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Auschwitz 70 ans Le Devoir

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H2E#45 : Endlösung. J'étais une enfant de survivants de l'Holocauste by Ann Marie Fleming. Oskar Groening fournit des détails troublants d'Auschwitz. Mercredi 22 avril 2015 12h04 Photo : PooL New / Reuters Un ancien sergent des SS nazis a fourni mercredi des détails à glacer le sang sur la manière dont des trains bondés de Juifs arrivaient à Auschwitz, avant que les victimes ne soient dépouillées de leurs biens et, dans la majorité des cas, immédiatement conduites vers les chambres à gaz.

Oskar Groening fournit des détails troublants d'Auschwitz

Oskar Groening doit répondre de 300 000 chefs de complicité pour meurtre. Les accusations contre lui découlent d'une période, entre mai et juin 1944, pendant laquelle environ 300 000 des quelque 425 000 juifs de Hongrie qui ont été amenés à Auschwitz ont été exécutés dans les chambres à gaz nazies. Pendant cette période, les trains arrivaient à Auschwitz à un rythme si effréné que deux devaient souvent patienter, les portes fermées, pendant que le premier était « traité », a expliqué Groening au tribunal de la ville de Lunebourg. La capacité des chambres à gaz et des fours crématoires était très limitée. ICI Radio-Canada.ca. Auschwitz survivors - 70 years on. Eighty-nine-year-old Auschwitz survivor Jadwiga Bogucka, pictured above holding a photograph of herself at the time, was 19 when she and her mother were sent from their house to a camp in the Polish city of Pruszkow and then by train to Auschwitz.

Auschwitz survivors - 70 years on

About 1.5 million people, most of them Jews, were killed at the Nazi camp which has became a symbol of the horrors of the Holocaust and World War Two, which ravaged Europe. Bogucka and her mother were among about 200,000 inmates who survived Auschwitz, liberated by Soviet Red Army troops on January 27, 1945. German forces occupying Poland set up Auschwitz on an isolated 40 sq km site in southern Poland in 1940 as a labour camp for Polish prisoners, gradually expanding it into a vast labour and death camp.

Bogucka, who was registered with camp number 86356, is among survivors who posed for portraits and recounted their stories to Reuters photographers in Poland and Hungary ahead of the 70th anniversary of the liberation of the camp this month. Eric Schwab, photographing the unspeakable. By Yves Gacon A prisoner dying of dysentery at Buchenwald concentation camp, as it was liberated in April 1945 (AFP Photo / Eric Schwab) PARIS, February 13, 2015 - It comes down to a few dozen pictures by Eric Schwab, preserved in the Agence France-Presse archives.

Eric Schwab, photographing the unspeakable

An insignificant number in a photographic fund of more than 30 million digital documents and seven million analog files. But whose value in historical terms is inestimable. One of the first photographers to work for the modern-day AFP, founded in 1944 as France was freed from Nazi occupation, Eric Schwab was among the very first witnesses to the boundless horror that Allied forces uncovered as they advanced into Germany, liberating the death camps one after the other. Schwab formed a partnership with the American writer and journalist Meyer Levin, travelling together into the darkness on board their jeep “Spirit of Alpena”.

“We had known. 70 ans plus tard, Auschwitz porte encore les traces de l'horreur. Le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz constitue un passage difficile, mais un chemin obligé pour qui ne veut pas oublier l'abomination de l'Holocauste.

70 ans plus tard, Auschwitz porte encore les traces de l'horreur

Visite d'Auschwitz I et de Birkenau, deux des principales sections du camp de la mort. Un photoreportage de Melanie Julien Bien que l'on soit tous au courant de ces horreurs, ce n'est que sur place qu'on peut en mesurer l'ampleur. Marcher dans ce camp nous atteint en plein coeur. Une douleur invisible nous traverse. Melanie Julien « Le travail rend libre », peut-on lire sur cette enseigne à l'entrée du camp, par où arrivaient les déportés.

