérique du Sud à la fin du XIXe siècle. Mais qui détient la dette française. Nous réussissons l’exploit de ne rien savoir sur les détenteurs de la dette publique et de nous en satisfaire.
Or, quand on sait le poids politique des créanciers privés dans le règlement de la question grecque, cette information n’apparaît pas totalement inutile. Tôt ou tard, les créanciers privés ont un droit de veto sur les politiques publiques qui sont menées dans les pays endettés. Ils décident si les mesures sont suffisantes ou pas, et ils acceptent ou non une diminution de leur créance. L’exemple de la Grèce d’aujourd’hui montre bien tout le poids de ce pouvoir exorbitant dans le cours de la démocratie. À l’époque où les États empruntaient auprès des particuliers sans faire appel aux marchés financiers, cette difficulté était de second ordre.
Depuis que les États recourent systématiquement aux marchés pour placer leurs emprunts, notamment sous forme d’obligations assimilables et non de titres au porteur, ils sont confrontés à une autre règle du jeu. La dette publique est-elle légitime ? De l’art d’esquiver le débat S’il dénonce les « sophismes » de ces opposants, il n’est pas le dernier à y recourir ou à détourner le débat.
La thèse qu’il conteste est que « la dette actuelle de l’Etat est illégitime en ce qu’elle est constituée pour l’essentiel de l’accumulation des intérêts versés par la France ». Tout d’abord, il commence par dénoncer la « thèse complotiste qui vise à faire de cette loi (de 1973) adoptée sous Georges Pompidou la source de tous nos maux ». Mais non seulement ce n’est pas le sujet, mais on peut soutenir cette thèse sans s’y référer et il est bien évident que nos maux ont plusieurs raisons. Vincent Le Biez continue son papier par une digression totalement inutile sur le fait qu’un ratio cumul des intérêts payés / PIB n’a pas de sens. Puis il soutient que les investissements peuvent être financées en empruntant, mais pas les dépenses sociales ou de fonctionnement. La dette, quelle dette ?, par Jean Gadrey. Un parfum de printemps 2005 ?
A l’époque, le président de la République, M. Jacques Chirac, avait soumis à référendum le traité constitutionnel européen (TCE). Les médias furent unanimes : il fallait approuver le texte. La campagne se caractérisa néanmoins par une mobilisation inédite. Associations, organisations politiques et syndicales s’employèrent à décortiquer, expliquer et débattre un document pourtant peu engageant. Sept ans plus tard, il n’est plus question de traité européen, mais le chœur des éditorialistes résonne de nouveau : le fardeau de la dette impose aux peuples de se serrer la ceinture. Depuis l’été 2011, l’appel national « Pour un audit citoyen de la dette publique », rassemblant vingt-neuf associations, organisations non gouvernementales (ONG) et syndicats, et bénéficiant du soutien de diverses formations politiques (1), a été signé par près de soixante mille personnes (2)
. — Comment ? Le chiffre de la dette mondiale par Charles SANNAT. L'arnaque des Banques la dette expliquée en quelques minutes. Banques centrales. Le plus grand crime de l'humanité - La Banque Centrale Américaine.