Les outils en ligne du fact-checking. 3 extensions pour vérifier une information avant de la partager. Article mis à jour le 4 mai 2019 par Fidel Navamuel Comment aider vos étudiants à prendre du recul et réfléchir avant de partager une information sur les réseaux sociaux ?
Médias de l’instantané et du partage, les réseaux sociaux sont de vrais pièges à clics où images et vidéos circulent et se diffusent à la vitesse de la lumière. 3 sites utiles pour débusquer les fausses informations. Mise à jour le septembre 27, 2019 Le web charrie le meilleur comme le pire.
Dans la deuxième catégorie, on trouve bien sûr les canulars et les fausses informations. C’est souvent inoffensif mais il vaut mieux avoir de bons réflexes pour ne pas tomber dans le panneau du dernier canular ( ou hoax en anglais) à la mode. Si tout n’a pas la gravité des théories du complot colportées par des groupes bien organisés, les réflexes sont les mêmes. La prudence est toujours de mise avant de relayer une information issue du web ou des réseaux sociaux. Le Décodex, un premier pas vers la vérification de masse de l’information.
« Le Monde » lance un outil pour aider les lecteurs à repérer les sites les moins fiables LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Attentats, Brexit, présidentielle américaine et maintenant française… Qu’on l’appelle indifféremment « fake news », propagande, intox ou mensonges, la question de la fiabilité de l’information en ligne ou de son instrumentalisation s’est imposée dans les débats.
A l’heure de Facebook, de Twitter et du mobile, s’informer consiste aujourd’hui surtout à savoir trouver des éléments fiables au milieu d’un maelström d’articles, d’images, de vidéos, d’opinions, etc. Fact-checking : notre kit de survie en 5 gestes qui sauvent (partenariat avec le CFJ) A jours trois du premier tour de l’élection présidentielle, Méta-Media et France Télévisions lance une batterie d’initiatives pour lutter contre la désinformation.
Il n’aura fallu que quelques mois au petit monde de l’info pour adopter une novlangue désormais incontournable : pas un jour ne passe sans que l’on ne parle de fake news, de post-vérité, de hoax, de bulles de filtre, ou même de debunking… Si cette taxinomie a l’inconvénient de composer avec des contours flous, elle n’en reste pas moins révélatrice des dangers auxquels s’exposent aujourd’hui nos démocraties en ligne. Le Brexit, ou l'impuissance du fact-checking. Nigel Farage a lui-même reconnu que ses promesses étaient irréalistes.
Mais qu'ont fait les médias avant l'élection ? C’était la promesse emblématique du camp du Leave, inscrite en grosses lettres sur des bus qui sillonnaient le pays : la Grande-Bretagne envoie 350 millions de livres par semaine à l’Union européenne, une somme qu’il vaudrait mieux affecter au moribond NHS, le service public de la santé britannique. Oui mais voilà, dès le lendemain du référendum, sur le plateau de Good Morning Britain, le patron de l’UKIP, Nigel Farage, un des leaders emblématiques du Leave, revenait, gêné, sur ce chiffre qui a marqué les esprits.
Les outils en ligne du fact-checking. Plongée dans le service de « fact-checking » de l’Agence France-Presse. C’est une vidéo très partagée sur Internet depuis la fin de juillet. On y voit plusieurs personnes s’avancer dans la mer, des femmes voilées portant de gros sacs, et plusieurs hommes, immobiles, dont seules les têtes dépassent de l’eau.
Quelques secondes plus tard, la vidéo change d’angle et nous montre trois personnes sur la plage, assistant à la scène autour d’un appareil photo. Une extension pour repérer les fausses informations qui circulent en ligne. Pourquoi attendre que Facebook et compagnie réagissent quand on peut inventer soi-même des outils ?
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Big Browser Le Brexit et l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche annoncent, selon certains observateurs, l’entrée dans une « ère de la politique post-vérité » dans laquelle le vrai et le faux se valent quand ils se côtoient dans les timelines des réseaux sociaux. Accusé de ne pas avoir voulu réagir à la prolifération d’articles partiellement ou complètement faux pendant la campagne électorale américaine, Facebook peine à se justifier ou même à avoir une stratégie cohérente. Cet immobilisme devrait nous inciter à prendre des mesures pour séparer le vrai du faux en ligne, sans attendre que ce soit décidé dans les salles de réunion de ces entreprises (comme Google qui vient de lancer un label signalant les articles de « fact-checking » dans Google Actualités.). « Attention !
Les Idées claires - France Culture. AFP Factuel. Le fact-checking par l'Agence France Presse. Article mis à jour le 9 juillet 2020 par Fidel Navamuel Qui mieux que l’AFP, la vénérable Agence France Presse, pour chasser les mensonges et les demi-vérités qui prospèrent sur le web et les réseaux sociaux.
La vérification des faits, trois fois plutôt qu’une, fait partie des règles essentielles de l’agence presse depuis toujours. L’information vérifiée est au coeur de l’activité des journalistes agenciers de l’AFP comme de la plupart des grandes agences de presse internationales. «Libération» lance Checknews, site de vérification au service des internautes. Libération lance aujourd’hui Checknews, le premier site de vérification au service des internautes.
Le projet, développé avec l’agence J. Walter Thompson répond à un objectif simple: répondre de manière factuelle, sourcée, aux questions que vous vous posez sur l’actualité, et auxquelles vous ne trouvez pas de réponse fiable sur le Web. Trois fausses informations récentes qui ont influencé l’opinion. Retour sur plusieurs cas d’intox qui ont massivement circulé en ligne, jusqu’à convaincre une part non négligeable de la population.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Les fausses informations parviennent-elles à modifier profondément l’opinion publique ? Le baromètre 2017 de la « confiance des Français dans les médias » Kantar Sofres pour La Croix, publié en février, donne quelques cas instructifs. Huit médias français s’allient à Facebook contre les « fake news » Le réseau social va déployer en France son dispositif de signalement par ses utilisateurs d’une information qu’ils pensent être fausse.
Celle-ci pourra ensuite être vérifiée par des médias partenaires, dont « Le Monde ». LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Alexis Delcambre Huit médias français, dont Le Monde, ont décidé de collaborer avec Facebook pour réduire la présence de fausses informations sur le réseau social. Les Observateurs - France 24.
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Le vrai du faux, émission radio de France Info en replay. (20+) Desintox. Le « fact-checking » : une pratique féconde... mais pas auto-suffisante. Depuis quelques années maintenant mais avec une accélération certaine depuis la présidentielle de 2012, la presse pratique le « fact-checking ». Il s’agit pour les journalistes de vérifier les faits, notamment à partir des déclarations des élus et candidats aux différentes élections.
Disons-le d’emblée : Acrimed considère que cette pratique peut être saine et féconde pour le journalisme tel que nous le défendons. Il ne sera donc pas ici question de contester le principe du fact-checking, mais de pointer quelques limites dans son usage. Car si l’exercice n’est pas nouveau, sa constitution en genre et en rubrique particulière est plus récente, au point que cette pratique, victime de son succès, a parfois été dévoyée pour devenir dans certains cas une pratique inutile, voire contre-productive.