Le Monde sur Twitter : "A #Fukushima , l’interminable décontamination. A Fukushima, l’interminable décontamination. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir « Le Japon a fait des progrès significatifs.
La situation sur le site s’est améliorée. Mais elle reste très compliquée. » Tel est le constat des experts de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), qui, mi-février, ont effectué une nouvelle mission d’inspection de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima. Une analyse partagée par l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire français (IRSN) : « Un travail considérable a été réalisé avec d’énormes moyens. Mais le chantier est colossal et le plus gros reste à faire », estime Thierry Charles, directeur général adjoint chargé de la sûreté nucléaire. Le mystère des étoiles de Fukushima. Une mortalité massive des étoiles de mer, de la Californie à l’Alaska.
Voilà le dernier mystère de la côte ouest des Amériques, depuis Fukushima. On y trouve habituellement des débris venus de l’Asie, portés par le courant trans-pacifique. Ceux du tsunami qui a frappé le Japon en 2011 n’ont pas manqué. Coût d'un accident nucléaire en France : jusqu'à 5800 milliards d'euros. Campagne de l’association allemande .ausgestrahlt sur le coût de l’électricité Traduction : « Ce coût de l’électricité est trop élevé.
On peut payer la transition énergétique, mais l’électricité nucléaire se paye de la vie ! » Des informations « chaudes » tenues secrètes pendant des années En novembre 2012, à Bruxelles, lors du forum Eurosafe, une présentation de Patrick Momal, un économiste travaillant pour l’IRSN, révèle qu’un accident grave en France pourrait coûter 160 milliards d’euros, voire 430 pour un accident majeur (à titre de comparaison, l’accident d’AZF et le naufrage de l’Erika n’ont coûté "que" 2 milliards d’euros). Alors peu médiatisées, ces données ne sont présentées en France que le 6 février 2013, à Cadarache. Actu. Manifestation à Bordeaux : "Le bruit de Fukushima" Mardi 11 mars 2014 - 18h30 Départ au pied de la tour Pey-Berland (Tram Hôtel de Ville) Venez svp avec casseroles, sifflets, sirènes, tambours, etc !
Hoax écolo : un calamar géant radioactif échoué en Californie. La scène a de quoi faire frissonner : un calamar géant, mesurant près de 50 mètres de la tête jusqu’aux tentacules, est échoué sur une plage de la baie de Santa Monica, en Californie (Etats-Unis).
Des dizaines de badauds observent la scène, derrière un cordon de sécurité. Cette créature est la seconde en quelques mois à arriver de la sorte sur nos côtes, explique le site Lightly Braised Turnip, dans un article « aimé » plus de 1,2 million de fois sur Facebook et largement partagé sur les réseaux sociaux. Fukushima, le mois de tous les dangers. Il s’agit en effet de conjuguer plusieurs facteurs qui compliquent énormément la tâche : sortir de la piscine dévastée, perchée à 30 mètres au-dessus du sol, remplie de différents éléments d’aciers qui sont tombés lors de l’explosion, gérer la sortie de la piscine des barres d’assemblages, dont certaines sont manifestement brisées, et le tout sans que jamais ces éléments se retrouvent à l’air libre.
On comprend mieux l’inquiétude des scientifiques du monde entier, car si l’opération se soldait par un échec, il y aurait un énorme dégagement de radioactivité, qui se propagerait bien au-delà des frontières du Japon. vidéo C’est ce que martèle depuis avril 2012 l’ex diplomate japonais, Akio Matsumura, affirmant qu’il s’agit d’un danger au-delà de tout ce qu’on a connu (lien) ce que confirmait le professeur Koichi Kitazawa, évoquant que le pire pourrait advenir qui menacerait la survie du Japon. lien « L’image illustrant l’article vient de « laradioactivité.com » Olivier Cabanel.
Le moment le plus dangereux pour l'humanité depuis la crise des missiles cubains. La piscine de combustibles usés de l'unité n°4 Note: Ne pas oublier de lire les commentaires qui apportent des précisions sur la véracité de cet article.
Nous sommes actuellement à deux mois du moment le plus dangereux peut-être pour l'humanité depuis la crise des missiles cubains. Il n'y a aucune excuse à ne pas agir. Toutes les ressources que notre espèce peut rassembler doivent se focaliser sur la piscine de l'unité 4 de Fukushima. Le propriétaire de Fukushima, Tokyo Electric (Tepco), dit que d'ici 60 jours va commencer une tentative pour enlever plus de 1300 barres de combustible usagé d'une piscine en très mauvais état perchée à 30 mètres du sol. Pour un regroupement international visant à donner les moyens à Tepco et au Japon de résoudre cette crise, vous pouvez signer la pétition ici : Les quelques 400 tonnes de combustible de cette piscine pourraient libérer 15.000 fois plus de radiations qu'Hiroshima.
Pourquoi est-ce aussi sérieux ? Nous pouvons nous attendre à bien pire. Message d’une Française au Japon aux députés de France. De Tokyo, Japon, le 30 mai 2013 Mesdames et Messieurs les députés, Je vous écris du Japon, je viens d’apprendre qu’un débat au sein de l’Assemblée Nationale, ce soir, fera enfin sortir de l’ombre la douloureuse question du nucléaire.
Vous allez notamment évoquer l’accident de Fukushima. Je vous dis MERCI d’aborder enfin ce que nous savons tous ici, au Japon, mais que personne ne veut entendre en France. Laissez-moi rêver et espérer un peu : je vais vous parler du Japon en quelques lignes et je souhaite que vous lisiez ce message avant votre première réunion.... Chaque jour, ce sont 400 tonnes d’eau souterraine qui pénètrent dans les soubassements de la centrale accidentée de Fukushima-1 et viennent se contaminer au contact de l’eau de refroidissement des trois réacteurs dont les cœurs ont fondu et desquels personne ne peut approcher, tant la radioactivité y est importante. Mesdames et Messieurs les députés, il faut arrêter le massacre. Merci d’y réfléchir. 190213_Fukushima_2ans_indemnisations. Scandaleux : deux ans après la catastrophe de Fukushima, Areva veut à nouveau envoyer son poison au Japon !
Areva le pollueur récidive sans scrupules Il y a deux ans, trois réacteurs de la centrale de Fukushima Daiichi ont subi une explosion nucléaire et leurs cœurs sont entrés en fusion, dispersant dans l’eau et dans l’air des radioéléments qui ont contaminé des régions entières pour des siècles.
En particulier, le réacteur n°3 contenait depuis quelques mois du MOX, un dangereux combustible à base de plutonium qui sortait tout droit des usines françaises d’Areva. Des nouvelles de Fukushima.