Les bibliothèques et les services personnalisés en ligne. Même si Internet et le commerce électronique ont aujourd’hui dix ans d’existence, ce n’est que depuis peu que les bibliothèques italiennes ont pris conscience du fait qu’Internet constitue un nouvel axe de développement 1.
Les lecteurs attendent une offre de livre numérique en bibliothèque. L'avenir est rassurant, ou pourrait l'être, explique une étude du Pew Research Center, portant sur Internet and American Life Project.
En effet, la lecture est au coeur de cette étude, et les pratiques du livre sont également interrogées, montrant que les personnes les plus susceptibles de lire sont des lycéens, des étudiants en universités et des adultes avant d'entrer dans leur trentième année. Dans ce monde de confort et de téléchargements de livres, autant que de manuels scolaires, les usagers des des bibliothèques sont ainsi majoritairement des personnes de 16 à 29 ans. Ainsi, 60 % des personnes interrogées dans cette tranche d'âge assurent se rendre en bibliothèque, pour mener des recherches, emprunter des ouvrages, y compris audiobooks et ebooks, et même, parfois, lire des magazines papier.
Au cours des 12 derniers mois, 68 % des Américains avaient lu au moins un livre, une statistique qui monte à 83 % pour la tranche d'âge citée. L'intégralité de l'étude peut être consultée ici. Services 2.0 dans les bibliothèques, vers des bibliothèques 2.0? (r... Réinventer les services en ligne de bibliothèques : marketing, web ... Google Books : Numérisation illégale du patrimoine culturel à Lyon. Exclusif ActuaLitté : Le champagne fut probablement débouché un peu hâtivement, en décembre 2009, au moment où l'on prenait connaissance, grâce aux bons services de la Commission d'accès aux documents administratifs, de l'accord signé entre la bibliothèque de Lyon et Google Books pour la numérisation de ses ouvrages.
Et c'est l'enthousiasme et l'innocence aux lèvres que nous saluions à l'époque un accord sans exclusivité. Collections numériques, collections physiques. Il existe un degré zéro de l’articulation entre collections physiques et collections numériques : c’est la disparition pure et simple des premières.
Rêve ou cauchemar ? En tout cas, idéal possible de la bibliothèque contemporaine. Accessibilité universelle, en tout temps : la bibliothèque totalement numérique réunit quelques-uns des traits qui caractérisent la puissance divine. C’est sans doute une des raisons de son attrait. Le concept de collection numérique. Les bibliothèques sont aujourd’hui plus que jamais interrogées dans leurs pratiques et dans leurs offres de services, face aux métamorphoses rapides d’internet.
Au règne de l’hypertexte a succédé le web de données, qui laisse à présent la place aux réseaux sociaux : aux États-Unis, la fréquentation de Facebook vient de détrôner celle de Google. Les usages mobiles s’intensifient grâce au développement des smartphones. Le grand public consulte ou alimente des plateformes de diffusion de vidéos, de textes, de photos, qu’il choisit ou non de partager avec d’autres internautes. Le monde de la recherche développe des entrepôts de données et des archives ouvertes, en tentant de faire évoluer les modalités de la publication scientifique. Dans cet univers aux facettes toujours changeantes, la notion de « collection numérique », qui repose sur une analogie forte avec le monde physique, a-t-elle un sens ? Le web embrasse la totalité des savoirs. Qu'ont à offrir les applications mobiles de bases de données scientifiques ? Les bibliothèques s'intéressent de plus en plus aux services accessibles à partir de terminaux mobiles (smartphones, tablettes).
De manière plus pregnante peut-être dans le monde anglo-saxon mais pas uniquement. Dans cette optique, Aaron Tay a publié l'été dernier un billet intitulé :What are mobile friendly library databases offering? A survey. Ce dernier voulait faire le point sur ce que les fournisseurs de bases de données pouvaient proposer d'accessible à partir de terminaux mobiles. 1. Supports nomades et usages en bibliothèque. La propriété toute relative des bibliothèques sur leurs ebooks. Les bibliothèques ont trouvé un allié de poids en la maison d'édition Random House, qui annonçait la semaine dernière son attachement à la notion de propriété sur les ebooks achetés par les établissements.
Plusieurs spécialistes du droit d'auteur et des nouvelles technologies ont toutefois souligné que les bibliothèques ne possédaient pas leurs ebooks, ou du moins pas dans une commune mesure avec les exemplaires papier. Simon Collison, CC BY-NC-ND 2.0. La TVA sur le livre numérique rétablie à 19,6% La France a un mois pour renoncer à sa TVA réduite sur le livre numérique. La Commission européenne de Bruxelles a adressé, ce mercredi 24 octobre, un "avis motivé" sur les livres électroniques à la France et au Luxembourg.
Le circuit du prêt des liseuses. J’ai toujours manqué d’imagination pour les introductions un peu rigolotes et « aguichantes ».
On va donc faire comme si je venais de vous proposer l’introduction du siècle. Aujourd’hui, on va parler du circuit de prêt des liseuses. En achetant des liseuses, j’imaginais bien qu’il y aurait quelques bricoles techniques à faire ou à vérifier sur les machines entre chaque prêt, mais j’avoue que je n’en avais qu’une vague idée. La période de médiation envers les collègues m’a été extrêmement utile à ce niveau-là. Résumons pour ceux qui n’auraient pas lu l’article : chaque collègue a eu l’obligation de tester la machine, de se retrouver en « tête-à-tête » avec elle.
La rentrée littéraire sur les liseuses. Les liseuses sont à la disposition des usagers des médiathèques de l’Albigeois depuis le 02 juin, et disons-le clairement : elles ont un succès fou !
Elles sont systématiquement empruntées, ce qui implique que nos braves lecteurs doivent obligatoirement passer par la case « Réservation » pour avoir le bonheur infini d’en approcher une ! Et nous nous sommes aperçus que, contrairement à ce que nous avions – naïvement, peut-être – imaginé au départ, les usagers réservent une liseuse en fonction de son contenu et non en fonction du modèle de la machine… Le contenant devient donc moins important que le contenu, ce qui est une fort belle nouvelle ! Mais revenons un peu aux contenus des liseuses : nous avons fait le choix de ne proposer quasiment que des titres récents, tout en étant conscients qu’il allait falloir gérer des DRM… L’achat des livres numériques s’est fait sur la plateforme ePagine, par l’intermédiaire de la librairie toulousaine Ombres Blanches.
Un service de presse numérique pour bibliothèques : Premier Chapitre. La lecture en streaming se développe et c'est avec un service à destination des bibliothèques que s'ouvre une nouvelle page.