Melanie Julien La baraque de la mort abritait les prisonnières sélectionnées par les SS. ENTRETIEN. Comment Auschwitz est devenu Auschwitz. En 2005, à l'occasion des 60 ans de l'ouverture du camp d'Auschwitz-Birkenau, "l'Obs" s'entretenait avec Annette Wieviorka, directrice de recherche au CNRS, et auteure de nombreux ouvrages sur l'histoire des juifs au 20e siècle.

ENTRETIEN. Comment Auschwitz est devenu Auschwitz

Dans cet entretien, que nous republions en partie, l'historienne raconte comment Auschwitz est devenu le symbole qu'il est aujourd'hui, de son ouverture jusqu'aux premières batailles de mémoire. Le 27 janvier 1945, les Soviétiques libèrent Auschwitz. Qu'y trouvent-ils ? - Le terme de "libération" est impropre. « Quand les fours crématoires sont insuffisants, on dresse des bûchers » Le film-choc d'Alain Resnais sur les camps de concentration, Nuit et brouillard, est toujours aussi bouleversant, près de 60 ans après sa sortie.

« Quand les fours crématoires sont insuffisants, on dresse des bûchers »

Un texte de Raymond Saint-Pierre Le documentaire d'une trentaine de minutes a toujours la même force, l'effet coup-de-poing que tous ceux qui l'ont vu ont ressenti, depuis sa première présentation, en 1956. Nous présentons Nuit et brouillard aux Grands reportages pour souligner les 70 ans de la libération du camp d'Auschwitz. Pour le mettre en contexte et aider les nouvelles générations à comprendre l'abomination des camps, nous avons invité Alain Stanké à commenter le film. Alain Stanké, un survivant des camps de la mort, commente le film Nuit et brouillard Alain Stanké est né en Lituanie en 1934. Nuit et brouillard vient de l'allemand « Nacht und Nebel ». Le monde se souvient des victimes d'Auschwitz. Il y a 70 ans, le 27 janvier 1945, les soldats de l'Armée rouge arrivaient dans le camp de concentration d'Auschwitz, en Pologne.

Le monde se souvient des victimes d'Auschwitz

Aujourd'hui, le monde commémore la libération du plus grand camp de concentration nazi. Une vingtaine de chefs d'État, dont le président ukrainien Petro Porochenko, le président allemand Joachim Gauck et le président français François Hollande se sont rendus à Auschwitz pour rendre hommage à ceux qui n'en sont jamais sortis.

Quelque 300 survivants étaient aussi présents. Ils portaient des foulards rayés au cou en référence aux uniformes barrés de bleu et de blanc qu'ils devaient revêtir à leur arrivée au camp nazi. Parmi les personnalités qui ont pris part à l'événement, on compte le réalisateur Steven Spielberg, auteur notamment du film « La Liste de Schindler » et père de la Fondation de la Shoah, qui a filmé les témoignages de 53 000 survivants de l'Holocauste. Plein écran Hollande rassure les Juifs français. Auschwitz, notre devoir de mémoire. Le reportage de Jean-François Bélanger Au moment où l'Europe marque le 70e anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz, Raphaël Esrail, un des rares rescapés encore vivants, témoigne de son voyage au bout de l'horreur et de son incroyable survie.

Auschwitz, notre devoir de mémoire

Il parle aussi du devoir de mémoire. Un texte de Jean-François Bélanger. Auschwitz, notre devoir de mémoire. Auschwitz, notre devoir de mémoire Comment éviter que le camp de concentration d'Auschwitz ne soit qu'une étape, parmi d'autres, d'un circuit touristique?

Auschwitz, notre devoir de mémoire

Toute visite à Auschwitz laisse sa marque. Une profonde douleur, un sentiment de révolte devant une aussi ingénieuse machine à éliminer des humains. Un texte de Raymond Saint-Pierre. Auschwitz : les derniers témoins racontent. Auschwitz, notre devoir de mémoire. La BBC survole le camp de concentration d'Auschwitz à l'aide d'un drone (VIDÉO)