Usbek & Rica
Moins médiatisés que le DarkWeb, de nombreux services et plateformes ambitionnent de créer des Internet parallèles, contribuant à rendre le web plus sécurisé, plus confidentiel et moins hiérarchisé. Le tout en s'appuyant sur la logique peer-to-peer et les crypto-monnaies. Focus sur IPFS, ZeroNet, Blockstack et SAFE Network, quatre acteurs particulièrement prometteurs en la matière. « Il faut re-décentraliser le web ». Et c'est l'inventeur du world wide web qui le dit.
Pour une meilleure info : l 'Agence France Info
Pourquoi une agence d’informations au milieu d’une chaîne d’information continue ? Pour expliquer toutes les améliorations qu'elle va permettre sur l'antenne et pour les journalistes de la rédaction, Estelle Cognacq, rédactrice en chef de cette agence. L'agence devrait permettre - c'est un clin d’œil - d'éviter au médiateur de nombreux messages. Ceux d’auditeurs vigilants et, assez souvent mécontents d’entendre parfois des informations qui diffèrent entre deux journaux : des chiffres différents, des faits pas totalement identiques entre un présentateur, puis le reporteur sur le terrain.
Le Décodex, un premier pas vers la vérification de masse de l’information
« Le Monde » lance un outil pour aider les lecteurs à repérer les sites les moins fiables LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Attentats, Brexit, présidentielle américaine et maintenant française… Qu’on l’appelle indifféremment « fake news », propagande, intox ou mensonges, la question de la fiabilité de l’information en ligne ou de son instrumentalisation s’est imposée dans les débats. A l’heure de Facebook, de Twitter et du mobile, s’informer consiste aujourd’hui surtout à savoir trouver des éléments fiables au milieu d’un maelström d’articles, d’images, de vidéos, d’opinions, etc. >> Accéder au Décodex en cliquant ici Avec Les Décodeurs, créé en 2009 sous la forme d’un blog et devenu une rubrique depuis 2014, Le Monde s’est donné une mission, celle de la vérification de la parole publique (« fact-checking »), qu’il s’agisse de propos politiques ou de rumeurs sur le Web.
Aux racines (vertes) de la « post-vérité »
Le terme de « post-vérité », qui semble une notion nouvelle dont les médias parlent beaucoup, est en réalité une forme de mensonge à laquelle les climatologues sont confrontés depuis longtemps. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart « Post-vérité » par ci, « post-vérité » par là… Depuis que l’hebdomadaire The Economist a mis, en septembre, cette expression à sa couverture (post-truth politics, dans le texte), il est fortement question de « post-vérité » ou d’« ère post-factuelle » dans les médias. Un peu partout, les commentateurs s’alarment de cet étrange climat – celui des débats préalables au Brexit ou de la campagne présidentielle américaine – dans lequel les faits n’ont plus de valeur argumentative particulière. Souvenez-vous : c’était il y a moins de dix ans
Modération, politique, intelligence artificielle… le « manifeste » de Mark Zuckerberg
Le fondateur de Facebook a publié un très long texte, jeudi, dans lequel il détaille sa vision de l’avenir du réseau social. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Damien Leloup C’est un long texte de plusieurs pages, qui balaye des sujets aussi variés que la transition écologique ou le harcèlement en ligne. Jeudi 16 février, Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, a publié un manifeste très politique, intitulé « Construire une communauté globale ». Ce n’est pas la première fois que l’intéressé s’exprime longuement sur sa vision de l’avenir de Facebook, d’Internet ou des Etats-Unis : à plusieurs reprises, ces dernières années, le PDG du plus grand réseau social au monde a détaillé, dans des conférences ou sur sa page Facebook, sa vision du monde.
France culture : A qui confier la vérification de l'info ?
Tous unis contre les "fake news", les fausses nouvelles. C’est le slogan qui pourrait résumer l’ambition du projet CrossCheck, qui sera lancé demain et qui, contrairement à ce que son nom semble indiquer, est un projet impliquant des médias français. Une douzaine de rédactions (pour l’instant) se sont associées au Google News Lab (la division médias du moteur de recherche) pour proposer un outil qui permettra d'"identifier et vérifier les contenus qui circulent en ligne, qu’il s’agisse de photos, de vidéos, de commentaires ou de sites d’actualités".
Les Observateurs - France 24
Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Bienvenue !
« Prince de l’amour », le roi de l’intox sur Twitter
Des informations déformées, des rumeurs et parfois des faux grossiers. Le compte Twitter @tprincedelamour est passé maître dans l’art de la désinformation. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Un couple de clandestins toucherait « 3 265 euros par mois sans travailler ». François Hollande aurait déclaré que le mariage pour tous a été « la plus grande erreur de [son] quinquennat ». Hillary Clinton n’aurait donné que neuf discours de 10 minutes en août… Toutes ces informations sont complètement fausses, mais elles ont en commun d’avoir été relayées par un même compte Twitter : @tprincedelamour.
Le biais de confirmation et la rumeur sur le Web - prof' doc'
Je me suis donc penché sur le sujet et propose ici quelques réflexions, en revenant sur la définition et l’origine de la notion de biais de confirmation, avant de faire une contre-analyse du travail de Gérald Bronner sur le rapport entre biais de confirmation et utilisation des moteurs de recherche, en poussant la recherche, pour enfin présenter quelques pistes pédagogiques. Le biais de confirmation : définition et origines Dans un langage de vulgarisation, le biais de confirmation est la disposition à lire, écouter ou observer les informations qui vont dans le sens de nos propres croyances, sans égard pour les informations qui contredisent nos croyances.