10 gestes simples pour un usage du numérique plus respectueux pour la planète. Quelques bonnes pratiques peuvent limiter considérablement l’impact environnemental de tes outils numériques.
Alors, pourquoi attendre ? Moins de déplacements, moins de gaspillage de papier, de temps et d’énergie… Les technologies numérique permettent d’optimiser la consommation de nombreuses ressources. Pourtant, les bénéfices environnementaux attendus ne sont pas toujours au rendez-vous, bien au contraire… Voici 10 bonnes pratiques pour que tes pratiques numériques soient moins polluantes et plus respectueuses pour notre planète. L’augmentation énergétique du secteur du numérique est en croissance de 9 % par an. Il est cependant possible de la ramener à 1,5 %, en adoptant de bonnes pratiques au quotidien ! 10 bonnes pratiques pour devenir un citoyen numérique responsable :
10 éco-gestes pour des usages numériques plus légers ! - [DANE de Lyon] Dans le cycle de vie d’un équipement, c’est sa fabrication qui coûte le plus d’énergie, bien plus que son utilisation.
Il apparaît donc comme le geste primordial. Nous vous proposons : d’installer un nouveau système d’exploitation GNU/Linux pour les ordinateurs de type PC LineAgeOS, /e/ pour les smartphones Android. Ce sont des logiciels sobres énergétiquement parlant. Calculateurs carbone. Différents gaz, dont le dioxyde de carbone (CO2), sont responsables de ce que l’on appelle l’effet de serre.
Il s’agit d’un phénomène naturel et nécessaire à notre existence. Sans cela, il ferait -18°C à la surface du globe et toute vie humaine serait impossible ! Néanmoins, les activités humaines participent à l’augmentation rapide de ces émissions de gaz à effet de serre qui provoque les changements climatiques actuels. Quelle est l'empreinte carbonne de tes activités numériques ? L'outil gratuit Carbonalyser te le dit. Visionner une vidéo en streaming, faire un appel vocal depuis ton application de messagerie ou consulter une page web… Tes activités numériques ont tous un impacte environnemental.
Avec Carbonalyser, tu vas traduire en équivalent CO2 tes activités sur la Toile. Le numérique est une activité polluante, même très polluante si on prend on considération la fabrication des appareils. Le numérique émettrait 4 % des gaz à effet de serre mondiale, soit davantage que le transport aérien civil. Le seul streaming vidéo annuel représente l’équivalent des émissions de CO2 d’un pays comme l’Espagne.
Vidéo en ligne : quels impacts environnementaux. Depuis quelques jours, on voit ça et là des articles dans les médias qui annoncent des chiffres « faramineux » sur la consommation électrique de la vidéo en ligne.
Je pense notamment à cet article des Echos largement diffusé et commenté sur les réseaux sociaux. Cinq réflexes à adopter pour réduire sa pollution numérique. Les 34 milliards de smartphones, ordinateurs, consoles de jeu et téléviseurs que compte la planète occupent par leur nombre une place centrale dans l’impact sur l’environnement dû à l’utilisation de l’informatique et la navigation sur Internet.
Leur coût écologique dépasse même celui des data centers, ces entrepôts de serveurs dans lesquels est stocké l’ensemble des données mises en ligne sur Internet, souvent désignés comme la face cachée polluante du numérique. Quelques bons réflexes d’usage de ces appareils permettent d’en réduire la consommation énergétique. Lire : Les centres de données informatiques avalent des quantités croissantes d'énergie Entretenir ses appareils et les garder le plus longtemps possible Les calculs du think tank Shift Project ou du groupe EcoInfo estiment qu’entre un tiers et la moitié de l’impact écologique d’un appareil tient dans sa fabrication. Lire : Le sulfureux parcours du téléphone portable, des mines aux filières clandestines de déchets Conseil.
Et si le numérique devenait plus polluant que les voitures ? Le Téléphone sonne se connecte pour traiter des (in)compatibilités entre le numérique et l’écologie.
Oubliée, cette légende comme quoi envoyer un mail serait moins polluant qu’une lettre cachetée par la poste ? Car si le transport routier dégage du CO2, et vient donc contribuer à saler la note de pollution de la planète, le numérique n’est pas en reste. S’il apparaît immatériel, il se révèle pourtant très consommateur d’énergie. Mais savons-nous vraiment ce qui se cache derrière nos écrans quand on surfe sur le net ? Une réalité bien physique : data centers, serveurs informatiques, routeurs, sans parler des kilomètres de câbles de fibre optique. Consommation d’énergie, pollution de l’air lors de la fabrication de matériel numérique, amas de déchets électroniques à ce jour non recyclables (ou presque)… Bref, la liste des sources des pollutions engendrées par le numérique est longue.
Email, streaming, informatique : le vrai du faux de l'impact énergétique de trois pratiques numériques. "Un seul email, c'est comme avoir une ampoule allumée 24 heures", "une vidéo en streaming" consomme autant "qu'un frigidaire pendant un an"...
Sur Franceinfo, Isabelle Autissier, présidente du WWF France, avançait lundi 5 août plusieurs chiffres au sujet de l'impact énergétique de nos pratiques numériques au quotidien. Qu'en est-il vraiment ? Sur Franceinfo, la présidente du WWF énonçait les affirmations suivantes pour sensibiliser les auditeurs à l'impact énergétique du numérique :