À chacun sa transpiration : Mais quelle quantité boire pendant l’effort ? La déshydratation assèche Pour commencer, un petit rappel physiologique : la température corporelle normale est de 37°C.
Lorsque vous pratiquez un exercice physique, les muscles se contractent et libèrent de la chaleur. Votre température corporelle augmente. En cas de surchauffe, il y aura danger pour les cellules, le cerveau et le cœur. L’organisme évacue cette chaleur par la sudation et plus exactement par l’évaporation de la sueur. La perte de liquide peut conduire à une déshydratation progressive réduisant la tolérance à l’exercice prolongé, le confort digestif, les fonctions cognitives si le sportif n’adapte pas sa consommation hydrique et sodique (boire environ toutes les 15 minutes par petites gorgées). Pour connaitre la quantité d’eau à boire Par la pesée, il est aisé d’estimer les pertes hydriques occasionnées par une séance d’entraînement, surtout si elle a été longue et intense. Hydratation 4 de 4 : Et après… on fait quoi? Dr.
Tim Noakes est un scientifique de renom bien connu dans la communauté pour ses publications sur le sujet de l’hydratation dans les sports d’endurance. Il est actuellement LA référence sur le sujet de l’hyponatrémie. Plusieurs coureurs le connaissent comme auteur de la bible en course à pied « Lore of Running ». Voici la dernière des 4 parties tirées de son dernier livre « Waterlogged, The Serious Problem of Overhydration in Endurance Sports ». Attention de poser le bon diagnostic afin que le plan de traitement soit non pas inapproprié, mais bien le plus efficace possible. En conclusion, les coureurs plus lents courent à moindre intensité, suent moins, ont des températures corporelles plus basses… mais se font recommander de boire plus, ont plus d’opportunité de boire durant leurs épreuves et… boivent plus… parfois trop.
ATTENTION ! Hydratation 3 de 4: Les dessous de la science de l’hydratation… et ses conséquences. Science et business font souvent mauvais ménage.
Notre expérience nous l’a souvent démontré avec l’industrie de la chaussure de sport. Le dernier livre de Tim Noakes fait l’analyse de plusieurs théories scientifiques qui sont en réalité teintées de biais commerciaux. Scientifiques en conflit d’intérêts, chercheurs sponsorisés, journaux scientifiques biaisés dans leurs choix de publications, copinage, collusion… même en science ça existe ! À nouveau, nous vous présentons certains extraits de « Waterlogged, The Serious Problem of Overhydration in Endurance Sports ».
Hydratation 2 de 4: Déshydratation, performance, crampes et sodium. Le livre de Dr Tim Noakes, « Waterlogged, The Serious Problem of Overhydration in Endurance Sports », est un livre qui explique dans un langage scientifique mais accessible à tous ce que nous devons savoir sur le sujet de l’hydratation dans les sports d’endurance.
Voici la partie 2 de cette série de 4. Si notre première partie ne vous a pas encore convaincu d’acheter le livre de Tim Noakes, voici quelques passages qui vous donneront probablement le goût. Des niveaux plus élevés de perte de poids ou de déshydratation ne sont pas reliés à une diminution de la performance Si vous êtes un “adapté aux glucides”, en ingérer optimisera vos performances durant un exercice compétitif prolongé.La théorie du déficit en sodium et de la déshydration n’explique pas le développement des Crampes Musculaires associées à l’exercice (CMAE). Hydratation 1 de 4: Les épreuves d’endurance et l’incroyable corps humain. Je viens de terminer un livre d’une valeur scientifique inestimable écrit par le plus grand des experts en la matière, Dr Tim Noakes. « Waterlogged, The Serious Problem of Overhydration in Endurance Sports » est l’achat essentiel de 2012.
Tous les professionnels de la santé (dont les nutritionnistes) qui continuent de donner des recommandations telles que : « il faut s’hydrater pour conserver le même poids durant les épreuves d’endurance », « il faut boire avant d’avoir soif », « perdre plus de 2% de son poids est délétère pour la performance et à risque pour sa santé », « il est recommandé de boire plus de 800ml/heure », « l’IV est un traitement de choix pour le marathonien qui est étourdi ou qui perd conscience »… devrait, par conscience professionnelle, lire ce livre !
Pour faire suite à notre Billet « Boire avant d’avoir soif? Hydratation. L’eau de coco est-elle si miraculeuse ? D’un point de vue historique, l’eau de coco fait son entrée en Europe au cours de la seconde guerre mondiale où elle a notamment pu servir à transfuser des soldats blessés.
Il a également pu être montré au travers de différentes études médicales, qu’elle pouvait être utilisée en intraveineuse comme sérum physiologique. Mais, depuis quelques années elle est surtout vantée comme un atout santé/bien-être et serait même la boisson idéale du sportif. Comme toujours, avant de suivre trop rapidement les sirènes du marketing, il va s’agir de bien regarder ce qu’il en est et se faire sa propre idée sur le sujet. Composée à 95 % d’eau, elle est très peu calorique (20-30 kcal/100 ml), contient des glucides (1-4 g pour 100 ml) et seulement quelques traces de lipides et de protéines. Voici pour les macronutriments. Tous ont déjà entendu au moins une fois dans la vie de sportif : « Tu crampes ? C’est un peu réducteur car les crampes peuvent subvenir pour différentes raisons. Eau.
Récupération. Chaleur. Glande sudoripare. Boissons. Myolyse. Tendinite. Crampes. Alimentation du traileur. Alimentation du marathonien. Ironman.